Cabine de Lucian [ A l'intérieur du navire]

Lucian entra a l'intérieur de sa cabine, et ordonna d'un geste de la tête que les gardes impériaux quitte immédiatement les environs. Ensuite, il entra dans son antre, et regarda les environ. Il y avait une table, une baignoire, une table avec des chaîses et une table de travail ou était éparpillé des cartes d'Enkidiev aisin que des document de stratégie. Il y avait en dernié lieu un lit et une armoire dans laquelle installer vêtement, arme et armure. Lucian prît place dans un siège capitoné, retirant sa ceinture d'arme pour être a l'aise, et regarda par le hublot. Le soleil se couchait au loin, ce qui démoignait d'avantage de la proximité imminente de l'attaque.

L'empereur raasembla ces doigts devant lui, de manière a réfléchir convenablement aux mots qu'il emploirait pour ne pas blesser la guerrière. Il était inévitable qu'elle souffre, mais il ne voulait pas la démolir, pour qu'elle attente a sa vie, car elle avait un esprit de combat qui lui serait utile autant a elle qu'a lui. Lucian attendit patiemment la venue de la jeune femme, sachant maintenant les mots a employé. Il frapperait dure d'un seul coup, ne s'étendant pas en veine explication comme les humains fesait. Une partit de lui disait de l'ignorer, car après tout il était l'empereur, mais Lucian avait beaucoup trop a coeur sa santé mental pour ne pas tenter de la gardé en sécurité.

La guerrière regardait autour d’elle voyant que tous se mettaient au travaille, elle décida de se mettre elle aussi aux préparatifs...

Elle s’en allait aider les insectes, mais avant d’être rendu proche d’eux, elle fut attirée par les paroles de Lucian. En tournant la tête vers lui, dégageant pas le fait même ses cheveux de son visage qui prirent dans le vent, elle posa un regard sur lui et il lui dit :

«Non, en réalité, tu arrives au bon moment. Viens me rejoindre dans ma cabine dans quelque minutes, nous avons à discuter de chose importante.»

Pourquoi, elle présentait une sorte d’inquiétude dans la voix de l’empereur...? Toujours sur de lui, cette fois, elle pressentait quelque chose de différent. Pourquoi lui demandait-il de lui parler en privé? Était-ce pour l’attaque ou bien pour une toute autre chose. La première idée lui semblait plus plausible que l’autre, mais reste à voir.

Elle ne pouvait pas voir dans les pensées de Lucian. Une chose qui aurait pu lui venir en aide. Mais voilà... Depuis leur rencontre, que le vide et le fait de ne pas savoir lui tracassait l’esprit. Une peur toute nouvelle. Une peur loin de la peur elle-même. Celle qui ne peut être qu’une frayeur crainte à jamais. Pire que de mourir, pire que de souffrir. Rien n’était égal à tout cela...

Éléandra espérait qu’un mot... Qu’une phrase qui lui ôterait tous ses pensés infâmes et atroces qui lui barraient la certitude de ne pas s’égarer. Mais priait-elle pour une chose sans fin... Sans vrai vérité... Sans retour...?

Une chose qui pour elle était liberté, bien être, une flamme voluptueuse qui brûlait en elle. Elle lui aurait donné oui, tout se qu’elle possédait... Quoi qu’elle n’avait rien à lui offrir autre que son cœur. Difficile serte à montrer... L’amour est un sentiment, non un geste... Le fait est que chaque être vivant fait qu’un seul geste à l’encontre de l’être aimé, soit donner un baiser, pour montrer à cette personne, qui pour nos yeux est le centre du monde, combien on l’aime.

Cette flamme qui brûle, en dedans d’elle, était plus forte qu’un brasier sans limite... Celui-ci était éternel, doux et sans faiblesse. Sans faille, sans entourloupe, bien réelle et gravé en elle.

Comme un parchemin écrit avec la plume d’un grand écrivain...
Certain pense, que les plus belles histoires d’amour sont ceux écrites par des poètes amoureux.

Moi, je dis que les plus belles fresques de l’amour sont ceux gardés en secret et vécu dans une vie par deux personnes épris l’un de l’autre pour ensuite s’éteindre à jamais dans leur mémoire... Une histoire qui leur appartiendra à eux seul et aux étoiles qui les ont suivit et guidé durant leur amour parfaite et rêvée....

Je dis bien parfaite dans le sens, qu’elle était parfaite à leur manière. Je dirais que rien n’est parfait, on frôle souvent la perfection, mais on ne l’atteint jamais... À ma plus grande désolation, la vie est ainsi. Il faut savoir la chérir, comme elle nous l’a été donnée... Comme un cadeau et rien de moins...

Éléandra sortit de ses pensées, ne pensant pas que c’était bien grave. Elle le vu simplement partir en tournant les talons et en descendant les marches. Il allait en direction de sa cabine.

Le bateau était plein d’insectes et tous s’avaient mit au travaille. Certain ramait, un plus battit se tenait à la barre et dirigeait le navire... Il y avait des gardes qui s’occupaient de s’assurer que tous étaient à leur affaire et qu’ils étaient bien synchronisés... Disons que le synchronisme était époustouflant et vraiment remarquable... Il n’y avait rien à dire sur se point. Le bateau avançait à une très bonne vitesse... L’empereur allait être content. D’autres insectes, eux pour leur part, apportaient des barils sur le pont et pour les derniers, ils s’occupaient des voiles noirs du bateau.

Il y avait une animation vive et tous s’avait se qu’ils avaient à remplir comme tâche...

Des insectes qui se trouvaient dans la cabine de l’empereur se fit chasser de la pièce et Éléandra les vus tous monté sur le pont. Ils se parlaient, mais la guerrière ne pu comprendre la conversation. Elle se contenta de ne pas trop faire attendre Lucian et décida d’y aller tout de suite...

Elle appréhendait quelque chose de pas très bon, mais la seule façon d'en être sur était de savoir par elle-même. Elle parti donc, vers la porte de la cabine de Lucian. Elle descendit les marches et quand elle fut au fond du corridor, face à la porte, elle monta la main avec difficulté, car elle avait la respiration qui s’accéléra de plus en plus qu’elle avançait et elle toqua deux coups délicat. La porte mal fermée s’ouvrit dans un petit crissement de charnière vieillit...

Elle poussa la porte et entra. Voyant que Lucian était face à la porte et assit dans un divan l’air pensif, elle ferma derrière elle la porte.

La pièce était sombre du que le soleil se couchait de plus en plus... La fine silhouette d’Éléandra se colla à la porte un peu embarrassée. D’un sens, elle voulait entendre se qu’il avait à lui dire, mais avec le regard froid qu’il lui avait porté en lui demandant de le rejoindre dans sa cabine, elle avait eu pendant un moment un réticence à avancer d’avantage.

Qu’allait-il lui dire?

Elle pensa sur le coup :

*Pourvu que se soit pour la guerre*

Elle s’acharnait à penser cela... Mais plus elle pensait, plus rien n’avait de sens. Si le sujet avait été par rapport avec la guerre, il ne lui aurait pas demandé de venir dans sa cabine.

Dos à la porte, elle ne lâcha pas la poigner, de peur de ne plus jamais pouvoir ouvrir la porte. Cette peur qui l’habitait prenait tout son sens. En quelques minutes, elle n’avait non pas un sourire sur les lèvre, comme elle avait à l’habitude, mais un regard interrogateur. Elle ne pouvait dire quoi que se soit, muette, elle entendait que Lucian lui dise le pourquoi, il l’avait demandé dans sa cabine.

Avez-vous déjà vécu un moment qui se résume à être devant quelqu’un qui vous aurait fait perdre la tête et de ne pas vouloir que tout se gâche, par des paroles qui pourraient être les derniers que vous voulez entendre... Des mots, que s’ils franchisent la bouche de cette même personne, peuvent tout changer...

Bien, disons qu’Éléandra vivait se moment.

Elle baissa la tête après avoir posé son regard dans celui de Luican et comme pour en finir avec sa peur constante de le perdre, elle lui dit, les larmes pour la première fois dans le coin de son oeil :

- Lucian, dis moi que ce n’ai pas se que je pense... Que je me fais des fausses idées... Que ce que tu m’as dit..................................................................................................

Elle ne montra pas sa tristesse, mais les yeux plein d’eau, elle l’était. Éléandra entendit qu’il dise quelque chose, c’était tout se qu’elle voulait, qu’il l'avoue sans avoir des remords dans ses yeux.

Lucian regarda Éléandra entrer dans sa cabine, sa fine silhouette avnçant dans la semi pénombre très lentement, comme si elle était en proie a une douleur terrible; et d'ailleur se l'était. L'empereur avait le coeur qui lui serrait, alors qu'il cétait juré de ne jamais ressentir se gnre d'émotion. La jeune femme ferma la porte, et s'accota dos a elle, serrant la poigner de tout ces forces. Lucian sonda son esprit et ressentit avec une aquité douloureuse ce que la jeune femme ressentait, ce qui n'aida pas du tout l'empereur a prendre la décision qui allait briser le coeur de la belle. Voyant des larmes de tritesse commençant a perler sur le coin de ces yeux, Élé lui déclara alors:

- Lucian, dis moi que ce n’ai pas se que je pense... Que je me fais des fausses idées... Que ce que tu m’as dit..................................................................................................

L'empereur ferma les yeux, sentant une immense douleur croitre en lui, et resta comme cela pendant un long moment. Puis, il fini par les rouvrir, laissant voire pour la première fois une infini tristesse. Que pouvaît-il lui dire. Dans les deux cas, il y aurait de la douleur. Si il décidait de briser son coeur maintenant, il s'en remettrait plus vite, mais si il attendait et vivait avec elle, non seulement il la verrait vieillir et mourir; mais en plus elle serait confronté a des ennemies aux pouvoirs implacable, car Lucian en avait maintenant énormément, étant l'homme le plus puissant au monde. Lucian soupira douloureusement, et déclara:

- Que veux-tu que je te dise Élé.....si je te dit la vérité, se sera souffrance. Si je ment, tu me détestera a jamais......et cela serait terrible pour moi.

Lucian se leva, et s'approcha de la jeune femme. Déglutissant, il prît sa main qui tenait la pigné dans la sienne, et effectua une douce pression pour la faire lâcher prise. Ensuite, il entoura sa taille de son bras, et la colla tout contre son torse, l'entourant de sa cape comme il avait l'habitude de le faire. Il appuya son menton contre la tête de Éléandra, et lui dit en murmurant suffisamment fort pour qu'elle comprenne:

- Je suis peut-être l'empereur d'irianeth, mais je déteste la torture plus que tout au monde. Autant mental que physique, du moin chez eu que je porte dans mon coeur, et chaque personne de mon royaume y a une place spécial. Toi aussi, Élé, plus grande que tu peus le penser.

Lucian recula sa tête, et la regarda dans les yeux, essuyant ces larmes a l'aide de son pouce de la main droite. Il lui souria tristement, et lui dit:

- Je sais que je semble jeune.......mais j'ai présentement plus de 75 ans....et je vivrai encore pour très longtemp. Pendant toute ces années, je me suis fait de puissant ennemi, et si je venais a apprendre que l'un d'entre eu ta touché, cela détruirais le epu d'humanité qu'il y a en moi.

Lucian déposa alors un tendre baisé sur son front, puis il descendit le long de son nez pour finalement atteindre sa bouche, qu'il embrassa passionnément. Après un long moment a embrassé la jeune femme avec une passion certaine, il libéra ces lèvres, et alla déposer un baiser sur son coup, su côté droit de la tête de Élé. La sentant fondre sous ces baisé, il alla murmurer a son oreille:

- Aussi longtemp que tu vivira tu sera sous ma protection, de cela je peu te le jurer........mais notre amour est impossible en cause de notre destin respectif.

Puis, la sentant commencer a éclater en sanglot, il lui envoya une puissante vague d'apaisement, endormant de la sorte une grande partit de sa douleur. La sentant sombrer dans l'inconscience, il lui déposa un autre baisé sur le coup, et les lèvres de l'empereur brillère d'une énergie obscur. De petits éclaires courère le long de la peau du coup de Éléandra, mais ne l'affecta nullement en douloureusement. Puis, Lucian retira ces lèvres, et un étrange tatouage apparu sur la douce peau de la belle, un immense dragon noire qui brillait de mille feu. L'empereur avait de la même sorte marqué la jeune femme de sa marqque qu'elle était une femme privilégié parmis tout les femmes au monde. Cela voulait dire que si quelqu'un osais seulement la toucher, il mourrait d'une mort des plus atroce.

Lucian souleva Éléandra, et la mena a son propre lit, ou il la déposa. Il lui retira ces bottes, ainsi que sa ceinture d'arme et sa cuirasse pour qu'elle puisse dormir plus paisiblement. Il n'avait nullement enrayé la douleur en elle, car celle-ci ferait de la guerrière une femme plus forte. Par contre, il avait réussi a lui éviter une trop grande dévastation mental. Seulement, en pénétrant son coeur de la sorte, il lui avait montré le sien, chose que Lucian n'avait jamais fait auparavant. Dans la tête de Élé défilait présentement des images de l'empereur d'Irianeth, c'est a dire certaine petite séquance de sa vie, et une image constante qui montrait Lucian, seul, en plein milieu d'un désert. Cela signifait que l'empereur était seul au monde, et qu'il vivrait jusqu'a la fin des temps.

Lucian remonta la couverture jusqu'au menton de Éléandra, et déposa un baisé sur son front. Ensuite, l'empereur vida son coeur de toute émotion, et alla s'installer a son bureau, claquant des doigts pour allumer les chandelles. Une fois fait, il saisit des cartes et commença a calculer son attaque, et ce qu'il y aurait a faire pour gagner la guerre. Lucian plongeait dans une trance de concentration extrême, quand soudain une douleur lui parvint au travers le lien mental qu'il chérissait avec cet femme étrange. L'empereur ferma les yeux, et retraça Thëna, au royaume de Zénor, aux côtés d'une femme au cheveux bleu. Le seigneur noire fronça les sourcils, et sonda le royaume ou se trouvait les deux femmes pour finalement ressentir la présence d'un médaillon d'immortel.

Lucian serra les dents, mais resta sur place. Il voulait savoir comment allait se dérouler la situation.

Pendant que Éléandra se remettait dans le lit de l'empereur, Lucian était toujours concentré sur le combat entre l'immortel et la femme de ces rêves. Décidément, cet femme aux cheveux doré avait du mordant, et était très puissante. D'ou venait-elle, qui était-elle? Plein de question qui commençait sérieusement a agacer Lucian. Il devrait bientôt aller voire cet femme et lui parler en personne. Après tout, elle avait un lien direct avec son esprit, bien qu'elle ne pouvait pas lire ces pensées, n'y lui les siennes, il pouvait tout de même voire ce que l'autre fesait.

Ce qui était déjà beaucoup plus que ce que Amecareth avait pu faire jusqu'a ce jour. Lucian souria sadiquement en voyant la stratégie de la femme. Elle avait surpris l'immortel, et l'avait mise dans une situation de faiblesse. Seulement, en voyant la réaction de l'immortel, Lucian se leva d'un seul bon. La femme qui était lié a lui était en détresse, et il ignorait pourquoi, mais une petite voix dans sa tête qui lui disait de ne pas la laisser mourir.

Lucian se ressaisit très vite par contre. Pourquoi ferait-il quoi que se soit...il n'avait rien a faire la pour le moment. De plus, il devait veiller a ce que les Tanieth soit en sécurité pendant le voyage. Il n'interviendrait qu'au moment ou la vie de la femme soit vraiment en danger. Pour l'instant, elle avait seulement mal, et tout ce qui ne nous tues pas nous rends plus fort. Cet pensé fît sourire Lucian, qui regarda d'un oeil protecteur le petit trésor quis e trouvait couché sur son lit. Elle allait souffrir le martyr, mais elle allait devenir plus forte encore, ce qui plaisait énormément a l'empereur.

Pour pas faire deux poste, je vais poster a Zénor.

Lucian était toujours assit dans son fauteuil capitonné au dossier confortable. Sa silhouette carrée et parfaite était face à elle.

Elle n’avait pas vu encore ses yeux d’un mauve foncés, car la noirceur dans la pièce les voilait.

Ces yeux qui étaient, pour elle, les plus dure à capter,
Peut-être les plus froids qu’elle n’est croisés,
Était aussi les plus adorable à regarder,
Et les plus beaux qu’ils ne puissent exister.

Après qu’Éléandra lui est demandée de lui dire finalement la vérité, ses vrais sentiments, celui-ci ferma les yeux et resta muet un moment. Éléandra qui avait baissé le regard, le remonta, mais cette fois, elle le regarda blessée et outragée qu’il ne dise rien. Elle attendait qu’il lui dise quelque chose, mais rien n’avait l’aire à sortir de sa bouche. Sa poitrine se gonflait à tout rompre, tellement qu’on aurait peut-être entendu son cœur battre et à la fois s’affoler. Éléandra serra la poigner encore plus ardemment...

Elle lui dit donc, quand il ouvrit les yeux et qu’elle pu voir qu’il était triste lui aussi. La voix tremblotante, coupée à quelques reprises par le chagrin qui empêchait les mots de sortir :

- Ne me dit pas que................. Non, pas toi.............. Lucian que t’ai-je fait....

Elle lui avait donné son amour et il le refusait. Elle lui avait ouvert son cœur et lui le lui remettait en pièce sans le vouloir. Comme si on voulait faire un casse tête avec qu’un seul morceau... Impossible... Quelle image cela aurait-il donnée.

Rien... Le dessin n’avait plus aucun but... Plus d’importance, plus de valeur.

Comme une rose fanée laissé sur une tombe par une amoureuse abandonnée... La rose, aux pétales frais et vivants, représentait la joie et l’allégresse, mais la rose aux pétales morts et sans couleur d’Éléandra, représentait son cœur oublié et déchiré par l’homme qu’elle aimait.

Il lui dit, pensant peut-être la réconforter :

«Que veux-tu que je te dise Élé..... Si je te dis la vérité, se sera souffrance. Si je ment, tu me détesteras à jamais...... Et cela serait terrible pour moi.»

Elle lui répondit pendant qu’il se levait. Ses larmes se mirent en abondance dans ses yeux bruns étincelants, brouillant légèrement sa vue :

- Cela sera terrible pour toi, Lucian.......... Et moi la dedans? La vérité, tu n’es pas obligé de me la dire, je peux lire dans ton regard.... Oui, le regard que tu fais présentement.... Le regard que t’essaye d’effacer pour m’empêcher de souffrir....
La souffrance...................................... Je n’ai connu que ça donc, toi ou un autre... À quoi bon, tous fini par m'en faire.............................
Je ne la crains pas, car je la vie en te regardant là, maintenant.

Elle prit une pause et continua désespérée :

- Elle ne me quittera donc jamais? Je pensais l’avoir mit de côté, mais comme je vois, elle me suivra peu importe où j’ose voire le bonheur... Je l’ai vu en toi se bonheur...................... Lucian....................................
Tu as rêvé d’un jour et moi j’ai rêvé de toute une vie. Tu as façonné, mes rêves les plus fous.... Tu m’avais enlevé ma douleur, qui malgré moi persiste toujours à cause que tu te refuses à m’aimer. Pourquoi le mot amour existe-t-il, si c’est pour déchirer les cœurs. Pourquoi existe-t-il, pour déchirer mon cœur....

À ses mots, Lucian s’avança toujours d’elle. Éléandra aurait voulu quitter la chambre, mais elle n’en fut pas capable. Dévastée, impuissante, le néant s’emparait d’elle petit à petit, la laissant avec son chagrin comme on laisse une rivière à fort débit couler entre les arbres verts pour les inonder.

Elle avait craint auparavant cette situation et prisonnière, cette fois, elle ne voyait plus aucune sortit, plus de solution.

Il lui avait dit se qu’il voulait, qu’il en soit ainsi... Elle n’y pouvait plus rien... Il ne l’aimait plus... Non, il ne l’avait jamais vraiment aimé. Comment avait-elle pu croire en ses mots... En sa parole!!! Il lui avait dit dans la grotte en la prenant dans ses bras et en lui remettant son baiser :

«J'ai connu beaucoup de femmes dans ma vie, mais jamais elle ne m'on faite ressentir ce que je ressens présentement.»

Que ressentait-il vraiment quand il lui avait dit cela... Ce n’était que des purs mensonges. Aimé pendant un instant et par la suite changer d’idée pour une supposé meilleur vie. Qu’elle vie meilleur s’offre à nous, quand la personne qu’on aime et qui nous aime en retour se convainc que le futur est mieux sans lui ou elle.

Il aurait fallu qu’il la poignarde et le coup n’aurait pas été plus douloureux, plus dure à prendre, plus dure à supporter... Une entaille à la peau guérie vite, mais une entaille au cœur, ce n’est pas la même chose. Elle reste empreinte à jamais, même si on pense oublier, on se fait des fausses idées...

Lucian s’avait approché d’elle et avait déposé sa main sur celle d’Éléandra qui tenait fermement la porte. Il la regardait dans les yeux et sous le poids de son regard qu’elle aimait t’en, elle lâcha prise quand il exerça une pression. Comme un pantin, il aurait fait d’elle se qu’il voulait, qu’elle n’aurait pas pu lui dire non. Il passa une main autour de sa taille et l’approcha de lui. Sous le contacte de celle-ci, elle se sentit mal alaise et vraiment plus à sa place. Une larme coula sur sa joue, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Il la colla contre son torse et l’entoura de sa cape. Éléandra avait fait des pas réticent pour avancer... Elle s’avait qu’elle allait être encore plus triste après l’avoir sentit collé à elle, pour une dernière fois. Seule sa présence, jusque là, l’avait fais sourire et cette fois, pleurer. Elle ferma les yeux pour contenir ses larmes et accota sa tête sur son torse, car il était plus grand qu’elle.

Lucian déposa son menton sur sa tête et lui dit en murmurant :

«Je suis peut-être l'empereur d'Irianeth, mais je déteste la torture plus que tout au monde. Autant mental que physique, du moins chez eu que je porte dans mon coeur, et chaque personne de mon royaume y a une place spécial. Toi aussi, Élé, plus grande que tu peux le penser.»

Ce qu’elle pensait, elle, c’était que sa place avait toujours été l’esclave et la martyr qu’il avait connu plus tôt dans l’arène. Elle n’avait eu aucune autre place que celle-ci dans le cœur de qui compte, pourquoi cela changerait. Il l’avait aimé pour son caractère, pour sa force d’encaisser les coups et de ne pas se venger pour autant. Il n’avait pas pensé que cette sorte de carapace qu’elle s’avait fait pour survivre était assez solide pour subir tout, mais à la fois assez fragile pour se rompre sur un point qui paraît moins lourd qu’on le pense.

Il se recula et la regarda dans ses yeux, encore une fois, une seconde larme perla sur sa joue et il l’essuya avec son pouce de la main droite. Il lui dit :

«Je sais que je semble jeune....... Mais, j'ai présentement plus de 75 ans.... Et je vivrai encore pour très longtemps. Pendant toutes ses années, je me suis fait de puissants ennemis, et si je venais à apprendre que l'un d'entre eux ta touchés, cela détruirait le peu d'humanité qu'il y a en moi.»

Elle allait lui dire :

* Mais je suis née pour te dire je t’aime... Et t’aimer. Si je devais mourir des milliers de fois pour toi, je le ferais... *

Il lui donna un baiser sur le front, sur le nez et sur ses lèvres avant qu’elle ne lui dise.

Quand ses lèvres touchèrent les siennes, la tête montée vers le haut, deux l’armes une à la suite de l’autre roulèrent sur sa joue pour enfin venir se posé sur la commissure de sa lèvre rosée...

Lucian avait embrassé ses larmes marquées, à jamais, de sa peine. Il l’embrassa avec passion... Pourquoi la faisait-il autant souffrir. Pourquoi l’aimait-elle à se point....... Elle était gagnée d’un abandon cruel...

Éléandra l’embrassait en sachant bien que c’était le dernier baiser qui viendrait de l’empereur. Elle l’embrassait désespérément, mais avec une telle ferveur, comme si elle voulait assouvir l’amour qui était en elle.

Lucian mit fin au baiser et alla lui déposer un autre baiser doux, dans son cou, du côté droit. Leurs corps collés l’un à l’autre presque inséparable... Éléandra mit sa main dans le cou de l’empereur et fit une légère pression pour être sur de toujours sentir ses lèvres sur sa peau satiné. Elle se sentait défaillir.... Elle aurait voulu mourir dans ses bras pour l’éternité...

Il lui dit en allant murmurer à son oreille :

« Aussi longtemps que tu vivras, tu seras sous ma protection, de cela je peux te le jurer........ Mais notre amour est impossible en cause de notre destin respectif. »

Elle lui répondit avant d’éclater en sanglot :

- Si tu ne veux pas mon amour ça sera dure pour toi de me laisser partir dans l’autre monde malgré tout, parce que tu comprendras à se moment là, c’est quoi l’amour...
Tu ouvriras les yeux sur la vie que je voulais avec toi et que tu m’as refusé par peur de me perdre... On perd toujours ceux qu’on aime un jour ou l’autre.
Tu comprendra que le nombre de larmes qui se sont versé, était la preuve réelle que je tenais à toi... Que même un vie inachevée aurait pu me comblé...
Toi tu peux imaginer ton futur sans moi, mais moi je ne peux imaginé mon futur sans toi. Tu es peut-être immortel et moi qu’une simple mortelle... Tu crois que lorsque je vais mourir ça ne sera pas ton visage qui apparaîtra dans mon esprit qui m’accueillera au ciel à bras ouvert, Tu te trompes....
Que tes lèvres ne me rejoindront pas dans l’au-delà... Que je n’aurai pas peur de ne plus jamais te voir en vrai... Que la douleur ne sera pas égale....................................... Que je n'ai pas peur de m’endormir à jamais sans toi.
Savais-tu que le plus beau de l’amour c’est de ne pas se quitter quoi qui l’arrive... De lier nos cœurs au périple de sa vie, en incluent la souffrance............. Savait-tu que tu ne seras pas seul, car moi aussi je le serai dans mon coin de paradis. Savait-tu que le pire de mes châtiments à été d’avoir croisé ton regard et d’en être restée captive..... Quel destin ai-je si tu n’en fais pas partit?

Elle allait pleurer toutes les larmes de son corps, mais Lucian lui envoya une vague d’apaisement qui la fit tomber dans l’inconscience après qu’il l’embrasse une seconde fois dans le cou. Un dragon noir se dessina sur sa peau. Dans ses bras, elle tomba vers l’arrière, mais le bras de l’empereur qui entouraient sa taille la retenu contre lui et il la prit dans ses bras pour l’apporter doucement dans son lit.

Il la déposa sur le lit mou et sans qu’Éléandra s'en rende compte, il lui ôta ses bottes, ses armes et sa cuirasse. À semi habiller, elle voyait dans sa tête plein d’image flou et une toujours constante, celle de Lucian seul... Elle n’avait pas de pleur abondante, mais son cœur en contenait t’en. Elle avait seulement des l’armes qui naissaient dans le creux de son œil, vivaient sur ses joues et mourraient sur ses lèvres.

Elle aurait voulu crier de toutes ses forces, mais elle n’en avait plus la possibilité puisqu’elle était à moitié endormit.

L’empereur monta les couvertes sur son corps fin à la hauteur du menton et déposa un baiser sur son front....

Elle n’avait conscience de rien... Même pas du fait que Lucian s’avait remit au travail. Elle combattait avec la souffrance et avec le chagrin... Elle laissait le tout remporter sur elle, parce qu’elle n’avait plus rien qui la rattachait à la vie.

Elle vu dans les pensées de Lucian une femme aux cheveux d’or et à la beauté divine. Était-ce pour elle qu’il lui avait fait temps de peine? Elle n’en savait rien, elle pouvait seulement savoir qu’elle occupait une grande partit de son esprit.

Éléandra dormit un moment ne se rendant pas compte que Lucian avait sortit... Quand elle se réveilla personne n’était là... Elle n’aurait pas eu la force de soutenir le regard de l’empereur, encore un fois.

Faible, elle se leva du lit et tout en posant une main sur son ventre et sur une table proche, elle prit une grande respiration et avec le reste de sa force, elle voulu se sortir de la pièce qui lui rappelait Lucian. Elle ouvrit la porte tranquillement la laissant ouvrir sur son pas lent. La guerrière alla dans une autre pièce proche, ne se sentant pas capable d’affronter le regard des insectes. Arrivée, elle ferma la porte derrière elle, la verrouillant. Elle était dans une pièce de débarra, elle se laissa tomber sur un tas de poche de lin et remplit de poudre. Le visage caché par ses bras croisés et ses cheveux, elle pleura en cachette toutes les larmes de son corps. Comme si la vague d’apaisement de l’empereur s’avait dissipé et que celle-ci n’avait que retardé la douleur qui l’avait prit plus tôt.... Elle était prit d’une douleur qui n’aurait pu se comparer à rien. Elle aurait temps voulu être proche de la seule personne qui n’allait jamais lui faire du mal, Ferll, mais elle devait rester pour combattre.

(Suite sur le bateau...)

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