L'Arene

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Pirus se leva, il avait perdu la carte. Il ne souvenais même pas de s’être coucher… hors se n’étais pas la première fois que sa arrivais. Il devait avoir oublier…tant pis. Une fois debout, il se sentais très en forme et il devait bouger un peu….Il s’habilla comme tout les jours et alla directement vers l’arène. Il voulait aller se battre un peu mais il lui faudrait une armée au complet pour qu’il ne s’amuse ne serais un peu… Il marcha en direction de la grande porte garder par deux soldat élites. Pirus Leva la tête et dit:

- Ouvrer !!! je dois aller m’entraîner…

- mais… avez vous l’accord…? je… puis il s’arrêta.

Pirus étais entraîne de lui montrer la scène ou l’empereur lui donnait le poste de second…tout sa par la penser. Le soldat étais complètement hypnotiser… Aussitôt qu’il émergea de son stade de légume…il se repris…

- Oh, je m’excuse, je ne savais pas…allez-y !

- Pour cette imprudence tu va me trouver des soldats de taille a me combattre… Aller!!

Le soldat parti a courir. Pirus lui vis les portes s’ouvrir. Il attendit puis entra… il se retrouva au milieux d’un mini – désert circulaire, entourer d’un mur de pierre d’environ un vingtaine de mètres. Il se posa au centre… Et attendit le retour du soldat…!

Dans un nuage de fumer noire, Lucian se matérialisa a l'entrer de l'arène. Il regarda son frère, et l'observa quelque instant. Il voulait ainsi donc se battre. En voyant les soldats élites approcher, l'empereur leva la main, les intimants de reculer. Puis, il s'avança lui-même sur le ring en disant:

- Tu c'est, cet endroit est un lieu ou les plus puissant insecte on été formé. Beaucoup son mort ici en tentant de montrer a leur maître qu'ils étaient digne de lui.

Lucian s'avança vêtu des mêmes vêtement qu'il portait toujours. Sa longue cape noire entourant son imposante silouhette. Puis, l'empereur arrêta de marcher devant le trône disposé devant l'arène, et s'y dirigea. Il y prit place, et déclara:

- Alors, que les jeux commence.

Lucian claqua des doigts, et ce ne fut pas des soldats élite qui pénétrère dans l'arène, mais un dragon femelle. L'empereur souria sadiquement, et déclara:

- Voici la créature que j'ai du affronter a la fin de ma formation. Seulement, a la différence, moi je n'avais pas droit a la magie. Toi, oui, et tu as aussi droit a tes armes, car les griffes ne son pas très efficace.

Lucian regarda Pirus avec un sourire sadique, et claqua des doigts. Le dragon gronda, se plia sur lui-même, et attaqua sa proid.

Nombre de messages : 18 Age : 38 Date d'inscription : 22/01/2007

Maëlie etait partit de son royaume il y avait fort longtemps. Pendant son long periple, elle setait aventurer un peu partout sur Enkidiev. Elle avait la mappe un peu impregner dans sa memoire et noublia aucun detail de chaque village quelle etait aller. Cetait tres important pour elle car partout ou elle allait, elle sema la terreur dans le coeur des villageois. Ayant sa tete a prix, elle se deva detre prudente et ce meme si elle croyait que les humains etaient tous des etres pitoyable et sans cervelle.

Maëlie commencait a trouver le temps long. Les gens d'enkidiev ne meritait pas de vivre selon elle. Elle trouvait que cette race etait bien inferieur a elle et navait aucune difficulter a les anéantir. Ils etaient tous faible et defendait sa vie quavec peu dinteret. Ils les suppliaient sans cesse de les laisser vivre et cela devenait lassant a la longue. Au debut, lorsquelle avait commencer a voyager, elle samusait comme une folle a faire peur aux autres, puis setait avéré plus dangereux par la suite. Cela ne la contetait plus, elle commenca donc a torturer puis pour finalement tuer. Encore soif de pouvoir tuer ne suffisait plus a sa satisfaction. Elle avait une grande envie de detruire tout sur son passage.

Mais cette aventure sarreta net lorsque cela ne la plaisait plus. elle avait une forte envie de changement et surtout de defits. Depuis sa naissance, elle avait entendu des histoires concernant l'empreur. Elle savait que celui que son pere connaissait etait mort et quil avait ete remplacer par quelqu'un de plus puissant, et cest ce qui exita la princesse rebelle. Elle setait donc resolu a le rencontrer en tant voulue voir si les dire etait vrai.

Maëlie marcha donc un long moment et puisque sa terre se trouvait de lautre coter de la rive, elle decida donc de se materialiser de lautre coter. le territoir etait si vaste quelle dut etre patiente pour trouver son refuge. Mais avec ses sens éguiser, elle sut quil netait pas la. Il netait point loin et cela lencouragea. Elle continua a utiliser sa magie pour le reperer et cela la conduit tout droit devant un grand immeuble avec de grande porte fermer garder par deux ignobles creature quelle navait jamais vue, mais quelle avait deja entendu parler.

Elle savanca et les gardes linterpela. Maëlie sarreta net.

-Ne bouger pas. Vous navez aucun droit detre ici. Avait dit lun deux dans sa langue.

ce qui etait etonnant, cest quelle les comprenait parfaitement.

-je nai nul permission pour entrer en ces lieux.

Les gardes se mirent a rire.

-Et qui pretendez vous pour parlez ainsi.

-Une personne que vous allez bientot connaitre et craindre.

Maëlie etait lasse de les ecouters et decida de mettre un terme a cette discution soi sans dire inutile. maëlie leva sa main et les deux gardes fut projeter contre les ports par une bourasque de vent qui a eut pour effet de les ouvrirs a grande vollé.

Tout le monde se leva a son intrusion et personne parla ne sachant que trop faire. Maëlie savanca de tout sa grace et sa delicatesse. Elle regarda autour delle et comprit vite que lun dentre eux sappreta a combattre un dragon. Elle etait fort interesser par cet evenements quelle avait tres envie de voir cela. Elle continua a marcher et repéra lessence meme du mal: l'empreur. Il etait assis calmement sur son trone et la regardait passivement. Elle lui fit signe de tete pour le saluer, meme si cela risquait de provoquer sa colere et alla prendre place sur un banc sans se preoccuper de leur attention sur elle. Elle avait envie de voir se combat et pour rien au monde, elle ne voulu rater cela, et ce a nimporte quel prit. Sa decision etait prise et personne ne lui fera changer davis.

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Tira, qui avait quitté la roche avait voulu se divertir quelque peu. Le seul endroit sur cette maudite île c’était l’arène. Elle c’était donc diriger vers cet endroit, croyant y être seul. Lorsqu’elle arriva au pied de l’arène, des bruit se faisait déjà entendre, des cris d’acclamation, Tira leva un sourcil en se demandant qui pouvait être la. Au pied, les gardes, la laissèrent passé assez rapidement, surtout en voyant Aisel Nedrossa dans la main de la femme meurtrière. Tira commença alors une course rapide et monta en haut de l’arène, de l’autre côté de Lucian. L’assassin meurtrier regarda le dragon avec un sourire en coin. Elle serra Aisel Nedrossa et se retenu de tout ses forces pour ne pas aller combattre cette bête, qui était surement de taille contre elle. Tira se mordit les lèvres et imagina des scénarios pour la tué. Son attention retourna sur la scène en voyant l’animal bouger. Tira remarqua alors son adversaire. C’était le frère de l’empereur. Tira soupira de déception. Comme tout les autres avant lui, il allait user de la magie et allait abattre cette animal de la pire des façons, par la tricherie, car un vrai combat était a main nue ou, encore avec une arme. L’assassin s’assit sur le sol et regarda le combat, trouvant réellement ennuyant de devoir être ici au lieu d’être avec cette bête, en bas. Tira ne s’en plainant pas pour temps

Lucian observait le combat, quand soudain, ces sens magiques l'avertir d'une intrusion non attendu sur son continent. L'empereur ferma les yeux, et étendit ces sens pour trouver une femme a l'âge inconnu avancer dans sa direction. Lucian sonda légèrement son esprit sans que celle-ci ne le sache, et n'y vis aucune menace. Alors le monarque d'Irianeth reporta son attention sur le combat. C'est a ce moment précis que la porte s'ouvrit a grand fracas, et que la femme entra. Elle regarda les environs, et regarda Lucian. Celle-ci le salua poliment de la tête, et l'empereur continua de la regarder de son regard froid. Elle prît place, et porta son attention sur le centre de l'arène. Lucian allait faire de même, lorsqu'il sentit la présence dérangé de Tira. L'empereurla regarda agir, et souria. Il pouvait parfaitement voire son dérangement face a la situation.

Pourtant, elle semblait se contenir, ce qui surpris l'empereur. Avait-elle décidé de jouer la carte de la patience. Il haussa les épaules, et reporta son attention sur le combat entre son frère et le dragon. Il se demandait vraiment comment il allait s'en sortir.

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Pirus regarda tout autour de lui. L’arène se remplissais…mais pourquoi il ne voulait que se dégourdir et il devait l’admettre impressionner Lucian. Se qu’il ferait! Par la suite il remarqua une femme inconnu qui entra a la volée. Qui étais t- elle ? Elle paraissais puissante… et séduisante. Puis cette Tira… il remarqua Lucian sourciller quand elle entra. Mais bon Lucian l’avait avertit de ne pas ce mêler de ses problèmes. C’est ce qu’il ferait…puis tout devin noir l’instant d’un secondes. Pirus se réveilla dans le mur…

Le dragon venait de le terrasser d’une seule patte. Puis il se ruait sur lui. Pirus se releva et ouvrit un couloir en direction de l’autre cote de l’arène. Le dragon se ruait déjà sur lui de nouveau. Il prit une grande inspiration…que le jeux commence! Pirus leva les paumes…

Se qui se produit fut simple. L’épée a double lame de Pirus apparu. Elle étais longue comme un enfant. Ces couleur étais noire et or. Le manche étais d’un noire cendre et les lames étais recouverte d’une couche d’or épais. Il la maniait avec aisance et agilité. Il leva sa main et elle devin rouge comme du brasier. Puis une ligne de feu entre Pirus et le dragon. Pirus en profita pour ouvrir un couloir pour s’y engouffrer. Il apparu derrière le dragon de nouveau puis, la paume toujours brûlante et agrippa la queue du dragon. De l’autre main il fit tourner son épée et trancha la queue du dragon. Le dragon se retourna et tenta de le mordre. Il fendit l’air, main en vain. Pirus étais déjà trois pas plus loin en train de réchauffer ses paumes. Il visa les yeux et tira une boule enflammé sur chaques.

Le dragon rugit…dans la direction de Pirus. Il en profita et planta un coter de sa lame dans le palet de l’animal. Celui-ci referma la bouche d’instinct, ce tranchant par le même moment la langue et le crâne jusqu’au cerveau. Il tomba d’un coup. Le sol en vibra d’un seul coup.

Pirus se redressa et regarda vers les gradins. Ils étaient presque tous pleins… t’en mieux on le connaissais maintenant…

Lucian regarda le combat entre son frère et le dragon. L'empereur resta de glace comme a son habitude, et étudia chacun des gestes de son second. Il était rusé, et savait manier chacun des apects du terrein, et mettre a son avantage ces pouvoirs magiques. Le combat fut conclu presque aussi vite qu'il avait commencé. Lucian regarda alentour, et vit que l'arène c'était remplis a une vitesse incroyable. Homme lézard, insecte, esclave, tous avait voulu voire le match entre le second de l'empereur et le dragon.

Lucian resta sans émotions, et indiqua un siège qui se trouvait a la droite de lui. C'était le trône qui était destiné au second. Puis, l'empereur regarda Tira, qui était resté seul dans les estrades, a bouder. L'empereur ordonna que les restes de la créature soit nettoyer, et demanda d'une voix forte:

- Dite donc, dame Tira, voudriez vous combattres un adversaire vous aussi.

Lucian attendit clamement la réponse de la femme assassin.

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Pirus ouvrit un couloir et sortit tout près de Lucian. Il s’agenouilla a ses pieds et lui dit…

- Je sais que je n’est pas a faire sa mais c’est un peux pour te narguer… et en passant tu aurait pus trouver mieux…c’était une bête idiote sa! Tu me sous-estime a se point la…je sais, je sais, c’était le meilleure, alors il s ne sont pas assez dangereux..

Puis Pirus prit place dans le mini trône au coter de Lucian. Il attendit la réaction de Tira tout en gardant un œil sur elle. Elle dégageait une énergie bizarre. De elle émanait une drôle de chaleur comme si elle tentait de vous brûler du regard…de vous tuer avant de vous toucher…valait mieux tenter de ne pas la frustrer… Il tenais, par contre, a la rencontrer… Le poste de sorcière étais encore libre dans le nouveau royaume de Lucian… Ils avaient tous périt… Puis il se tourna vers la dépouille du dragon qui étais sortit…au moins le repas du soir allait être généreux. Puis il attendit la réaction de Tira face a un proposition de la sorte… si elle refusait c’était la une insulte, et si elle acceptais bien elle devrait prouver sa force…

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Tira regardait le combat s’en rien faire. Elle était assit, en splitte, sr un long banc, le corps coucher sur le sol, a regarder ce combat des plus ennuyant. Pirus combattait bien, quoique Tira elle aurait tranché l’intérieur de la bouche, comme avec le dragon mal. La jeune femme accota la tête sur sa ring blade et attendit que l’arène soit libre et que tous parte pour quel puis aller s’amuser. Elle commençait a s’endormir lorsqu’elle entendu la voix de son maitre préféré. Elle releva aussitôt la tête et le regarda de son regard mauve. Ses cheveux turquoise lui tombait quelque peut sur le visage, lui donnait un air charment. Elle lui sourit sadiquement et regarda sa lame. Celle-ci n’était pas affiler, donc pas coupante du tout. Tira rongea, mais ne fit rien de plus. Elle se leva et regarda Pirus sortir de l’arène. Tira regarda l’arène et prit Aisel Nedrossa. Dans sa main droite, elle allait affiler sa lame avec son adversaire, chose qui risquait d’être amusant. La jeune femme s’approcha du bord de l’arène et sauta dans le trou, pour finalement atterrir, en souplesse, sur le sol gluant de l’arène. Elle s’avança au milieu de l’arène et dit a son roi :

- Comme bon vous semblera altesse. Mais sachez que mon adversaire mourra. Vous m’avez clairement dit de ne plus toucher a une goute du sang qui coule dans cette empire. J’espère que cela va a l’encombre de vos règles, car je vais désobéir en cette instant.

Tira regarda autour d’elle. Les insectes qui ramassèrent la carcasse accélérèrent le pas et Tira sourit. Elle n’avait pas l’intention des tuer…Du moins pas pour l’instant. Tira eu un sourire en coin et reposa son regard mauve sur Lucian et Pirus. Elle s’assit sur le sol, Aisel Nedrossa debout devant elle a faire des tour sur elle même.

- Je commence quand, car je m’ennuie déjà

Nombre de messages : 18 Age : 38 Date d'inscription : 22/01/2007

Maëlie observa la combat avec interet. Elle ne connaissait rien en ces personnes. Elle ne connaissait pas non plus leur habitude et leur fonctionnement. Tout en etant assise, elle analysa la technique de combat de la personne qui se trouvait dans l'arene. Habile et rapide, elle se demandait bien en combien de temps reussira t- il de le mettre chao. Elle ressentait en lui une force magique incroyable et cela plu a la petite rebelle.

Le combat se passa sans embuche. Elle trouvait quelque peu le combat ennuyeux. Sachant que les betes de l'empreur ne faisait aucunement peur a chacun dentre eux, elle trouvait le combat injuste et gagné davance. Ce quelle trouvait soit disant lache. Pourquoi ne sattaque-t-il pas donc avec des personnes de taille. Un vrai combat quoi!

L'homme quelle avait vue plutot dans le milieu de larene sortit vainqueur. Il sortit et se précipita vers l'empreur.

*Mais pourquoi s'agenouent ils tous devant lui?*

Elle avait toujours eu de la misere a comprendre pourquoi le monde se soumettait devant la personne plus fort qu'eux. Etaient ils tous des lache ayant peur d'une seul personne. Finalement, cetait une question de logique. Cetait fait ainsi et cela partout sur Enkidiev. Mais tant qu'a Maëlie, jamais elle se soumettera a quelqu'un. Elle nobeissait pas a personne et elle etait seulement a son compte. Elle pouvait biensure rallier sa force a dautre, mais jamais elle ne se laissera dominer par quelqu'un. Surtout, ce qui pousserait sa colere, cetait le fait que le monde lui donne des ordres, ce cas precis, gard a vous car elle vois noir et perd le total controle delle meme.

Maëlie ferma les yeux et se concentra davantage sur le petit groupe. Subtilement, elle pu ainsi entendre ce qui se disait. Ce quelle sut la désola. La femme au coter de l'empreur s'appreta elle aussi a combattre. maitenant, Maëlie etait a bout. L'empreur fit sortir un dragon dans larene pour que la femme puisse faire ces preuves. Ce quelle remarqua en elle, cetait l'ennui dont elle faisait face. Elle degagea une aura d'une personne a fort caractere et uen force physique hors du commun et Maëlie porta une attention particuliere pour elle.

SAchant que celle ci aura aucunement de la difficulté de le mettre a mort, elle decida de corsé son combat pour quelle lui montre sa force et sa volonté.

Pendant que Tira dessendit les marche pour se rendre en bas, Maëlie bomba son torse et prit uen grande inspiration. Elle leva tranquillement ses mains de chaque coter de son corps. Ses bras tremblait, comme si elel souleva un poids, et d'un geste rapide, Maëlie rammena ses mains devant elle. Soudain l'arene fut prit d'une honde de choque puissant qui frappa le dragon de plein fouet.

Silencieusement elle prononca une parole.

Lackë mito dèss picram.

Le dragon saffessa sur le sol et puis, apres quelque seconde, il se releva. Il lacha un grand cris qui fit viber larene au complet. Sa tache etait accomplie. Elle avait donner plus de force a celui ci pour donner du fil a retord a Tira dans le seul but de lui faire plaisir en ayant un combat digne dinteret.

Tira la regarda stupefaite et en signe de salut, elle pencha sa tete legerement, chose que normalement, elle ne faisait point pour personne. Ainsi, elle linvita donc a aller se battre comme elle le meritait.

Hj ceci est pour toi Tira! Have fun! Wink

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Tira regarda la femme, se leva et lorsque l’onde de choc arriva, Tira fit tourner Aisel Nedrossa et fendit l’air avec celle-ci, ce qui eu pour effet de briser l’onde de choc qui fonçait sur elle. L’assassin mégalomane leva un regard vers elle et la regarda, d’un air grave, pour qui se prenait-elle d’envoyer des ondes de chocs. Tira serra Aisel Nedrossa et se retint de lui envoyer sa lame en pleine figure. Lorsqu’elle senti la terre trembler, l’assassin regarda le dragon qui venait de s’écrouler. Décidément cette femme désirait mourir. Tuer ainsi une bête qui n’était pas son adversaire. Tira ne bougea pas et fut étonner de voir le dragon se relever et de crier sa rage, chose qui énerva grandement Tira, car elle avait mal a la tête.

La folie de Tira doubla d’ardeur. Son mal de tête doubla et sa rage augmenta d’un coup. Elle serra Aisel Nedrossa et avança vers le dragon, qui ouvrit la gueule avec l’intention de faire de Tira qu’une boucher. La gueuler denté se fendit dans le vide, Tira avait disparut et était maintenant derrière lui, l’air malin au visage. L’animal, pas très intelligent se retournant et lui envoya sa queue. Tira, cette fois, ne fut pas assez vite et reçut la queue du dragon de plein fouet. Elle traversa l’arène et alla séchoir dans le mur de brique, qui se fendit légèrement. Tira, qui avait une force surhumaine n’allait surement pas mourir de cela.

L’assassin retomba sur le sol, souplement et regarda la bête, qui criait de nouveau en faisant trembler l’arène encore une fois. Tira commença a faire tourner Aisel Nedrossa et parti a la course. Elle commença a tourner autour du dragon avec une vitesse impressionnante. Sa lame, qui ne blessait pas l’animal, se fendait sur la peau écailleuse. L’animal ne fut qu’énerver. Tira elle, sourit, sa lame s’affilait et devint beaucoup plus tranchante. Lorsqu’elle le fut, tranchante, Tira monta rapidement sur la queue de l’animal, traversa son dos et se laissa tomber sur sa tête, où elle le blessa à l’ œil. Lorsqu’elle retomba au sol, Tira put entendre l’anima hurler de rage.

Tira sourit et regarda l’entre jambe de la bête. Avec un sourire malin, elle reprit sa course et fit tourner Aisel Nedrossa. Sa lame alla fendre la parti intime du dragon mâle, qui ne put s’empêcher d’hurler, car cette parti était…Disons molle. Paralyser par le mal, le dragon commença a reculer en hurlant de plus en plus son mal. Au bout de quelques minutes, une chose étrange tomba au sol, le sexe du dragon. Tira arrêta sa course devant la bête et sourit. La bête ouvrit la gueule pour en fini et Tira lui jeta Aisel Nedrossa en plein milieu de la gorge, lorsqu’il referma sa gueule, dans le vide car Tira avait bougé, la lame fendit la bête jusqu’au crane. La bête s’écroula sur le sol, morte. Tira sourit et regarda la bête. Elle alla aux côtés de l’animal, prit appuis sur ses dents, et poussa pour lui ouvrir la gueule. Tira entra dans la gueule de l’animal, qui se réveilla finalement.

L’assassin, qui était dans sa gueule, prit appui sur sa langue et fit tourner Aisel Nedrossa. Sa force surhumaine lui permit de fendre le dragon jusqu’au cerveau. Cette fois, la bête tomba, gueule fermé, Tira a l’intérieur. Au bout de quelques minutes, la gueule s’ouvrit et Tira en sorti, avec Aisel Nedrossa.

L’assin se pencha vers l’avant et secoua ses cheveux. Lorsqu’elle les renvoya vers l’arrière, ses cheveux prirent une drôle d’allure. Tira se tourna vers l’empereur et lui demanda :

- Voilà…

Éléandra avait entendu parler d’un combat qui allait se donner dans l’arène, mais elle avait décidé de ne pas y aller... Comparé à tous les autres, elle était du genre à ne pas aimer voir la souffrance et dans ses combats la plupart du temps, il prenait des dragons comme adversaire, car ils étaient de taille. Elle trouvait que cela était une perte de temps et une façon de se venter devant tout le monde. Elle avait préféré rester dans sa chambre pour ne pas rencontrer son père adoptif...

Quand il la voyait, il la giflait avec force pour faire monté encore plus sa aine pour lui. Il la battait et la fouettait... Elle ne bronchait pas et se laissait faire. Pourquoi crier ou pleurer? (Ce qui n'est pas elle...) Cela allait rendre Kozdrac plus fière de se qu’il faisait et cela allait l’encourager à continuer à la mal traiter.

Éléandra était levé depuis un bon bout de temps... Elle s’avait préparé et habillé pour la journée qui lui était jusqu’alors sans bu précis. Elle ne voulait pas voir son père et la seule chose qui lui restait à faire était de rester enfermé dans sa chambre à double tour. Il se rendrait sûrement conte de son absence et allait venir la frapper comme d’habitude. Éléandra était toujours préparer à se genre de scénario... Lui qui rentre, qui ferme la porte derrière lui. Qui lui détache son corsage à l’arrière pour dévoiler son dos déjà écorché par le fouet. Elle était la plupart du temps dans le milieux de la pièce, les bras accroché au plafond pour ne pas qu’elle se défende et qu’elle ne puisse bouger.

Éléandra se faisait régulièrement et sadiquement faire des choses atroces, sans jamais aller jusqu’à se faire violer. Son père adoptif savait trop que si il posait une main vicieuse sur elle, qu’elle ne perdrait pas de temps et qu’elle en finirait avec lui. Le pire dans tout cela est qu’Éléandra avait une beauté désirer et que Kozdrac avait une certaine attirance pour elle. C’est surtout pour cela qu’il l’avait gardé et pour son caractère qui se fout de souffrir. Tant que c’est elle, elle en avait rien à faire de souffrir parce que le mal était rendu en elle. Elle était rendu une habituer... Elle avait été élevée ainsi toute son enfance. Comme un animal à qui on montre, avec la force, les bonnes manières...

Il pouvait toujours baver, mais qu’il n’ose la toucher!!

Elle était assit sur son lit et elle n’avait pas mangé depuis quelque temps. Elle s’avait privé de nourritures, après avoir été férocement fouettée par son père adoptif, pour lui avoir refusé un ordre. Éléandra s’avait juré de ne plus jamais lui adresser la parole... Ce qu’elle était obligée en temps normal de faire si elle ne voulait pas subir ces supplices. Elle avait un mal dans le dos, mais comme elle savait encaisser, elle essayait d’oublier la douleur constante qui mutilait sa peau...

Elle croyait rester encore une journée de plus dans sa chambre, mais la porte de celle-ci s’ouvrit avec fracas et six gardes la prirent de force. Elle n’avait pas eu le temps de prendre ses armes qui habituellement étaient sur elle et elle se débattit pour se déprendre de leur emprise. Six hommes de la garde contre elle, était le minimum pour la contenir, car elle se débattait comme une damnée pour se déprendre même si elle était à bout de force.

En plus d’avoir mal, elle devait faire preuve de résistance.

Ils réussirent à la sortir de sa chambre avec brutalité, mais il réussir tout de même... Elle criait :

- Lâchez moi... Lâchez moi...

Avec un ton froid tout en se débattant encore les dans serrés. Éléandra ne touchait pas au sol et elle se fit escorter jusqu’à l’arène. Elle n’avait aucune idée du pourquoi!!! Arrivé, elle criait toujours pour que les hommes la lâche. Elle était sauvage et farouche... Elle n’avait pas accepté le fait qu’il la prendre de force comme ça contre son grée. Ils ne lui demandaient jamais poliment et chaque fois s’était pour se faire battre par Kozdrac.

Éléandra avait le regard poser au sol ses cheveux noirs tombant dans son visage. Personne ne l’avait vu entré dans l’arène trop occuper par le combat que Tira menait, mais avec ses cries tout le monde se retournèrent. Les gardes lancèrent Éléandra au pied de l’empereur. L’empereur ne l’avait jamais vu, même si il était de famille royale... Il n’était même pas au courant qu’elle existait et elle non plus n’était même pas au courant qu’il existait...

Elle était couchée ventre contre terre ses poignais rouge faisant apparaître le marque d’une main... Tout ça parce qu’ils avaient serré ses bras avec force, car elle t’entait de se dégager en vain. Sous son corsage dans son dos, on pouvait voir sur sa peau bronzée des marques de fouets proéminentes... La preuve qu’elle s’avait laissé faire, car aussi creux personne n’aurait pu y survivre.

Un soldat lui dit :

- Relevez-vous et regardez votre supérieur...

Éléandra ne voulait pas faire se qu’il lui demandait. Elle resta au sol, n’ayant pas monté le regard encore, pensant que c’était pour Kozdrac qu’elle devait se lever.

Le garde lui dit :

En lui tirant les cheveux pour qu’elle regarde devant elle :

- Ton nouveau maître... Celui à qui tu appartiendras dorénavant sera, votre nouvel empereur Lucian...

Le visage de l’homme à qui elle allait devoir obéir se dessina devant elle. Il était assit sur son trône. Elle le trouvait jeune pas comme son père adoptif. Sur ce, elle allait devoir remplir ses exigences et sûrement ce faire battre comme d’habitude...

Elle pinça les lèvres, car le soldat n’avait pas lâché ses cheveux. Elle avait les yeux brun foncé, tellement foncé qu’on pouvait se croire perdu dans sa pupille. Elle était toujours au sol et le garde ne se gêna pas, après avoir dit au roi qu’elle lui revenait comme il était l’empereur et que son maître lui avait légué tous ses biens y comprit elle (Dû qu’il n’était plus vivant), pour tourné son visage vers lui et la gifla violemment. Au contacte sec de sa main, elle devint la bouche en sang. Comme elle ne pouvait pas riposter et que ses mains étaient tenues par un autre garde derrière elle, elle se contenta de cracher au sol le sang que contenait sa bouche, comme si elle n’avait rien sentit...

Elle était plus forte qu’il ne le pensait et elle éclaterait un de ses quatre si il n’arrêtait pas.

Lucian observa Tira embargquer dans l'arène, et déclarer:

- Comme bon vous semblera altesse. Mais sachez que mon adversaire mourra. Vous m’avez clairement dit de ne plus toucher a une goute du sang qui coule dans cette empire. J’espère que cela va a l’encombre de vos règles, car je vais désobéir en cette instant.

Lucian souria a sa déclaration. Au moin, elle écoutait ce qu'il disait. Il regarda la jeune femme avancer vers le dragon mâle, quand soudain, une onde de choc traversa l'arène, et frappa la créature de pleine fouet. L'empereur porta le regard sur la nouvelle venue, et fronça a peine les sourcils. Ils auraient bientôt une conversation avec cet femme inconnu. Puis, Tira se lança dans une danse meurtrière, belssant le dragon en de multiple endroit. Après quelque minute de combat, la jeune femme planta sa lame circulaire dans la gueule du lézard, et en sortit, pour ensuite annoncer:

- Voilà…

Lucian la regarda avec un sourire amusé, et déclara:

- Bien, maintenant tu va pouv.....

L'empereur nu pas le temp de finir sa pharse qu'une jeune femme au charme envoutant tomba devant lui, entouré de six garde élite. Lucian n'avait jamais vue cet jeune femme, mais l'état piteux dans lequel elle se trouvait fît monter la rage de l'empereur d'un seul trait. Ces ordres était de ne pas toucher qui que se soit sans son autorisation. Pourtant, il garda un certain calme, attendant d'avoir une explication. Le soldat lui saisit les cheveux, et leva sa tête, pour lui dire:

- Ton nouveau maître... Celui à qui tu appartiendras dorénavant sera, votre nouvel empereur Lucian...

L'empereur regarda l'insecte lever la main et la gifler. Il allaiy recommencer le même procédé, quand soudain il se trouva planter contre le rebord du balcon royal. Lucian l'avait saisit par la gorge et plaquer contre le garde fou. Les yeux de l'empereur était devenue d'une noirceur d'encre, et il déclara a haute voix pour que tous puisse copmprendre:

- Je vous ai tous ordonné de ne pas blesser qui que se soit sur cet île, a moin de cas de défence, ou au pire sans mon consentement. Mes ordres ne son pas a questionner.

Lucian continua de serrer la gorge du soldat, qui donnait des coups afin de se libérer......en vain. Les griffes de l'empereur se plantère dans la chère de l'insecte, et un sang noire en sortit. Lucian se craqua le coup, et d'une simple torsion du poignet, cassa la nuque du garde. Luian souleva la dépouille d'une seul main, et la proemna devant le champ de vision, pour que tous voit le résulta d'une désobéissance.

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Pirus regarda la scene depuis son siege. Le combat de Tira fut plutot court pas etonnant. la chose qui le repugnait c'est qu'elle avait achever la bête de la même façon que lui l'avait fait... peut impotais, elle l'avait vaincu tout de même.

Puis, il y avait cette femme qui avait donner des forces au dragon...pourquoi cette acte? Il n,y avait aucune raison qu'elle s'en mêle. De toute façon, elle ne c'étais pas interposer lors de son combat, alors il y accorda peux d'importance...

Puis cette femme qui étais trainer par des guerriers... pourquoi la traitais t-il ainsi? Puis il vit se qu'il redoutais... Lucian se leva d'un bon puis d'un coup de poignet il tua ainsi l'insecte pour montrer l'exemple. Pas que Pirus appuyais sa demarche, mais il n'y avait pas d'autres façon de faire...

Pirus se leva et posa la main sur l'épaule de Lucian. Puis il dit sans ésiter...

- Tu aurais pu être plus indulgeant. Il y avait surement une autre façon de le faire comprendre. Déjà que nos effectif millitaires sont maigre...

Il ne lacha pas prise...Il voulait résoner son frère. Il voulait un réponse et serait pres a l'attendre toute la nuit s'il le fallait...

Le soldat avait lâché ses cheveux en même temps. Élémina avait craché à terre le sang qui se retrouvait dans sa bouche et le soldat insulté par son geste voulu en récapituler une autre pour combler son orgueil qui avait été atteint. Elle se contenta de regarder sa main se lever encore pour la frapper, mais avant qu’elle s’abatte sur sa joue. Sans même osciller d’un seul geste, le sang ruisselant sur la commissure de sa lèvre, elle le regardait droit dans les yeux attendant le cou...

Ne portant plus aucune attention autour d’elle et aux autres personnes les entourant. Sa main ne se rendit jamais, car avant même que la main touche son visage l’homme du nom de Lucian s’avait levé de son trône pour venir stopper son élan. Il avait agrippé la gorge du garde et l’avait plaquer sur la rambarde. Lucian avait crié à voix forte tout en ne quittant pas le regard de son interlocuteur :

«Je vous ai tous ordonné de ne pas blesser qui que se soit sur cet île, a moins d’un cas de défense, ou au pire avec mon consentement. Mes ordres ne sont pas à questionner.»

Tout le hommes avait le regard river sur se qui se passait... Lucian avait serré d’avantage sa poigne et avait enfoncé ses griffes dans la gorge de l’insecte pour lui casser le cou. Il avait prit la dépouille avec un bras et l’avait levé haut pour le mettre à la vue de tout le monde...

Éléandra n’en revenait pas qu’il est fait cela. Ça vie n’était rien à comparer ses hommes de grandes carrures. Pourquoi lui avait-il ôté la vie, quand la sienne était déjà partit...

Elle voulu lui dire :

*La mort de quelqu’un d’autre ne me sauvera pas... Je suis morte cela fait déjà longtemps...*

Elle avait resté muette... Un peu surprise de son acte, car personne jusqu’alors l’avait défendu. Le pire dans tout cela était qu’elle avait un mal fou à comprendre le pourquoi de son geste. Il était pourtant l’empereur et elle s’aurait attendu à pire que son père adoptif... Peut-être était-il pire que lui et qu’elle n’attendait rien pour attendre. Cela viendrait avec le temps ou un jour ou l’autre. Il pouvait faire se qui voulait avec elle, donc pourquoi pas la battre pour son plaisir comme l’avait fait l’autre sans aucun remord. Il aurait toujours le plein pouvoir et elle n’y pourrait rien. Désormais son don de combattre lui appartiendrait.

Éléandra avait baisé la tête quand Lucian avait montré à tout le monde la dépouille. Elle avait mal partout, ses forces tentant de l’abandonner doucement. Le fait qu’elle n’est pas mangée depuis quelque temps ne l’aidait pas non plus. Les gardes qui la tenaient toujours, la leva cette fois un peu plus délicatement, mais tout de même, ils avaient encore une résistance et une force sur ses poignets qui la faisaient souffrir. Elle avait dans son sourcil une écorchure du à la violente gifle de l’homme. Ses jambes voulant fléchir sous le poids de son corps...

Forte, elle s’avait contenu et avait combattu l’idée de s’affaisser au sol en s’avouant vaincu. Son caractère de combattante se voyait très bien. Éléandra avait un caractère que si on la mettait au défit, elle irait jusqu’au bout, même si elle sait qu’elle ne le réussira pas... Elle le surmontera avec ses compétences du mieux qu’elle est capable. Personne et je dis bien personne, n’a vécu se qu’elle a pu endurer durant toute sa vie.

Si je vous pose la question : Êtes vous heureux...??? Que répondrai vous si la seul chose que vous avez vécu était de la peur et de la tristesse... C’était un peu se qu’Éléandra ne pouvait pas répondre. Elle était devenu un peu comme eux. Méfiante, indompté... Comme si tout autour d’elle était devenu sa réalité à elle. Fuir se qui ne pouvait plus être fuit n’était pas raisonnable ni même pensable. Sa robe rouge était étendue en rond sur le plancher autour d’elle et elle n’osait plus porter un regard au gens qui la dévisageait. Elle garda la tête basse, comme si la seule chose qui lui restait à faire était de se soumettre à cette évidence.

Après le geste de la lever, il lui dit tout en se tournant avec une voix grave et forte :

- L’empereur vous a assez vu...

Éléandra n’avait pas dit un mot et était partit avec l’escorte qui était descendu, cette fois, à cinq gardes... Sa robe longue traînante derrière elle, effleurant le sol à chaque un de ses pas. Avant de partir Éléandra jeta un dernier petit regard à Lucian... Il l’intriguait... Il était avec une aura mystérieuse et impénétrable.

Pirus allait commencer à dire quelque chose, mais elle n'eu pas le temps d'entendre...

Sur se, elle parcouru les corridors entouré de garde noir. Pendant la marche un des gardes qui ne pouvait plus se retenir lui dit froidement :

- Regarde se que tu as fait sale femme... L’empereur n’aurait pas du le punir lui, mais toi...

Éléandra qui avait gardé le silence jusque là, ne se pria pas de lui répondre cette fois franchement :

- J’en ai rien à faire... C’est votre empereur, il aurait pu me tuer ou me battre que je lui aurais fait une raison pour son geste. Entre vous et moi, vous êtes les seuls responsables. Vous, vous n’êtes que des parasites qui font tout se qu’on leur demande et je me demande pourquoi il ne vous a pas tué comme tous les autres.

Son regard s’avait assombrit. Elle s’attendait à une autre fessez de leur part, mais comme Lucian leur avait fait une ordre et leur avait strictement interdit de blesser quelqu’un, il n’en fit rien et ne riposta pas par la force, mais par les paroles:

- Une chance que vous êtes belle, parce que l’empereur vous aurait déjà tué.

Elle avait atterrit dans sa chambre, comme d’habitude... C’est un peu pour cela que personne ne la connaissait. Elle avait toujours, si se n’ai que très rarement, quitté sa chambre. Les seules fois étaient quand elle allait s’entraîner et qu’elle allait voir son dragon pour le reste, et bien, elle n’avait aucun droit et tout venait de son père, maintenant de Lucian.

Lucian entendit les paroles de Pirus, et sentit sa main se poser sur son épaule. L'empereur laissa tomber la dépouille, et ces yeux redevinrent violet. Il tourna la tête vers son frère, et lui dit d'un ton neutre:

- Le reigne de Amecareth est terminé, et par conséquant, ils leurs faut des exmples concret pour comprendre que je ne plaisante pas. Si tu as un problème avec sa, dit le, mais les choses resteront ainsi.

Lucian regarda la femme partir, et observa chacun des mouvement s des hommes-insectes pour être sur qu'ils ne désobéissent pas. Puis, il se tourna de nouveau vers Pirus pour lui dire:

- Bon, que les combats continue, moi je dois préparer l'attaque en direction de Enkidiev.

Lucian se tourna, et au lieu de se dématérialisé, ils partient en marchant en direction de ces quartiers. Des gardes s'empressèrent de l'entourer, mais l'empereur les regardas quelque seconde, et ceux-ci tournèrent les talons et retournèrent a leurs postent.

PS: Prochain poste, la chambre de l'empereur.

Nombre de messages : 18 Age : 38 Date d'inscription : 22/01/2007

Maelie etait assise sur larene et sennuyait legerement. Le monde qui se trouvait ici etait tout a faitement la meme chose que sur les autres territoire. Ennuyeux.

Dapres ce quelle avait vue, le monde passait leur temps a essayer de prouver leur valeur. le seul probleme est quil ne prouvait pas du tout leur valeur, puisquil ne sattaquait qua des dragons. Et comme elle lavait deja dit, Maelie trouva que les dragons etaient des etres volant pouvant les aider sur se point, mais pas tres fort. Et Maelie trouvait cela tres drole, presque pathetique.

*Pourquoi ne sattaquent-ils pas a des personnes de taille. Peut etre y verra plus de difficulter.*

Ceci etant dit, elle observa tout ce qui se passait autour delle puis remarqua quune femme etait entrer a laide de guerrier puis elle lui semblait en mauvaise etat. Elle voulu interrompe mais lempreur avait ete un peu plus vite. Maelie avait certe un coeur noir et froid, mais le fait de voir de linjustice, de la lacheter lagressait enormement.

les gardes etaient plus ou moins 5 contre une seul femme. Elle trouvais cela degueulasse. Pendant ces evenements, Maelie setait lever pret a agir lorsque lempreur sortit suivie de la femme.

Puisque tout le monde sembla sen aller, elle decida de descendre les marche. Avan que tous puisse la sonder et lire ses pensers, elle bloqua tout intrusion puis passa aux coter du reste du groupe.

Tout en marchant, elle tourna sa tete legerement tout en ignorant Tira, puis lacha un petit sourire mesquin et charmeur en meme temps aux frere de Lucian.

Puis finalement, Maelie sortit de larene pour aller ou bon lui semble.

Invité

Pirus regarda partir la femme sur le point de mourir au pied de Lucian. Il ne fit rien Lucian en avais déjà assez fait. Puis son frère quitta sans hâte l’arène. Il le laissa faire. Il devait avoir plein de truc moche a faire et c’était son problème, sauf s’il lui demandais de l’aide, mais Lucian étais très orgueilleux. Il ne restais plus que l’étrangère, encore assis dans les gradins. Elle se leva et parti.

Pendant qu’elle sortais, Pirus se tenta de sonder son âme. Mais le plus étonnant c’est qu’il ne se passa rien. Il frappa un mur. D’habitude il n’échouais pas se genre de techniques. Rare étaient ceux qui pouvait l’en empêcher. Il fut sondais parcouru par un frissons de méfiance…

Il la laissa sortir de l’arène. Mais avant qu’elle n’ai le temps d’aller se promener a sa guise…Pirus créa un couloir et y entra. Il apparut droit devant l’étrangère. Elle s’arrêta…

- Que fait tu ici? Qui tu ai? Et comment a tu fait pour créer un défense mentale aussi puissante…? Désolé je suis Pirus « le petit frère de Lucian » comme tout le monde me connais…Mais que faite vous ici ?

Lucian prit une pause…il y avait la beaucoup de questions…en souhaitant pourvoir avoir une éclaircissement sur qui rodait sur le contient clandestinement. Pour ce cacher ainsi on devait avoir quelque chose a cacher et c’est ce que Pirus tentait de trouver.

Nombre de messages : 18 Age : 38 Date d'inscription : 22/01/2007

Maëlie commenca a marcher. Elle ne savait pas vraiment ou aller, mais le detin lui mennera ou bon lui semblait. Elle regarda tout autour delle puis ne vit rien dinteressant. Dun coter, il y avait de grosse montage rocheuse et de lautre cetait la mer. Cette terre etait plutot sombre et cela demoralisait Maëlie. De plus il ny avait personne pour brutalisé. Cetait dun ennui mortel.

Lorsquelle sappreta a changer de direction un homme apparu devant, ce qui la surprit un peu.

*Tiens, cest peut etre mon jour de chance!*

- Que fait tu ici? Qui tu ai? Et comment a tu fait pour créer un défense mentale aussi puissante…? Désolé je suis Pirus « le petit frère de Lucian » comme tout le monde me connais…Mais que faite vous ici ?

Maëlie ne repondit pas tout de suite. Elle se contenta seulement dobserver cet homme et de lanalyser. Maëlie sentit de sa part de la mefiance, et elle sourit a cette decouverte.

-Tu ne trouve pas que cela fait pas mal de question. Surtout que tu en a poser deux fois la meme. Et je sais qui tu es. Je ne suis pas sote.

Avant quil ne se passe quoi que se soit, Maëlie ne prit pas de chance. Elle se concentra le plus subtilement possible et une aura doré sechappa delle. Cetait si lon pouvait dire un mur de protection contre tout attaque.

-Premierement je me nomme Maëlie. Je viens des Terres Inconnues. Jy ait eu ma formation la bas. Je nai que pratiquer mes pouvoirs depuis mon premier souffle. Je nai rien fait dautre et ma formation a ete rude. POur de ce que je fais ici. Jen sais rien. Je croyais pouvoir mamuser ici, mais ce nest pas le cas.

Maëlie commenca a senerver. Sa patience se dissipa peu a peu et brusquement le vent se leva. Un vent seleva plus ou moins menacant.

-Bon dieu, en navez vous pas assez de justifiez vos forces et de toujours falloir prouver votre loyauté et votre force. Vous etes coinsé ici et vous ne faites que vous courbé devant un homme qui vous, dapres moi néglige.

Maëlie prit une grande inspiration pour se calmer et le vent cessa.

-Tant qua moi, jen ai deja mart detre ici. Jamais je me soumetterai devant quelquun et je resterai maitre de moi meme. Apres mur reflexion, sil y a rien qui me retient ici je repart pour le monde exterieur. Cetait plus amusant. Il y a tant de gens a faire souffrire. Franchement je ne sais pas ce que tu pert a rester ici. Mais cest votre choix.

Maëlie sapprocha de Pirus. Ils etaient si pres quils pouvaient sentir leur souffle

-Et toi que fais tu ici?

Invité

Pirus regarda la femme quelques instants puis remarqua qu’elle créa un aura autour de son être. Pourquoi autant de méfiance envers lui-même, Pirus ne croyait pas avoir été provocateur ou même menacent. Pirus écouta avec attention les réponses de Maëlie. Il devait admettre qu’elle étais d’une franchise a couper le souffle.

- … Je croyais pouvoir m’amuser ici, mais ce n’est pas le cas… Bon dieu, en n’avez vous pas assez de justifiez vos forces et de toujours falloir prouver votre loyauté et votre force. Vous êtes coincé ici et vous ne faites que vous courbé devant un homme qui vous, d ‘après moi néglige… Après mur réflexion, sil y a rien qui me retient ici je repart pour le monde extérieur. C ‘était plus amusant. Il y a tant de gens a faire souffrir. Franchement je ne sais pas ce que tu perds a rester ici. Mais c ‘est votre choix….

Pirus ne réagit pas tout de suite… Elle n’avait pas tort au fond… Mais comment changer tout sa… tout cela étais telle qu’elle depuis des lustres. Même s’il voulait changer quelque chose, Pirus ne saurait par ou commencer. Il prit donc une pose pensive. Et décida de se risquer a quelques autres questions…

- Et comment peux t - on intervenir…? Le plus puissant, règne depuis toujours sur ces terres, puis si je voulait partir ou pourrais-je aller ? Je ne connais que ces terres ainsi que celle de cette vermines d’humanoïdes. Et puis pourquoi cette défense a mon égares…?

Puis il prit une pose. Le moment étais venu de répondre a sa question…

- Pour être honnête, ce que je fais ici…? Je n’en sais rien… J’ai toujours été ici… que je me souvienne. Et j’ai toujours eux des supérieurs. J’avoues que l’idée de faire autre chose de ma vie ne m’étais jamais venu a l’esprit. Vous pouvez m’y éclaircir?

Pirus attendit ne sachant plus quoi penser… Cette femme venait de le bouleverser jamais il n’avait eu a l’esprit de faire autres que d’obéir aux ordres. Et même s’il décidais de faire autre chose comment Lucian le prendrais… Pour le mieux, il l’espérait du moins. Le visage confus de Pirus fixa étrangement le regard de Maëlie.

Nombre de messages : 18 Age : 38 Date d'inscription : 22/01/2007

Maëlie attendait que Pirus lui repond. Il navait pas repondu tout de suite, mais il setait contenter de la regarder un instant. Elle se demandait bien a quoi Pirus pouvais bien penser, mais elle ne fit rien. Elle ne voulait pas lire ses pensers, qui peut etre ne servira a rien.

- Et comment peux t - on intervenir…? Le plus puissant, règne depuis toujours sur ces terres, puis si je voulait partir ou pourrais-je aller ? Je ne connais que ces terres ainsi que celle de cette vermines d’humanoïdes. Et puis pourquoi cette défense a mon égares…?

Maëlie reflechit quelques instants a ses questions.

-Ecoutez! Je ne vous connais pas et je connais nulement vos intentions. Alors ne men voulez pas si je prend les mesures deffensive.

Maëlie sareta un instant pour reprendre son soufle. Cetait la premiere fois quelle parlais aussi longtemps avec quelqu'Un. Normalement, apres deux echange, elle tuait lautre. Mais quelque chose en cet homme lattirait.

-TON frere est l'empreur, Et remarque bien que jai accentué sur le ton. Tu es son frere, alors tu na pas a lobeir, Tu as autant de pouvoir que lui. Vous etes censer de reigner a deux.

Voyant quil avait lair troubler elle sarreta et decida de lui expliquer son opinion.

-Bon je texplique. Cest sure que la personne qui aura plus dautorité aura la place sur le trone. Ainsi sil est plus puissant. Mais sil adviendrait que celui ci aurait un frere ou une soeur, il devrait tenir compte de lui. Tu devrait etre toujours a ses coters et laider dans sa tache. Sois en le onseillant sois a etre son bras droit ou tout simplement etre son frere et quil vous traite ainsi. Et non comme tous les autres de votre race!

maëlie sarreta encore une fois pour quil prenne le temps de peser chaque mot.

-Peut etre que vous navez pas ete si loin que sa dans vos voyages. Il ny a pas que votre terre et la terre des humains. Il y a surement autre chose. ET tant mieux si cest des humains, nous pourrions les manipuler et les faire souffrire. Cest mon jeu preferer, mais je doit dire que ca devient lassant de se faire regarder de travers et de les voir fuire a chaque fois.

Invité

Pirus regardais… rien en fait il étais complètement absorber par sa conversation… elle avait raison en quelque sorte.
Il pesa les mots qui résonnais dans ces oreilles et figea…

- Et vous qu’aller vous faire rester ici ou repartir…? Si c’est de la compagnie que vous voulez…

Puis il prit une pause... Et que ferait-il sur Irianeth…? Il ne fesait que tuer des soldats pour passer le temps…les dragons c’était la première fois…! Peut-être que Pirus n’avait été que sur l’autre rive mais par ou aller sinon ?

Puis il se risqua… :

- Que faire maintenant pour la survie des Tanieth ? Pour que liberté soi faite…?

Pirus espérais recevoir des plan de guerres ou encore des technique de diplomatie… qu’allait-il tirer de cet échange…

Nombre de messages : 18 Age : 38 Date d'inscription : 22/01/2007

maelie ne savait pas trop quoi lui repondre. Depuis le debut maelie avait une vision des choses differente des autres. Et ce surtout des Tianeths. Comment lui expliquer ses points de vues. Il avait ete elever par des personnes de son rang et navait jamais rien vu dautre que sa vie actuel.

-Je ne sais pas vraiment quoi te repondre. Moi jai vue autre chose que cette terre. pour ne pas attirer le couroux de ton frere, pourquoi ne pas lui proposer son accord pour aller voir du pays. Demande lui la permission de partir avec moi et ou meme quelquun dautre.

Maelie prit une pause puit regarda Pirus droit dans les yeux. Ce qui etait etrange pour les autres cest que par moment les yeux de Maelie etait si profond qu'il semblaient silluminer. Ses yeux de couleur rouge sembraisa.

Maelie sapprocha davantage de Pirus et lui murmura a loreil.

-La decision te revient de droit. Je taccompagnerai partout ou tu le voudra, meme si cest pour rester en ces terres.

Invité

Pirus écoutais attentivement…

- Je ne sais pas vraiment quoi te répondre. Moi j’ai vue autre chose que cette terre. pour ne pas attirer le courroux de ton frère, pourquoi ne pas lui proposer son accord pour aller voir du pays. Demande lui la permission de partir avec moi et ou même quelqu’un d’autre.

Et pourquoi voudrait-il partir avec quelqu’un d’autre…? Pirus était bouleverser, il avait donner sa parole a Lucian… il voulait la respecter… Il en venu a la conclusion que… pourquoi n’allait-il pas voir Lucian ensemble…

- Vien avec moi… nous allons allez a sa rencontre pour en discuter…? Il nous écouteras… j’en suis sure…

Il attendit la réaction de Maëlie. Il ne voulait pas la brusquer elle avait du temps devant elle…

Nombre de messages : 18 Age : 38 Date d'inscription : 22/01/2007

Maelie attendait apres la reponse de Pirus, mais il etait rester la a rien dire pendant de longue minute. Aucune reaction, aucun mot, aucun geste, tout portait a croire quil etait partit ailleur. Maelie trouvait cela amusant puisqu il netait vraiment pas attentif a se qui lentourait. Ce qui aurait ete dangereux pour lui.

Finalement ses levres se mit a bouger et a dire quelque chose.

- Vien avec moi… nous allons allez a sa rencontre pour en discuter…? Il nous écouteras… j’en suis sure…

-Ca jen doute pas.

*Il a interet,......* setait elle dit dans sa tete.

-Et bien allons y Sir Pirus, je surveille vos arriere si vous y voyez aucun objection, avait elle dit avec un sourire taquineur.