La chambre d'Éléandra...

Les gardes ne la lancèrent pas cette fois, mais la poussa un peu brusquement, pour qu’elle entre, fermant la porte derrière eux en la claquent. Un garde s’avait posté devant sa porte et les autres étaient partit.

Seule, elle se tourna pour regarder sa chambre vide. Grande et richement décoré son père le lui avait donné. Pas parce qu’il l’aimait, au contraire, tout simplement parce qu’elle avait hérité du nom de «Ma fille» et qu’il ne se voyait pas vraiment donner une chambre à celle-ci toute crasseuse. Son rang était en jeux, parce que donner t’en à une ennemie (Elle ne l’ai plus), était une marque de folie et la folie montre qu’on est riche...

Ce n’était pas pour sa fille qu’il avait fait cela, mais pour lui... Pour son propre avantage personnel.

En rentrant dans sa chambre on pouvait voir son lit face à la porte.

Son lit était grand (BALDAQUIN) et avec des draps noirs... Les cousins sur celui-ci étaient rouge vin et les murs étaient de pierres sombres. Des voiles rouges vin, encore une fois, tombaient par-dessus son lit laissant une seule ouverture pour s’y choir. Tous les autres côtés de son lit étaient voilés. Éléandra avait une commode, deux divans de cuire noir, capitonnés et une grande fenêtre qui portait sur la noirceur total.

(Je ne pense pas qu’il y est un grand paysage avec de la végétation sur le continent... Si c’est le contraire et bien s.v.p faites moi l’ai savoir ^^)

Sur le rebord de ses fenêtres, il y avait des voiles noirs pour couvrir celle-ci la nuit. Elle avait dans sa chambre un long banc de fer travaillé au pied de son lit, un paravent pour se changer et une bibliothèque pour lire des livres et passer le temps. Des chandeliers d’argents étaient placés un peu partout et un foyer massif si trouvait en théorie allumé faisant crépiter le bois rougeâtre, dû aux tisons. La chambre était le soir allumé que par ses éléments qui perçaient l’obscurité pour faire de cette chambre un coin apaisant et calme aux murs dansants par les flammes émit de ceux-ci...

Éléandra posait ses armes sur le banc de fer placé en avant de son lit.

Comme elle était rendu seul et que personne ne pouvais savoir se qu’elle faisait, elle alla proche de son lit et si fit tombé sur le dos morte de fatigue... Sa robe s’étendit sur son lit comme un éventail ouvert. Sur le coup, elle eu une plainte étouffé, car elle ne se rappelait plus qu’elle avait des entailles sur sa peau... Elle s’assit donc sur son lit et commença à détacher son corsage pour voir si elle ne pouvait pas remédier à cela. Elle se mit devant un grand miroir de dos, tenant le devant de sa robe et regarda se qu’il lui faisait mal. Éléandra tassa ses cheveux noirs ébène sur le côté pour laisser son dos dénudé...

Éléandra vu dans son dos qu’elle était rouge à cause du sang et elle vu, après savoir tourné complètement, sur sa bouche, que l’homme ne l’avait pas manqué. Elle porta sa main au sang qui coulait sur le bord de ses lèvres et au contacte de son doigt, elle trouva que la blessure brûlait...

Elle eu comme automatisme d’ôter sa main pour ne pas empirer le mal.

Au côté de son miroir, il y avait une table et sur celle-ci une bassine d’eau et une cruche. Tous faites d’argent... Elle prit par la poigner, la cruche et versa dans le récipient, l’eau pure qui si trouvait. Dans un filament d’eau, l’eau tomba avec grâce dans un son comparable à un clapotis délicat. La jeune femme prit un tissu et le trempas délitement dedans. Éléandra tordit le linge, laissant l’eau qu’il contenait couler entre ses doigts et commença à éponger le coin de sa bouche et son entaille à son sourcil pour faire disparaître les traces de martyr.

Ensuite, elle se retourna encore une fois et du mieux qu’elle pu, elle commença à épongé les plais béantes qui étaient sur sa peau de soie. Elle avait de la difficulté à aller partout, mais elle essaya de faire de son mieux...

Sur chaque contacte, elle éprouvait un mal incomparable et atroce. Elle se mordit la lèvre inférieure et ferma les yeux pour encaisser le tout. Éléandra aimait mieux souffrir pour se guérir, que de souffrir pour rien ou pour simplement faire plaisir à quelqu’un...

Lucian se dirigeait vers ces quartiers, pour préparer l'attaque, quand soudain, le visage de l'esclave lui revint a l'Esprit. Il l'avait sondé, et découvert en elle une force hors du commun. Elle savait aussi manier a magie et les armes. Il arrêta sa marche, et repartit en sens inverse pour aller rejoindre la jeune femme, qu'il repéra a l'intérieur de ces quartiers. L'empereur arrêta d'un coup sec devant la porte, et regarda le garde. Celui-ci se poussa du chemin, et laissa passer son maître, une pointe de peur dans ces yeux.

Lucian ferma la porte derrière lui, et s'accota au cadrage pour regarder la jeune femme nettoyer tant bien que mal ces innombrables blessure. L'Empereur déclara alors:

- La prochaine fois que une des ces créatures te blesse, je ne veu pas que tu hésite. Tu les, car ces exactement ce que tu devrais faire.

Lucian s'approcha de la femme, et lui dit:

- Je pense que les présentations non pas été faite proprement. Moi, je me nomme Lucian, et toi, qu'elle est ton nom?

L'empereur attendit la réponse de Éléandra, tendant la main vers le tissu mouiller pour l'inciter a le lui donner pour qu'il puisse l'aider a nettoyer ces blessures.

Éléandra avait épongé une partit des plais sur son épaule, tout en plongeant sa main à chaque fois pour faire partir le sang qui avait tâché le morceau de tissu. Elle allait continuer plus bas quand elle entendit quelqu’un lui adresser la parole :

«La prochaine fois qu’une des ces créatures te blesse, je ne veux pas que tu hésites. Tues les, car c’est exactement ce que tu devrais faire.»

Comme elle était en train de regarder son dos et qu’elle n’avait entendu personne entrer, elle porta son premier regard dans son miroir pour voir le reflet de la personne qui lui avait dit ça et quand elle vu l’homme, Éléandra tourna la tête subitement pour le regarder de face.

L’homme accoté sur le cadre de porte la regardait d’un regard observateur... Éléandra ne savait pas si cela faisait longtemps et elle ne pu avoir un regard de stupéfaction. Son linge toujours à la main, elle n’avait pas bougé. Qu’allait- il lui faire? Il la connaissait, maintenant que voulait-il d’elle? Trouvant qu’on voyait trop sa peau, elle entreprit d’attacher son corsage dorsal. Les plais lui faisaient plus mal que lorsqu’elle les épongeaient. Cette fois le tissu de sa robe était constamment sur ses coupures et ça brûlait éperdument.

Elle allait faire tout se qu’il voulait, mais elle ne voulait pas qu’il pénètre dans sa chambre sans toquer... Il était peut-être l’empereur, il aurait pu la prendre dans une situation plus délicate et gênante.

Elle pensa sur le coup :

*Il ne se gêne pas...*

Lucian lui dit, après sa réflexion, tout en s’approchant d’elle :

«Je pense que les présentations non pas été faite proprement. Moi, je me nomme Lucian, et toi, qu'elle est ton nom?»

Il pensait vraiment qu’elle allait lui dire son nom... Et bien, elle n’aurait pas le choix tout ou tard de lui dire.... Enfin, Lucian avait tous les droits sur elle et si il lui demandait une question, elle avait comme devoir de lui répondre sur le champ...

Elle aurait voulu se sauver de la question et partir en douce, mais elle n’aurait pas eu le temps... Pour elle, son nom n’était rien... On le lui avait donné pour combler celui qu’elle ne se rappelait plus. Éléandra le suivit simplement du regard, pour voir se qu’il voulait.

Lucian, attendait sa réponse et avait tendu la main pour lui venir en aide... Elle ne savait même pas si il était avec des bonnes intentions.... Elle se contenta de lui répondre avec une voix sur d’elle et froide. Tout pour cacher les apparences, car elle était tout de même reconnaissante de son geste :

- Je ne veux pas vous insultez, mais je suis capable de prendre soin de moi.... Je l’ai fait toute ma vie donc, je ne voix pas pourquoi ça changerait. Vous pouvez diriger comme sa vous satisfait, mais ne me prenez pas comme ses personnes qui vont tout faire selon vos caprices. Si j’ai réussi à surmonter se que vous avez vu sur mon dos et bien, je crois que je survivrez encore une fois. Vous pouvez faire se que vous voulez de moi, je suis prête... Vous êtes rendu comme j’ai entendu, la personne qui décidera dorénavant de mes moindres gestes. Je vais vous dire mon nom seulement parce que je n’ai pas le choix, pas par envie croyez moi.... Je me nomme Éléandra Dragonia....

Éléandra regarda en direction de ses armes. Elle anticipait la suite. Son père l’aurait frapper pour se qu’elle venait de dire et elle était absolument sur qu’elle allait subir le même sort... Même si c’était Lucian qui était désormais en charge d’elle, Éléandra savait que cela n’allait rien changer à se qu’elle endurait. Les gens du mal aimaient trop voir le monde autour d’eux souffrir. Pourquoi pas lui aussi? Il avait pourtant un cœur noir comme tous les autres!!!

Éléandra se recula, pas par pas... En temps normal, elle aurait frappé son père pour prendre la fuite, mais comme elle se trouvait en avant de l’empereur et qu’il était selon les dires plus puissants que qui compte, elle n’en fit rien. Elle pensa juste avec une intuition de femme, de s’armer au cas ou il voudrait lui faire du mal.

Éléandra reculait toujours et quand elle ne put faire le moindre pas vers l’arrière, bloquée par une table qui se trouvait dans son dos, elle pensa sur le coup que sur celle-ci, était positionné un chandelier à trois chandelles et tâtonna la table pour en prendre la base.

Ne voyant rien, sa main maladroite accrocha le chandelier qui tomba par mégarde au sol dans un bruit métallique et celui-ci roula sur le plancher pour s’éloigner d’elle et pour atterrir au pied de l’empereur.

Sur se fait, Éléandra garda la tête haute n’ayant pas quittée le regard de Lucian une seconde... Elle avait dévoilé ses intentions qui étaient de s’armer d’un objet dure pour le frapper si il tentait quelque chose. La guerrière avait une respiration un peu plus rapide et elle pensait juste, à allez chercher sur son banc de fer ses armes...

- Je ne veux pas vous insultez, mais je suis capable de prendre soin de moi.... Je l’ai fait toute ma vie donc, je ne voix pas pourquoi ça changerait. Vous pouvez diriger comme sa vous satisfait, mais ne me prenez pas comme ses personnes qui vont tout faire selon vos caprices. Si j’ai réussi à surmonter se que vous avez vu sur mon dos et bien, je crois que je survivrez encore une fois. Vous pouvez faire se que vous voulez de moi, je suis prête... Vous êtes rendu comme j’ai entendu, la personne qui décidera dorénavant de mes moindres gestes. Je vais vous dire mon nom seulement parce que je n’ai pas le choix, pas par envie croyez moi.... Je me nomme Éléandra Dragonia....

Lucian éclata de rire suite a la déclaration de la jeune femme. Enfin, un peu de mordant. Il resta calme, et la regarda rculer avec une étincelle d'amusement dans les yeux. Il savait ce que elle voulait faire, elle était prévisible, et l'empereur aimait bien sa fougue. Lorsque elle bouscula la table, et que un chandelier tomba sur le sol pour rouler jusqu'a Lucian, celui-ci prît un aire offensé et dit de manère sarcastique:

- Un chandelier, vous m'insultez complètement la.

Lucian fît léviter les armes de la jeune femme jusqu'a elle, et déclara avec un aire amusé sur le visage:

- Je vous en prît, je pense que celle-ci serait beaucoup plus efficace contre moi.

L'empereur déposa les armes de Éléandra devant elle, et il dit:

- Je ne veu pas de chien qui demande leur os a chaque fois parce que ils ont faim, mais des êtres intelligent qui seront se battre pour leurs désirs. Si, par cela, je meurt, c'Est que cela veu dire que je ne suis pas le plus puissant.

Lucian écarta les bras, et dit:

- Aller, vien, je t'attend. Donne tout ce que tu as.

L'empereur attendit patiemment que la jeune femme fasse le premier mouvement.

(Serais-tu du style à chercher le trouble!!^^ loll jk)

Après ses mots, Lucian avait osé rire de se qu’elle venait de lui dire... Elle était pourtant très sérieuse. Il n’y avait pas de quoi rigoler. Lucian, après avoir fait une aire froissée, lui dit sarcastiquement :

«Un chandelier, vous m'insultez complètement là.»

Voyant qu’il avait un certain sens de l’humour, elle ne se pria pas de lui répondre. Posant sur lui son regard noir avec un sourire en coin.

- Voyez don!!! Ce n’était pas mon intention... Disons que se n’était pas l’envie qui manquait.

Il voulait jouer à deux, il avait trouvé la mauvaise personne pour ça. Éléandra n’avait pas sa langue dans sa poche et pouvait lui répondre avec la plus grande froideur comme avec le plus grand des amusements. Lucian avait pas bougé sur se qu’elle avait dit...

Il regarda plutôt autour de lui et vu sur le banc de la jeune femme son arme... Il la fit léviter tout en lui disant d’une aire amusée :

«Je vous en prît, je pense que celle-ci serait beaucoup plus efficace contre moi.»

Elle n’avait rien dit et entendit la suite de son discourt. Celui-ci continua comme elle l’avait prédit tout en déposant à ses pieds l’attirail pour un combat :

«Je ne veux pas de chien qui demande leur os à chaque fois parce qu'ils ont faim, mais des êtres intelligents qui seront se battre pour leurs désirs. Si, par cela, je meurs, c'est que cela veut dire que je ne suis pas le plus puissant.»

Lucian écarta les bras et continua :

«Allez, viens, je t'attend. Donne tout ce que tu as.»

Que voulait-il dire par désirs? Et Éléandra pensa sur le coup qu’il ne parlait pas de lui... Parce qu’intelligent, elle en doutait un peu... Elle avait commencé à tourner autour de lui, d’un pas lent pour regarder si réellement, il était comme elle pensait.

Elle n’avait pas touché à l'arme au sol, sa robe rouge vin suivant derrière elle. Avec un autre sourire qui se dessina sur ses lèvres, tout en restant polit bien entendu, car il était l’empereur après tout, elle se repositionna devant lui. Comme si les rôles s’étaient inversés... Elle lui dit tout en le regardant de bas en haut, pour finir sa course dans son regard :

- À vous voir, vous êtes sur de vous... Distingué, vous aimez qu’on vous voie... Le pire dans tout cela est que vous me demandez une joute. Pitoyable de vouloir s’attaquer à une personne déjà faible. N’avez-vous pas plus d’orgueil, d’honneur...??? Navez-vous pas honte?

Elle baissa la tête, dans un petit mouvement de gauche à droite et fit un bruit de bouche, comme pour dire «non, non, non» ou ben «c’est vilain». Comme si il était un enfant... Elle commençait tout bonnement à s’amuser.

Elle avait toujours mal au dos et sa tête commençait à tourner, mais elle se ressaisissait pour ne pas montrer sa faiblesse. Éléandra avait beaucoup de cran et elle se refusait de faiblir sous les yeux de l’empereur. Une bonne chose pour qu’il la croit faible toujours... Se qui n’était pas vraiment son cas...

Éléandra continua :

- Si je prends les armes et que je vous touche... Votre ego serait, par la même intension, ternit.... Bon défit!!

Elle pensa un moment à la proposition très tentante. Si elle le touchait ne serais-ce qu’un peu, dû à son états cela serait un grand exploit. Peut-être allait-il reconsidérer son offre, car il pouvait voir qu’elle n’était pas de taille en se moment. Du moins, Éléandra allait remplir sa demande si il lui prenait un envie de vouloir se battre avec elle. Il pouvait lui demander ce qu’il voulait, elle le ferait... Jusqu’à lui faire plaisir pour combler son manque de jugotte et d’observation.

Éléandra prit l’épée qu’il avait déposé en avant d’elle et lui dit avec un rire étouffé :

- Si cela ne vous dérange pas, faite attention aux meubles...

Elle avait dit cela avec une pointe d’ironie, car elle voulait piquer à vif l’empereur. Elle ne voulait surtout pas se faire marcher sur les pieds et montrer de quoi elle était capable. Elle n’était pas de ces filles, elle n’était pas comme eux loin de leurs ressembler, elle était pourtant unique... Elle n’avait pas peur des hommes et encore moins de leurs façons d’agir. Elle les connaissait, depuis le temps, par cœur.

Les hommes étaient avec la mentalité... Comme le proverbe le dit si bien «C’est la loi du plus fort».

Elle attendit un mouvement de sa par une parole... Enfin, de quoi...

( oui, j'adore provoquer les jolies dames lol. Twisted Evil

, et j'adore les voires se frustrer et mordre lol MDR)

Lucian observa Éléandra tourner alentour de lui, et dire:

- À vous voir, vous êtes sur de vous... Distingué, vous aimez qu’on vous voie... Le pire dans tout cela est que vous me demandez une joute. Pitoyable de vouloir s’attaquer à une personne déjà faible. N’avez-vous pas plus d’orgueil, d’honneur...??? Navez-vous pas honte?

L'empereur ricana suite a ces déclarations. Alors, voila que on leurs donne un peu de liberter, et le papiloon sort presque instantanément de son cocon. Il ne pu s'empêcher de sourire, car elle aurait une belle surprise. Il continua d'écouter son monologue:

- Si je prends les armes et que je vous touche... Votre ego serait, par la même intension, ternit.... Bon défit!!

Qu'elle ego, Lucian éclata de nouveau de rire. Décidément, cet femme avait énormément de mordant. Seulement, elle disait vrai sur un point....elle n'était pas dans son meilleur état de santé, et lui oui. Lucian la regarda prendre son épée, et dire:

- Si cela ne vous dérange pas, faite attention aux meubles...

L'empereur avança dans sa direction, et avec une vitesse tout aussi grande que la fois ou il avait saisit l'homme insecte, lui toucha le brasm, et une puissante lumière blanche sortit du contact, cicatrisant toute les blessures de Éléandra. Lucian recula, et déploya de nouveau les bras, tout en disant:

- Voila, maintenant, nous sommes a armes égales, car nous sommes maintenant tout les deux au meilleur de note forme.

Il la regarda avec un aire de défit, et dit:

- Attaque, si tu as vraiment du courage:

Lucian attendit patiemment qu'elle fasse le premier mouvement.

( A toi d'attaquer Twisted Evil

)

La jeune fille attendait toujours. Elle n’avait toujours pas quitté la pupille noir des yeux de l’empereur. Il semblait rire... Au moins, elle avait touché un point sensible. Si il riait, c’était parce qu’elle n’avait pas tout à fait tord. Elle trouvait drôle qu’il rie de lui... Car on ne parlait pas d’elle, mais de lui en se moment. La discussion était axée sur lui.

Il devait se sentir flatté... Mais disons qu’elle ne lui lançait pas des roses, mais se méfiait beaucoup.

Lucian s’était approchée d’elle, pensant que cette fois, elle avait été trop loin, Éléandra baissa et tourna la tête en direction de la fenêtre. Sa joue prête à avoir une gifle. Ses cheveux longs tombant dans son visage....

Elle avait resté droite et n’avait pas bougé... Éléandra commença à anticiper le coup.

Il avait avec une vitesse et d’une façon imprévisible prit son bras. Sa main chaude avait empoigné son bras délicat. Éléandra n’avait pas bougé, mais elle avait porté ses yeux sur se qu’il voulait lui faire. Un halo blanc sortit donc de celle-ci et ses plais béantes se cicatrisèrent comme si elle n’avait jamais rien eu. L’empereur recula, laissant ses doits frôlés sa peau douce vers la fin... Il écarta les bras encore une fois et dit, cherchant vraiment à se battre :

«Voila, maintenant, nous sommes à armes égales, car nous sommes maintenant tous les deux au meilleur de note forme. Attaque, si tu as vraiment du courage»

Éléandra avait eu le mot de départ... «Attaque» Comme si il s’adressait à un chien... Elle n’en prit pas réellement compte, mais tout de même!!!

Combattre avec une femme et ne pas mesurer les risques, pensant que celle-ci n’était qu’une débutante, il se croyait vraiment invincible. Peut-être l’était-il?

Elle ne prit pas en considération cette hypothèse. Si il voulait TESTER, je dis bien TESTER son potentiel avec une femme... Éléandra n’avait rien à dire. Elle pouvait penser, mais pas dire, qu’il avait une drôle de façon de faire les connaissances... Combat après les présentations, Lucian avait sauté un chapitre. Il voulait peut-être voir de quoi elle était capable.... Bref, elle ne le fit pas attendre, ça serait comme il le voulait...

Elle lui demanda, tout en se positionnant pour commencer un duel. L’épée à la main :

- Pourquoi avez-vous fait cela? Je n’ai rien demandé... et........... Vous me sortez pour la deuxième fois d’une impasse... La première pour l’homme insecte dans l’arène et cette fois pour mes blessures. Vous n’êtes pas supposé faire tout cela!!

Éléandra avait monté, subtilement sans se faire démasquer, le chandelier au sol sur son pied et l’avait frappé de son pied.

(Soccer loll, pas bon comme exemple, mais c pour que tu comprennes le principe).

Le chandelier alla dans la direction de Lucian et finissant sa course, il tomba plus loin, faisant une diversion. Elle fit, voyant que ça l’avait marché, une sorte d’attaque vers les côtes de l’empereur tout en créant un tour sur elle-même et en faisant voler sa robe longue autour d’elle. Avec grâce... Mais elle était en théorie, plus manqué qu’un homme, elle posa la pointe de son arme sous la gorge de Lucian au lieux de sur ses côtes. Il n’avait pas bougé, comme elle avait enchaîné tout, un à la suite de l’autre.

Elle commença à faire un légère pression, sans pour autant lui faire un égratignure et qu’il est mal. Il allait sans toute trouver son geste digne d’une guerrière, elle n’avait pourtant rien fait. Elle le fit reculer lentement et lui dit avec un sourire moqueur, mais à la fois troublant :

- Il faudra que vous soyez plus polit pour que je me batte avec vous... Et....... À oui, prochaine fois ne me demandez pas de combat dans une chambre. L’endroit n’est pas approprier pour se genre de chose, à moins que........ J’y trouve l’envie... Et pour le chandelier, il était de taille contre vous....
De peur de vous insulté encore une fois, je vais tenter quelque chose qui ne vous plaira pas, j’en suis sure....

Toujours la poigner de son épée dans sa main, elle prit la pointe affilée entre ses doits et posa l’épée sur le torse de l’empereur ses mains proche de ses épaules... Elle ne quitta pas le visage de celui-ci. Elle le poussa pour qu’il fasse quelques pas vers l’arrière et quand celui-ci se trouva dans le corridor, elle prit la porte, tenant toujours son épée et ferma celle-ci au nez de Lucian, rapidement. Il allait se rappeler d’elle...

Comme on dit : «Attend ton tour»

La porte fermé, elle se tourna et s’accota dos à celle-ci. Elle eu un sourire... Elle le trouvait assez charmant. Mais il était l’empereur, donc.... et elle rien... Elle ne pouvait pas, par contre, s’empêcher de penser qu’elle aimait son sens de l’humour et son aire prétentieux d’intouchable. Éléandra se laissa glisser pour tomber assit au sol, toujours un sourire rêveur aux lèvres. Elle pensa :

* Il devra se passer de mon habilité au combat, dommage.... Espérons qu’il ne se sente pas trop vexé....*

Éléandra avait accoté sa tête sur la porte de fer et eu soudain un mal de tête... Lucian avait peut-être soigné ses blessures. Elle était toujours aussi faible, puisqu’elle n’avait rien mangé encore. Elle se leva chancelante et fit quelque pas vers son lit pour s’y étendre. Cela allait sûrement passer d’ici peu... La guerrière n’avait pas fait deux pas qu’elle se fit prendre d’un pincement à la tête. Elle y porta sa main et l’autre sur son ventre.

Éléandra pensait que tout était partit, mais non, elle s’avait trompé....

Elle s’affaissa au sol inconsciente et blême. Sur le côté, un bras sous sa tête, ses cheveux bouclant sur le sol et sa robe épousant sa fine silhouette.

(Pardon pour les fautes, j'ai pas eu le temps de me relire)

Lucian regarda avec une étincelle d'amusement dans les yeux Éléandra lui dire:

- Pourquoi avez-vous fait cela? Je n’ai rien demandé... et........... Vous me sortez pour la deuxième fois d’une impasse... La première pour l’homme insecte dans l’arène et cette fois pour mes blessures. Vous n’êtes pas supposé faire tout cela!!

L'empereur ricana légèrement, et dit:

- Je fait ce que bon me semble, et je n'ai rien a justifier a personne.

Il la regarda se mettre a garde, et puis.....ce fut le chandelier qui vola a côté de sa tête, ce qui surpris Lucian. A peine eu t'il le temp de tourner la tête, qu'elle effectuait une attaque. Il allait contrer, mais la feinte passa admirablement bien les défences de Lucian, et la pointe de larme alla toucher la gorge du monarque. Cela le surprit quelques instant, mais il souria, et dit:

- Touché.......

Éléandra pressa légèrement la lame contre sa gorge, pour qu'il ressente un peu de douleur. Lucian ne fit rien, mais prépara mentalement une attaque magique comme celle que la jeune femme avait effectué. Il ne se ferait certainement pas tuer aussi facilement. Il la regarda avec une étincelle d'amusement dans les yeux, et l'écouta parler:

- Il faudra que vous soyez plus polit pour que je me batte avec vous... Et....... À oui, prochaine fois ne me demandez pas de combat dans une chambre. L’endroit n’est pas approprier pour se genre de chose, à moins que........ J’y trouve l’envie... Et pour le chandelier, il était de taille contre vous....
De peur de vous insulté encore une fois, je vais tenter quelque chose qui ne vous plaira pas, j’en suis sure....

Lucian observa la lame descendre sur son torse, et frôler l'armure qu'il portait sous ces vêtements. Si elle tentait de la sorte de lui transpercer la poitrine, elle aurait une agréable surprise. Pourtant, elle le poussa hors de la pièce, et lui ferma la porte au nez. Lucian éclata de rire. Le premier contact avait été des plus plaisant. Il massa sa gorge, et il sentit la jeune femme tomber sur le sol. Il souria, et ouvrit la porte a l'aide de son pouvoir de lévitation. En entrant, il regarda un des gardes, et lui ordonna:

- Aller chercher a manger, maintenant.

L'insecte fit un signe de la tête, et partit a courir dans les couloirs pour aller chercher a manger. Lucian prît la jeune femme dans ces bras, et alla la porter sur son lit. Il lui toucha le front, et sentant que son énergie était très basse, il lui en transmis un peu. Ensuite, il la recouvrit a l'Aide de sa couverture, juste au moment ou le soldat entrait avec un plat. Lucian lui fit signe de mettre le tout sur la table de nuit, et le garde sortit de la pièce.

L'empereur poussa quelque mèche qui était sur le visage de Éléandra, et il alla s'installer sur un siège un peu plus loin, attendant qu'elle veuille bien se réveiller. Tout de même, au travers la collectivité, le seigneur envoya des ordres ausx insectes pour continuer lespréparatifs de guerre.

Éléandra avait écouté se que Lucian lui avait dit après qu’il lui est demandé pourquoi, il avait fait ça... :

«Je fais ce que bon me semble, et je n'ai rien à justifier à personne.»

Elle lui répondit :

- J’avais remarqué... De toute façon, même si vous faites qu’à votre tête, tout le monde sera à vos pieds, dû que vous êtes l’empereur...

Elle avait dit ses mots sur un ton froid... Mais moqueur à la fois.

Bref, elle avait fait une attaque et en un rien de temps, Lucian s’avait trouvé hors de la pièce. La laissant seule, comme elle le voulait. Elle ne s'avait pourtant pas rendu compte que son état avait empiré. Elle avait tombé au sol sans conscience. S’affaissant ou tombant comme une feuille de printemps qui quitte l’arbre pour toucher la terre et se confondre à la nature sauvage.

Éléandra avait perdu la carte, comme on dit... Dans une sorte de sommeil, elle n’avait pas réellement conscience de ce qui se passait. Elle ne voyait rien, mais entendait des voix à quelques reprises.

Elle entendit une porte s’ouvrir et d’une façon floue, des ordres faites, par quelqu’un.

La guerrière se fit prendre comme une plume... Et d’une façon délicate. Encore endormit, elle avait eu pendant un bref instant la sensation de voler... Si se n’est que d’être tenu par des bras forts....

Elle se fit déposer sur quelque chose de mou. Elle ne sentit pas les doigts toucher son front et l’énergie qu’elle se faisait donné. Elle eu comme seule sensation un gros mal de tête... Éléandra pouvait sentir l’agitation proche d’elle et une présence, mais rien de plus. Quand elle sentit sur elle la chaleur, ne pouvant pas bouger, elle eu une sensation de confort.

L’homme lui avait tassé quelques mèches de ses longs cheveux qui s’avait placé dans son visage et était partit. Le reste, elle en eu point connaissance puisqu’elle tomba dans un sommeil pour se remettre de cette sacrée douleur à la tête.

Ses mains à moitié fermées étaient placées proche de sa tête... Elle avait un visage d’ange quand elle dormait... Entouré de sa luxuriante chevelure d’ébène et par-dessus son lit la recouvrant, des voiles rouge vin.... De nombreux cousins étaient placés proche d’elle et ses couvertes noires de plume d’oie la réchauffaient sans cesse. Sur son front se trouvait toujours son pendentif...

Elle avait dormit un peu, pas beaucoup, juste pour dire... Quand elle ouvrit les yeux, elle ne bougea pas. Elle regarda les voiles qui la recouvraient. Son premier geste fut de porter une main à sa tête et de s’assoire dans son lit, la tête basse. Elle entendit un bruit et vu qu’elle n’était pas seule. Une silhouette noire, apparaissait en arrière du voile. Elle tassa une petit partit de celui-ci pour voir qui était assit et qui la regardait ainsi avec insistance.

Éléandra vu Lucian...

Que faisait-il là? Que lui avait-il arrivé?

Elle lui demanda un peu endormit et surprise de le revoir, après lui avoir claqué la porte au nez :

- Je vous croyait partit.... Depuis quand je suis là...? Et depuis quand, vous êtes là?

Elle avait passé une main dans ses cheveux. Éléandra était étourdit, comme si elle avait un ouragan dans la tête. Une tempête ravageuse qui lui brouillait l’esprit. Elle avait manqué des bouts. Elle ne se rappelait de rien. Elle ne se rappelait même plus sa chute au sol... La seule chose qu’elle gardait en esprit était quand elle avait fermé la porte au nez de Lucian et pour le reste.... Le noir total...

Éléandra poussa les couvertes épaisses, mais légères de sur elle. Elle sortit une jambe et l’autre par la suite. Elle déposa ses pieds nus sur le sol qui lui paru froid sur le coup et doucement elle t’enta de se lever... Elle n’avait pas l’habitude de se sentir aussi faible et Lucian qui la regardait n’améliora pas son côté forte, combattante, qui na peur de rien... Elle se sentait minuscule, impuissante... Face à lui.

Elle lui dit tout en se rassissent sur son lit :

- Vous allez avoir une belle image de moi.... Vous auriez du me tuer...

Elle prit une pose et posa son regard dans le sien pour continuer :

- Dites moi pourquoi on me donne t’en d’importance... Pourquoi ne m’avez-vous pas refusé... Pourquoi m’avoir tout simplement défendu... Je ne suis pas un joyau, je sais seulement me battre, voilà tout... Que vous apporterai-je de si précieux?

Elle n’avait pas quitté son regard, attendant une réponse de sa part....

Lucian allait devoir répondre, et cette fois elle voulait une réponse franche, venant de lui c’était la moindre des choses... Il était l’empereur et seul lui, avait la réponse à ses questions qu’elle se posait depuis son enfance.

Lucian resta un long moment plongé dans sa contemplation de la jeune femme. Pourtant, pendant que lui était assis a regarder, une autre partit de son esprit était profondément plongé dans la collectivité, suivant tout les va et vient de son peuple. Il y avait une personne en particulié qui attirait son attention, son frère Pirus. Sa conversation avec l'étrangère le rendait très curieux. Alors, son frère pensait qu'il n'avait aucune place dans le royaume des Tanieths, que l'empereur le considérait comme un insecte. Pourtant, si il n'était qu'un insecte, Lucian ne lui aurait jamais donné le rôle de second....jamais.

Puis, Éléandra sortit de son profond sommeil, et réalisa qu'elle n'était pas seul dans la pièce. Elle ouvrit légèrement les rideaux la recouvrant, et vit que l'empereur se trouvait dans la pièce. Elle secoua un peu la tête, afin de chasser le sommeil, et dit:

- Je vous croyait partit.... Depuis quand je suis là...? Et depuis quand, vous êtes là?

Lucian la regarda de ces yeux violets, et dit d'un t'on paisible:

- Cela quelques heures que vous dormez, et je suis ici depuis se moment précis.

Puis, Éléandra tenta de se lever, chancela, et se rassit. Lucian saisit parfaitement son état. Il savait comment elle se sentait, et le fait qu'elle n'aimait pas la situation. Il ne dit rien, et l'entendit dire:

- Vous allez avoir une belle image de moi.... Vous auriez du me tuer...

Lucian resta de glace, car pour lui se n'était pas le cas. Il ne voyait pas la force physique, mais mental, et cet femme en débordait, ce qui plaisait a l'empereur. Elle le regarda, et demanda:

- Dites moi pourquoi on me donne t’en d’importance... Pourquoi ne m’avez-vous pas refusé... Pourquoi m’avoir tout simplement défendu... Je ne suis pas un joyau, je sais seulement me battre, voilà tout... Que vous apporterai-je de si précieux?

Lucian supporta son regard, et resta silencieux un long moment, ces profonds yeux violets reflétant une émotion inconnu. Puis, il fini par dire:

- Je ne peu pas vous dires pourquoi mon oncle, c'Est a dire votre père adoptif vous a gardés, car je n'ai jamais eu de discution avec lui sur le sujet. Par contre, pour ce qui s'agit de moi, je vous ai défendu car j'ai vu en vous une force incroyable. Votre coeur est solide, et a la bonne place, et cela aurait été dommage que quelqu'un le brise totalement.

L'empereur reprît son silence lourd, contemplant toujours les yeux de Éléandra, et il continua sur sa lancé en disant:

- Vous avez raison, vous n'ête pas un joyau, mais une perle rare. Tout le monde a la faculté en lui de se battre, mais ce n'est pas tout le monde qui ont votre résistance et votre force.

Lucian n'en dit pas plus, car il avait tout mentionné. Maintenant, il attendait une réaction quelqu'on que de Éléandra, ne sachant vraiment pas qu'elle serait sa réaction.

Après qu’elle lui est posée la première question, il avait posé son regard violet dans le sien. La troublant sur le coup. Il lui avait répondu :

«Ça fait quelques heures que vous dormez, et je suis ici depuis se moment précis.»

Éléandra ne comprenait pas vraiment se qui lui avait arrivé... Elle resta muette sur la dernière phrase essayant de sa rappeler en détail se qui s’avait produit pour la mettre ainsi. La seule chose qu’elle voyait s’était un gouffre profond et sans fin. Comment pourrait-elle se rappeler...

Elle porta une main à sa tête encore une fois, puisqu’elle les avait déposé sur son lit pour se retenir et se rasseoir... Elle avait baissé la tête, espérant que tout serait bientôt terminé. Le fait de dormir lui avait permis de reprendre des forces et de se remettre un peu de son mal de plus tôt. Elle devait manger quelque chose, mais le fait de se priver aussi longtemps lui avait fait perdre le goût.

Elle lui avait posé une autre question et il lui avait répondu d’une façon suffisante... Mais avant, il avait encore un fois soutenu son regard. Ses yeux étaient si beaux, différant, perçant, étincelant, inconnu, mystérieux. Tout pour se sentir de trop dans la pièce. Il n’y avait pas de mot pour d’écrire le mal aise qui s’avait emparé d’elle... Elle ne devait pas penser de telle chose, mais elle était comme envoûtée... Peut-être est-ce lui qui l’avait envoûté avec son regard. Elle chassa ses penser et essaya de penser à autre chose.

Il lui avait dit :

«Je ne peux pas vous dires pourquoi mon oncle, c'est à dire votre père adoptif vous a gardé, car je n'ai jamais eu de discutions avec lui sur le sujet. Par contre, pour ce qui s'agit de moi, je vous ai défendu, car j'ai vu en vous une force incroyable. Votre coeur est solide, et à la bonne place, et cela aurait été dommage que quelqu'un le brise totalement.»

Lucian avait fait un moment de silence, en la regarda toujours, il fini par continuer :

«Vous avez raison, vous n'êtes pas un joyau, mais une perle rare. Tout le monde a la faculté en lui de se battre, mais ce n'est pas tout le monde qui ont votre résistance et votre force.»

Éléandra ne savait pas trop quoi dire... Lucian avait dit tellement, qu’elle en resta sans son. Rare et minime les fois où elle s’avait fait donner des qualités. L’empereur lui en avait dit une qui la surprit beaucoup... Il l’avait comparé à une perle rare. Elle avait entendu «Belle, charmante», mais de la à lui dire qu’elle était plus qu’un joyaux... Elle en fut vraiment étonner.

Elle lui dit avec un sourire de gêne et taquin :

- Je vais vous en devoir une....

Elle était sure qu’il avait dit ça simplement pour lui faire plaisir. En fait, il n’était pas comme elle s’attendait. Il n’était pas comme son père adoptif... Dissemblable, il avait quelque chose de troublant, mais elle n’aurait pas pu dire quoi.

Éléandra fit une autre tentative pour se lever et cette fois, tout en se tenant à un bureau, elle réussi. La guerrière alla dans une armoire et en sortit une sorte de couverture mince, qu’elle mit sur ses épaules. Elle avait un peu froid.

Ensuite elle alla vers Lucian qui était assit et lui dit en prenant proche de lui un raisin... Elle ne mangeait pas de viande... Ils devaient lui apporter une nourriture autre parce qu’elle n’aimait pas manger la chaire. Quand elle refusait son père lui disait qu’elle était capricieuse et lui forçait de manger u peu pour la rendre malade.

- Ça ne vous dérange pas que je mange des fruits, la viande n’est pas mon fort...??? Et pour se qui est d’être forte... Voila des années mon cœur à vécu, maintenant il n’est plus. La guerre je la ferai avec vous parce que j’ai aucun lien avec mon passer... Ma vie est ici. Je ne craints pas de mourir, votre oncle le savait trop bien. Il m’a élevé pour que je devienne une guerrière se que je suis rendu. Mon épée sera la votre Lucian.

Son raisin à la main, elle ne le mit pas toute de suite dans sa bouche. Elle lui dit pour continuer :

- Je ne sais pas se qui m’est arrivé plus tôt, mais je sais que mon rétablissement est grâce à vous, donc je vous remercie encore une fois.

Elle porta délicatement le raisin dans sa bouche et une ombre noir passa devant la fenêtre de sa chambre....

Au lieux d’avoir un regard de peur, Éléandra eu un grand sourire.

Elle prit la main de Lucian et l’incita à la suivre sur le balcon.

La jeune femme se pencha sur la rambarde pour voir au sol et vu une ombre glisser. Elle porta par la suite son regard au ciel et vu son dragon passer devant eux à toute allure. Gigantesque, écailleux, aux ailes noires, il fit un spectacle à couper le souffle. Il tourna sur lui-même, montant dans les aires à une altitude tel qu’on le perdait dans les nuages.

Après un moment à combler les regards posés sur lui, il atterrit sur le sol rocheux. Ses griffes harponnées aux rochés pointues. Il fit un grognement et on pu voir sa puissance... Il était une sacrée bête... La grâce, le pouvoir, la force s’émanait de lui. Éléandra se tourna la tête vers Lucian. Son épaule touchait celle de l’empereur du qu’il était proche d’elle. Il regardait le spectacle et elle se permit de lui dire en lui adressant un sourire en coin :

- Je vous présente la moitié de votre armée...

Elle avait dit cela avec une pointe d’amusement... Car elle était fière de montré au moins quelque chose d’indispensable dans une guerre... Peut-être la chose qui fera la victoire.

Éléandra lui dit :

- Il se nomme Ferll... Il est (un) dragon... Il est farouche un peu comme moi, mais je pense qu’il vous aimera.

Éléandra prit une pose et continua :

- Voulez-vous aller le voir plus près...???

Elle attendit une réponse de lui. Cette fois, elle le regarda de ses yeux brun foncé, la lumière faisant briller le centre. Comme si un reflet de lumière si trouvait....

Immobile, Lucian ne lâcha pas un seul instant des yeux la jeune femme. Il regard chacune de ces réactions. Affaiblit, elle semblait troublé par sa présence, ce qui ne manquait pas de lui plaire...il adorait troubler. Il la lui répondre avec un sourire gêner:

- Je vais vous en devoir une....

Lucian souria a cet réplique, mais ne dit rien....il aurait une petite idée sur la dette en question. Pour le moment, il relaxait un peu, car depuis la destruction de Amecareth, il n'avait fait que donner des ordres, de manière a changer les choses sur ce continent. En plus, avec l'attaque qui était en préparation, Lucian n'avait pas eu un seul moment de repos. Avec cet femme par contre, il pouvait se permettre de relaxer et de rire un peu..chose qui était rare pour lui. Il la regarda se relever et aller s'accoter contre l'armoire, complètement fasciné par la force de caractère de Éléandra. Il l'admirait pour des raisons qu'il ignorait, et depuis le premier moment ou il l'avait vue, il avait su qu'elle était spécial, différente.

Pourtant, aucune de ces émotions de passa sur le visage neutre de l'empereur, car il n'aimait pas montrer ces véritables émotions. Il la regarda mettre une couverture sur ces épaules, et s'approcher de lui, tout en prenant un raisin. Elle le porta a ces lèvres, sans vraiment le manger. Elle le regarda, et dit:

- Ça ne vous dérange pas que je mange des fruits, la viande n’est pas mon fort...??? Et pour se qui est d’être forte... Voila des années mon cœur à vécu, maintenant il n’est plus. La guerre je la ferai avec vous parce que j’ai aucun lien avec mon passer... Ma vie est ici. Je ne craints pas de mourir, votre oncle le savait trop bien. Il m’a élevé pour que je devienne une guerrière se que je suis rendu. Mon épée sera la votre Lucian.

Lucian la regarda avec son regard perçant, et un petit rire amusé sortit de sa bouche. Il la regarda dans les yeux, et lui répondit:

- Vous pouvez bien manger ce que vous voulez, cela n'est enrien dans mon intérêt de porter attention a l'habitude cullinère des autres.

Lucian la regarda, et lui esquissa un petit sourire taquin. Puis, ilretrouva son aire neutre. Elle le regarda, et lui dit:

- Je ne sais pas se qui m’est arrivé plus tôt, mais je sais que mon rétablissement est grâce à vous, donc je vous remercie encore une fois.

Lucian croisa ces doigts devant lui, accotant ces coudes sur les bras du siège, et répliqua:

- Il n'y a pas de quoi me remercier, je vous ai aider car j'en avit envit. Le jour ou vous me devrez quelque chose, vous le serez, car je prend toujorus ce qui mes du.

L'empereur remarqua alors une ombre passant devant les rideaux de la porte vitré, ce qui illumina le visage de Éléandra. Il sonda les environ et découvrit la présence d'un dragon. Puis, sans prévenir, elle le saisit par la main, et l'emmena a la fenêtre. Il résista légèrement au début, pour la taquiner, puis fini par plier a sa demande silencieuse....décidément, il l'appréciait vraiment. Elle écarta les rideaux, et ils furent sur le balcon surplonbant les territoires de Irianeth. Une ombre passa sur le sol, et Lucian leva les yeux au ciel. C'est a ce moment précis qu'un dragon d'une plendeur époustouflante passa au-dessus de leurs têtes, formant une puissante bourrasque de vent ui fît voler les cheveux des deux personnes.

Lucian observa avec attention la cérature effectuer des figures aériennes, et cela le fît sourire. Il sentit l'épaule de Éléandra sur la sienne, et l'entendit dire:

- Je vous présente la moitié de votre armée...

Lucian pouffa de rire, ce qui le surpris lui-même, et il se croisa les bras, contemplant d'un oeil calculateur la caricature de l'immense créature. Elle lui dit alors:

- Il se nomme Ferll... Il est (un) dragon... Il est farouche un peu comme moi, mais je pense qu’il vous aimera.

Lucian la regarda, et avec un sourire, lui dit:

- Parfait, ce son mes préférés.

Il l'entendit dire:

- Voulez-vous aller le voir plus près...???

L'empereur hocha de la tête, et se tourna vers la jeune femme. Il se décroisa les bras, et avec une douceur calculé, il tendit les mains vers la jeune femme et lui retira sa couverture, qui tomba souplement au sol. Ensuite, ces puissants membres l'entourère délicatement, et il l'attira a lui sans jamais la brusquer. Une fois fait, sa cape entoura les deux silouhette, et l'empereur lui dit avec un sourire:

- Nous y allons par un moyen que peu de gens on utiliser dans leurs vie.

Soudain, un petit vent se leva, et tourna alentour du coupl enlacé, et ils s'élevèrent dans les aires, se dirigeant en direction de la majestueuse créature qui semblait attendre avec impatience sa maîtresse. Pendnt tout le trajet, Lucian transmis a sa protéger de puissante vague de chaleur, ainsi que de soin, pour lui redonner des forces. Comme cela, elle serait capable de tenir debout. Puis, après plusieur minute de vol, ils atterirentsur le sol, et Lucian la regarda, la tenant toujours serrer contre lui:

- Nous y voila.

Il avait un sourire charmeur, la regardant directement dans les yeux. Il attendit patiemment qu'elle est une réaction quelque'on que.

Quand Éléandra lui demanda si le fait qu’elle mange des fruits ne le dérangeait pas, Lucian lui répondit toute en échappant de sa bouche un rire :

«Vous pouvez bien manger ce que vous voulez, cela n'est en rien dans mon intérêt de porter attention à l'habitude culinaire des autres.»

Elle avait trouvé ça amusant qu’il lui dise cela, puisque avec son père adoptif c’était une toute autre chose... Éléandra n’avait le droit d’aimé que se que lui aimait et ne pas rouspété. Comme une gamine, elle n’avait aucun droit de dire réellement se qui la plaisait ou de tout simplement avoir son propre avis, opinion...

Après avoir dit cela, il avait retrouvé son aire neutre, sans émotion rien... Elle savait qu’il ne pouvait pas toujours rire et elle comprit son attitude. Elle aimait son sens de l’humour et son sens d’être sérieux au bon moment... Comme quoi, on peut rire dans la vie, mais qu’il y a des exceptions à tout. Éléandra, était comme lui, souriante quand la situation le lui permettait et posée quand elle se le devait.

Ensuite, quand elle lui avait remercié, Lucian lui dit en croisant ses doigts, comme si il avait une grande décision à prendre :

«Il n'y a pas de quoi me remercier, je vous ai aidé, car j'en avais avis. Le jour où vous me devrez quelque chose, vous le serez, car je prend toujours ce qui mes du.»

Éléandra n’eu pas de sourire cette fois, qu’allait-il lui demander... Elle fronça les sourcils s’imaginant une multitude de scénario. Lucian allait devoir s’expliquer, car Éléandra aimait savoir. Où voulait-il en venir avec «Je prend toujours ce qui mes du.... Vous le serez» Attendait–il quelque chose d’elle, qu’elle ne serait pas capable de lui donner. Elle ferait tout pour lui, puisqu’il était son nouveau (Maître), mais en temps normal quand il dit se genre de chose... Jusqu’où faisait-il allusion. Éléandra ne le connaissait pas et elle avait vu dès la première fois, qu’il pensait pas mal plus qu’il ne le montrait. Que tout dans sa tête était calculé... Pas à l’échec... Mais à la victoire. Si il voulait quelque chose ça se voyait qu’il prendrait tous les moyens pour l’obtenir. Il n’avait pas l’aire à se préoccuper de quoi que se soit, si se n’est que d’une chose... La guerre qui allait éclater bientôt.

La guerrière lui avait agrippé la main pour lui montrer son dragon... Moqueur, il avait fait une résistance. De ses yeux charmeurs, elle lui avait fait des yeux de pitié et il avait cédé. Éléandra eu un sourire sachant qu’il l’avait suivit malgré son rang inférieur à lui. Elle se demandait si cela faisait quelque chose dans sa vie, qu’elle ne vienne pas de se continent. Qu’elle n’a rien de familier à se monde qui lui est pour l’instant pratiquement inconnu, dû qu’elle n’est pas vu grand-chose.

Elle avait posé un regard discret vers Lucian et il semblait ravis par se qui s’offrait à lui. Quand elle avait fait allusion à ses troupes moins puissantes que son dragon et c’était le cas. Lucian pouffa de rire... Éléandra, elle, de son côté eu un sourire de satisfaction.

L’empereur avait croisé les bras, lui donnant une certaine prestance et il dégageait une telle assurance qu’Éléandra se sentit toute petite près de lui. Elle prit le tissu sur ses épaules pour le remonter, car il avait descendu sur son emportement et sa joie de voir quelqu’un qu’elle connaissait comme la pomme de sa main et qui veillait sur elle comme la prunelle de ses yeux. Ferll était tout pour elle... Sa famille, son confident...

Il avait fait un sourire et avait dit :

«Parfait, ce son mes préférés.»

Éléandra qui s’avait accoté à la rambarde se tourna vers lui et le regarda, posant ses coudes sur la rampe, de dos à celle-ci, n’aillant pas vraiment comprit le sens de sa phrase... Elle allait lui poser une question, mais elle n’en fit rien. Lucian, parlait-il seulement du dragon ou bien d’elle par la même occasion. Éléandra n’avait pas bougé. Elle le regarda simplement, ses cheveux long noir dans le vent. Elle attendait une réponse venant de lui.

Lucian avait fini par tourner la tête et en tendant les bras, il passa délicatement ses mains sur ses épaules pour faire tomber le tissu sur le balcon. Tombant en prenant légèrement dans le vent qui soufflait tel une brise. Un frisson la parcouru à cause du froid qui avait monté dans son dos dénudé. Montant sur sa colonne, comme si elle se faisait entortiller par la fraîcheur. Telle un courant électrique qui se propage partout dans la courbe de son dos. L’empereur avait passé sa main sur sa taille et tranquillement, il l’avait rapproché de lui... Embrouiller, elle ne savait comment réagir. Devait-elle le repousser? Éléandra décida de rester de glace à se geste attendant la suite. Il l’avait enlacé et elle ne pu empêcher son regard de plongé dans le sien.

Éléandra avait une respiration plus rapide. Elle avait reprit son sérieux, comme si se geste la voilait d’un nouveau sentiment qu’elle ne pouvait expliquer... Délicate, elle savait approcher de lui. Son corps fin collé au sien. Éléandra se sentait fragile entouré de ses bras fort. La cape de Lucian la recouvra. Emprisonnant les deux corps étreint...

Cette délicatesse que Lucian lui portait, n’était jamais arrivée avec personne auparavant et elle trouvait ça étrange, mais agréable. Ses frissons avaient disparu et seul la chaleur émanant de Lucian la réchauffait.

L’empereur lui dit :

«Nous y allons par un moyen que peu de gens ont utilisé dans leurs vie.»

Éléandra ne savait pas de quoi il parlait et espérait que cela ne soit pas trop douloureux. Elle lui faisait confiance d’un certain sens. Il lui avait sauvé la vie et si elle mourrait, et bien, elle ne serait pas une grande perte...

Un vent les entoura et en lévitant, Lucian l’apporta proche de son dragon, Ferll... En temps normal elle n’avait pas peur des hauteurs, mais en lévitant, elle eu un peu peur que Lucian décide de la lâcher dans le vide. Donc pour ne pas prendre de chance, elle enlaça un peu plus fort Lucian contre elle. Elle regarda autour, comme si elle le ferait sur son dragon, mais resta tout de même proche de Lucian pour la sécuriser...

L’empereur lui avait donné de la force et de la chaleur pendant leur descente vers Ferll... Disons que le corps de Lucian faisait le travaille, mais elle se sentit vraiment bien.

Après un bon moment les deux mirent pied au sol rocailleux et Éléandra monta son regard vers celui de Lucian qui était déjà posé sur elle. Il lui dit :

«Nous y voilà.»

Il la regarda de son regard enjôleur, accompagner de son sourire charmeur... Elle resta muette posant sur lui son regard brun étincelant. Éléandra avait resté un moment à le regarder pour, je ne sais qu’elle raison et quand elle s’aperçu qu’elle était toujours collé à lui, elle baissa la tête timidement. Elle lui dit, tout en trouvant un sourire malicieux, se décollant tranquillement et pas à pas vers l’arrière. Sortant de sa cape pour dénudé ses épaules et retrouver la fraîcheur du vent qui la glaçait :

- Bon prétexte pour me prendre dans vos bras... Prenez ça en note... Et le sourire j’y ai presque succombé...

Elle le regarda et attendit qu’il dise quelque chose.

Lucian souriait toujours, le jeune femme toujours collé a lui. Elle le regardait aussi, comme hypnotisé, toujours enlcé contre l'empereur de Irianeth. Puis, elle sortit de sa trance, et réalisa sa position. Elle baissa la tête timidement, et recula, sortant du vêtement qui l'avait tenu au chaud. La guerrière releva la tête, un sourire malicieux se dessinant sur son jolie visage. Puis, elle lui dit:

- Bon prétexte pour me prendre dans vos bras... Prenez ça en note... Et le sourire j’y ai presque succombé...

Lucian souria et ria de bon coeur. Il la regarda a son tour, et lui dit:

- Tout les moyens son bon.

L'empereur regarda la jeune femme, qui commençait a trembler de froid sous sa robe qui était beaucoup trop mince pour cet température. Lucian détacha sa cape d'un mouvement de la main droite, et déposa le tissu sur les épaules nue de la jeune femme. Ensuite de quoi, il lui esquissa un petit sourire, et tourna son attention sur la splendeur aîlé qui se trouvait juste a côté de eu. Le dragon était beaucoup plus grand que ces semblables, et était probablement plus fort aussi. L'empereur sans approcha, et leva la main pour que la créature puisse la sentir. Au début, Ferll grogna, et regarda l'inconnu approcher de lui. Lucian le regarda directement dans les yeux, gardant son aire glacial habituelle.

Ils restèrent un long moment a se contempler, ne bougeant pas un seul doigt, combattant pour montrer qui avait le plus de volonter. Puis, sans prévenir, Lucian avaça un pied, et arrêta aussitôt que la créature se mettait a grogner de nouveau. Cela dura un certain temp, durant lequelle l'empereur ne cessait de se rapprocher du dragon. Puis, après un temps indéterminer, il arriva finalment devant Ferll. L'imposant mâle baissa la tête en direction du seigneur de Irianeth, et renifla la main qui lui était tendu. Lucian ne montra aucune émotion, étant constamment en parfaite maîtrise de ces émotions. Puis, Ferll expira violemment de ces naseaux, fesant voler la longue chevejure brune de l'empereur.

Lucian attendit encore un peu, et toucha doucement le museau de la créature. Celle-ci eu un mouvement de reculle, mais ne tenta pas de se dérober a la caresse. Lucian commença a en faire le tour, flattant son flanc, et se dirigeant vers l'arrière de la créature. Tout ce que l'empereur desait, c'était analyser l'immense dragon, calculant sa force et l'efficaciter qu'il aurait sur un champ de bataille; mais aussi, il appréciait énormément cet immense reptile volant. Puis, il finit dans faire le tour, et se dirigea, toujours avec sa main fesant le tour de son flanc, vers la maîtresse de la créature, pour lui dire:

- Il y a de quoi en être fier. Force, vitesse, agilité. Vous avez fait un excellent travail en le formant.

Il resta immobile devant la tête rectangulaire de Ferll, qui lui-même tourna son regard vers l'empereur. Lucian regarda Eléandra, et lui demanda:

- Pourrais-je le monter avec vous?

L'empereur attendit patiemment la réponse de la jeune femme qu'il trouvait adorable entouré de la sorte dans son immense cape.
-

Après qu’elle lui est dite, qu’il avait bien trouvé pour pouvoir la tenir dans ses bras, il lui dit tout en souriant comme à son habitude... :

«Tous les moyens sont bons.»

Éléandra eu un sourire à son tour et lui dit :

- Tous les moyens sont peut-être bons... Mais ils ne fonctionnent pas sur tout le monde.

Elle pensa sur le coup tout en étant parcouru d’un frisson qui lui parcourait les épaules, omoplates, qui lui montait jusque dans son coup et qui descendait pour finir dans le bas de son dos :

*Qu’est-ce que je dis là... J’ai presque sucom.... Il est trop...*

Elle arrêta nette de penser et le regarda droit dans les yeux, puisqu’il la regardait aussi. Il commença à détacher sa cape avec la main droite, il la fit passer derrière lui pour le lui déposé sur ses épaules. Éléandra voulu stopper son geste en lui disant :

- Ne prenez pas la peine de....

Mais elle n’eu pas le temps de finir que l’ample bout de tissu réchauffa ses épaules. Lucian lui fit un sourire qu’elle lui remit par la suite pour le remercier. La guerrière se tourna pour voir se que l’empereur voulait faire... Il avait monté la main dans les aires et Ferll émit un grognement.

La bête avait regardé sa maîtresse de ses yeux noirs, comme si il attentait qu’elle lui dise quoi faire... Éléandra ne fit rien pour voir jusqu’où l’empereur pouvait aller. Elle avait seulement fait un signe de tête pour que le dragon comprenne que Lucian ne lui ferait pas de mal.

Lucian avait l’aire à s’avoir se qu’il faisait, mais il ne se doutait pas qu’Éléandra y était pour quelque chose. Le regard froid n’était peut-être pas une bonne tactique pour un dragon aussi féroce. Il pouvait à tout moment le mordre ou le balayer de sa queue aux piques effilés.

La guerrière le regarda faire.

L’empereur avait fait un pas vers l’avant... Éléandra, qui voulait savoir si Lucian n’était pas un peureux, fit un autre signe de tête au dragon et celui-ci émit un second grognement. Ouvrant sa gueule pour faire voir ses crocs édentés. Lucian avait de la détermination et du courage pour braver se qui lui était inconnu. Elle eu un petit sourire en coin.

Éléandra fit un signe de main pour que le dragon penche la tête et celui-ci, le fit... Il se pencha en signe de respect pour la personne qui venait vers lui. Ferll sentit la main de l’empereur, mais cette fois, se geste venait de lui pas d’Éléandra... Le dragon avait fait avec ses naseaux une grosse bourrasque de vent chaud qui fit volé les longs cheveux de Lucian. Éléandra, qui n’était pas bien loin, avait elle aussi sentit la bourrasque et en s’approchant, elle continua à regarder les moindres gestes de l’homme d’un œil curieux.

Le dragon s’avait laissé faire et Éléandra en fut ravis... Elle trouvait mignon qu’il n’est pas refusé la main d’un inconnu. Mais disons que Lucian était une exception et que seul l’accord approbateur d’Éléandra avait fait en sorte que Lucian puisse lui toucher...

La jeune femme le vit faire le tour de Ferll... Celui-ci n’avait fait aucune expression du visage, laissant Éléandra dans le doute.

Elle se demanda si il avait un problème avec les dragons. Si il aimait ses bêtes mortes ou vives... Elle savait bien que d’habitude, dans les combats, ils les prenaient pour leur fort caractère et leur façon de toujours être piqué à vif aux moindres mouvements, quand ils se sentent en danger.

Éléandra trouvait ça cruel de faire ça à de si belles bêtes. Penser que les personnes faisaient ça pour un plaisir quelconque de voir souffrir... C’était dégoûtant....

Dans ses pensées, Lucian lui dit, tout en chassant se qu’elle s’acharnait à comprendre :

«Il y a de quoi en être fier. Force, vitesse, agilité. Vous avez fait un excellent travail en le formant.»

Éléandra eu un sourire de remerciement et lui dit :

- Ce n’est pas la maîtresse qui dompte la bête, mais les deux qui se complètent...

L’empereur qui était proche du dragon d’Éléandra lui demanda par la suite :

«Pourrais-je le monter avec vous?»

La guerrière prit le bas de sa robe pour ne pas l’accrocher dans la pierre qui se trouvait sous ses pieds. Elle le regarda et lui dit avec un sourire charmant :

- Pourquoi pas!!

Elle lui prit la main avec celle qui se trouvait libre et l’apporta proche de la patte du dragon. Ferll fléchit le genou, ses ongles refermant sur la paroi rocheuse... Elle monta habillement sur la patte plus grande qu’elle et aida Lucian à faire de même. Sur le dragon il n’y avait pas de selle.

Lucian allait devoir s’accrocher...

Éléandra prit place en avant, entre le cou et les ailes de Ferll et regarda Lucian se placer derrière elle... Elle détacha la cape qu’il lui avait déposée sur les épaules et la remit sur les épaules de Lucian. Elle attendit un moment pour voir si il allait se tenir à elle, mais il n’eu pas le réflexe de le faire. Sans rien dire, elle chercha ses mains en tournant légèrement la tête sur le côté et les trouva... Elle les prit de ses mains délicates et les posa sur sa fine taille. Elle lui dit en même temps :

- Accrochez-vous!!!

Sans en dire plus, elle donna deux coups de talon sur les écailles du Dragon. Se qui voulait dire de monté dans les aires. Le Dragon déploya ses ailes et en trois battements, il monta en un rien de temps dans les aires... À une certaine hauteur.

Éléandra avait commencé tranquillement pour habituer Lucian à la sensation de voler... Lucian avait fait se qu’elle lui avait demandé et s’avait accroché à elle.

Pour l’informer encore une fois elle lui dit tout en tournant la tête vers lui :

- Je vois que vous n’avez pas le mal des hauteurs... Super!!! Pour cette fois, quand nous allons être dans les aires, penchez-vous vers l’avant. La tête de Ferll empêchera les rafales de vent de vous faire tomber.

Rafales en disait long sur se qui allait se passer après. Éléandra se pencha sur la bête, ventre contre les écailles de celui-ci et en un sifflement parfait fait par Éléandra... Ferll prit de la vitesse et comme une flèche perça l’aire environnante. Ses ailes longues et imposantes donnaient des coups de bas en haut pour faire de la vitesse. Les deux passagers devaient suivre le mouvement qu’imposait Ferll, soit de pencher vers la droite ou vers la gauche. Il était à une hauteur époustouflante, on voyait tout le territoire de l’empereur...

Perçant les nuages, ils firent un bon bout de chemin à grande vitesse... Faisant des figures remarquables sur le dos de la bête.

Éléandra qui avait remit sur les épaules de Lucian la cape, était réchauffée tout de même puisqu’il s’avait penché sur elle légèrement.

Éléandra vu un endroit qu’elle appréciait pour son calme et ne savait pas si elle devait faire une demande à l’empereur. Elle fini par lui dire, après un bon moment de réflexion :

- Vous préférez-vous rentrer ou vous posez pour allez là ou j’ai trouvé Ferll...

Elle ne savait aucunement sa réponse... Quoi qu’il en soit, elle allait le rapporter au château si il avait autre chose à faire. Elle attendit sa réponse...

Lucian entendit la réponse de Éléandra:

- Ce n’est pas la maîtresse qui dompte la bête, mais les deux qui se complètent...

L'empereur la regarda lever sa robe, et avancer avec une telle fougue dans les yeux. Voila ce qu'il désirait dans son armée, non pas une bande de larve sans colonne qui obéissait a n'importe qu'elle commendemant; mais plutôt des hommes et des femmes qui dirait leurs façon de penser, sans craindre un quelqu'on que couroux. Lucian n'avait jamais aimé cet manière que Amecareth avait reigné, par la torture et la soumission aveugle. Le nouvel empereur lui voulait des être en qui il aurait confiance, non pas des servituers, mais des alliés de choix, a qui on pouvait tourner le dos avec confiance.

Lucian regarda Éléandra approcher, et lui dire avec un sourire:

- Pourquoi pas!!

Elle lui prît la main, et ils montèrent a l'aide de une des pattes avant du dragon sur le dor de Ferll. Une fois monté, la jeune femme enleva la cape de dessus ces épaules, et la remit sur le dos de son propriétaire. Cela fit rire Lucian, car il trouvait cela comique de voire a qu'elle point cet femme ne voulait pas qu'on lui fasse des faveurs. Ensuite, elle sembla attendre quelque chose de lui, puis, voyant que rien ne se passait, elle saisit les mains de l'empereur, et les mis sur sa fine taille. Lucian comprît le principe de s'accrocher, mais il ricana, et il lui chuchota a l'oreille:

- Tout les moyens son bon, n'est-ce pas?

Il n'entendit pas sa réaction qu'elle avait cogné deus coups de talons sur les flanc de Ferll, et qu'elle avait dit:

- Accrochez-vous!!!

Puis, l'immense créature bondit dans les aires, fesant en sorte que Lucian du s'accrocher sérieusement a la taille de la jeune femme. Cela était la première fois qu'il volait sur une telle bête, car il n'en avait jamais eu l'occasion auparavant. Ils survolèrent le royaume d'Irianeth, et Lucian ferma les yeux, laissant le vent jouer dans ces cheveux. Un sourire heureux flotta sur ces lèvres, car il trouvait l'expérience complètement grisante. Il entendit alors la voix de Éléandra lui dire:

- Je vois que vous n’avez pas le mal des hauteurs... Super!!! Pour cette fois, quand nous allons être dans les aires, penchez-vous vers l’avant. La tête de Ferll empêchera les rafales de vent de vous faire tomber.

Lucian approuva d'un hochement de tête, et se pencha sur la jeune femme, et celle-ci siffla. Ce qui eu pour effet que le dragon accéléra sa vitesse de vol. L'empereur trouva cela extrêmement plaisant. Ils volèrent pendant un long moment, a effectuer des formes aérienne a couper le souffle. Puis, la jeune femme lui demanda:

- Vous préférez-vous rentrer ou vous posez pour allez là ou j’ai trouvé Ferll...

Lucian regarda le dos et les cheveux noire de Éléandra qui volait au vent, et lui dit:

- Mener moi a cet endroit, car vous avez attirz ma curiosité.

L'empereur s'accrocha de plus belle, attendant que Ferll les mènes a cet endroit mystérieux.

Je vais ouvrir un autre sujet... La falaise...

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