La plage, départ pour la guerre.

Lucian se matérialisa sur la plage, devant les navires qu'il avait fait appareiller, en préparatif d'une attaque éclaire pour Enkidiev. Il y'en avait deux. Un était constitué d'une équipe de choque de 20 insecte, monté sur de puissante dragonne. L'autre avait été prévu pour aller rapidement et donc n'avait comme seul équipage qu'une vingtaine de soldat élite. Lucian se croisa les bras, et regarda les derniers préparatif en vue du départ futur.

L'empereur s'approcha du schooner qui partait en direction de la forêt des elfs, et leva la main droite, paume tendu au ciel. Un épais grimoire si matérialisa, d'on la reliure avait été recousu a plusieur reprise. Lucian l'oouvrit avec délicatesse, pour ne pas en abimer les pages déjà jaunie et abîmé au fil des ans. Tournant les pages, Lucian découvrit finalement le sort qui lui serait fort utile pour passer inaperçu. Tenant le document de la main gauche, l'empereur tendit la paume droite en direction du navire, et déclara dans une voix ancienne connu seulement des immortels et des dieux une incantation si puissant que les mots sortant de sa bouche semblère vibrer en écho.

Pendant de longue minute, Lucian contiua son incantation, puis d'un geste brusque descendit sa main tendu. Des étincelle courure le long de la coque, et le navire devint invisible pour toute créature autre que les insectes, bien sur. Lucian ferma le grimoire, qui se dématérialisa. Il se dirigea vers le navire en question, et donna des ordres au capitaine pour que le navire parte en direction de la forêt des elfs. Alors que l'Autre navire attaquerait le royaume de Zénor. Il ne devait plus rien rester sur cet terre hormis le sang des innocents.

Il embarqua a bord du navire, et alla se placer a la proue. Il se croisa les bras, et regarda l'horison. L'heure du départ était proche, il ne manquait que Pirus a ces côtés pour la première attaque, car son rôle était capital dans ce plan. L'empereur ferma les yeux, et envoya un message télépathique a son second:

** Mon frère, l'heure est venue de montrer aux habitants d'Enkidiev qui son les maîtres de se monde. Ne me fait pas attendre plus qu'il ne le faut.**

Lucian attendit patiemment l'arrivé de son second, laissant la douce brise venant de la mère jouer dans sa chevelure brune.

Nombre de messages : 18 Age : 38 Date d'inscription : 22/01/2007

Maelie etait en train de marcher avec Pirus pour se rendre dans les appartements de lempreur, lorsque Pirus recu un message telepatique. Il setait arreter, mais Maelie ne sut ce que la personne lui disait, mais en sarretant ainsi elle sut que setait un message.

Pirus lui dit:

-Cetait lempreur il part pour la guere et me veux a ses coters. Tu viens?

-Mais bien sure. Sa sera loccasion de le rencontrer et de prouver ce que je vaux.

Cest alors quils se mirent a marcher dans la direction de la plage puis arriver a destination, Maelie vit lempreur. Ca lui avait tout prit mais elle se courba en signe se salut et de politesse. Marlgrer quelle setait jurer de ne jamais faire sa a quelqu'un, elle etait le seul maitre delle meme. Mais puisque cetait pour se divertir, elle decida de ne rien dire et de lui obeir.

Pirus ne dit rien alors elle savanca pour se presenter.

-Je suis Maelie. Je veux vous accompagner la ou vous irez. Ne me juger pas, je suis precieuse et vous aurez besoin de mes talents. Je controle le feu, le vent et lelectriciter. Dites ce que vous attendez de moi et je le ferai.

Puis elle attendit la reaction de lempreur.

Lucian resta un certain a la proue du navire, sentant le vent jouer dans ces cheveux. En apparence, il paraissait parafaitement calme et sans émotion. Pourtant, a l'intérieur, son cerveau bouillait de stratégie et de chose a faire pendant son séjour sur Enkidiev. Premièrement, aller espionner les chevaliers d'Émeraude. Deuxièmement, aller retrouver cet présence étrange, ou peut-être irais t-il le faire en premier.

C'est alors qu'il sentit la présence de Pirus et de la femme étrangère monter a bord de son navire. Lucian se retourna, et regarda la sorcière le saluer et lui dit:

-Je suis Maelie. Je veux vous accompagner la ou vous irez. Ne me juger pas, je suis precieuse et vous aurez besoin de mes talents. Je controle le feu, le vent et lelectriciter. Dites ce que vous attendez de moi et je le ferai.

L'empereur hocha de la tête, et la sonda pour découvrir ces intentions. Il n'y vît aucune menace pour son peuple, et remarqua en grande partit son profond désir d'indépendance. Lucian la regarda et lui dit:

- Si vous voulez absolument vous joindres a nous, vous pouvez toujours aider mon frère dans sa mission.

Lucian garda un petit moment d epose, et continua en disant:

- Ce navire est présentement invisible a toute créature autant magiquement que physiquement, sauf bien sur pour mes alliés. Il partira en direction de la forêt des elfs. Incendier tout, je veu le moin de survivant possible. Vous n'aurez aucun chevalier sur le dos pour un petit moment, car il y aura une autre attaque de diversion au royaume de Zénor. Faite cela et ne vous faites pas remarquer.

Lucian regarda l'horizon, et déclara plus simplement:

- Vous arrivez, vous détruisez, et vous partez, rien de bien compliquer. Vous avez aussi a votre disposition une vingtaine de soldat élite qui ne pourront pas être affecté par la magie.

L'empereur regarda Maëlie, et lui dit avec un sourire:

- Pour votre sécurité, on ne c'Est jamais.

Lucian leva alors la main, et tout les insectes a bord s'activère, appareillant le navire pour la traversé de l'océan. Une fois les voiles monté, un puissant vent s'y engoufra, et le navire avança sur l'Eau a une vitesse moyenne. L'Autre navire en fesant autant.

PS: Pour toute autre personne désirant embarquer pour Enkidiev, posté comme quoi vous avez embarquer, parce que la sinon se sera beaucoup trop long.

Nombre de messages : 18 Age : 38 Date d'inscription : 22/01/2007

Maelie attendait toujours apres la reaction de lempreur lorsque celui ci se tourna vers elle, il lui repondit avec une reponse qui la satisfesait.

- Si vous voulez absolument vous joindres a nous, vous pouvez toujours aider mon frère dans sa mission.

-Merci mon seigneur! Puis-je vous demander quelle est cette mission?

- Ce navire est présentement invisible a toute créature autant magiquement que physiquement, sauf bien sur pour mes alliés. Il partira en direction de la forêt des elfs. Incendier tout, je veu le moin de survivant possible. Vous n'aurez aucun chevalier sur le dos pour un petit moment, car il y aura une autre attaque de diversion au royaume de Zénor. Faite cela et ne vous faites pas remarquer

-Cela me convient tres bien. Je me ferai un grand plaisir dincendier tout ces creatures sans cervelles. Jai un compte a regler avec ces elfes.

-Vous arrivez, vous détruisez, et vous partez, rien de bien compliquer. Vous avez aussi a votre disposition une vingtaine de soldat élite qui ne pourront pas être affecté par la magie.

Par la suite, Lucian regarda Maelie puis lui lanca une phrase qui fit rire la rebelle.

-Je nai point besoin de protection, croyez moi.

Elle lui souria sadiquement puis monta sur le bateau puis quelque instant plus tard, il decolla pour aller vers la terre des elfes.

Invité

Sur le premier navire, qui étais déjà loin de la rive, Pirus et Maëlie étaient sur le pont a l’avant du bateau. Pirus n’avais pas été très bavard, mais il étais maintenant près pour la guerre. Il pouvais maintenant mener son but a exécution. De plus, il était accompagner de Maëlie pour le seconder, rien ne l’inquiétais vraiment. Il regardait a l’horizon dans le vide. Lucian leur avaient dit quoi faire et ils s’acquitterais de cette mission rapidement, sans peine.

Pirus n’avait que mener Maëlie a Lucian, elle s’était présenter et Lucian n’avait pas l’air de se méfier d’elle . T’en mieux ! Mais après qu’allait- on faire ? Pirus n’avait aucune idées. On verra après…

- Bien nous voilà partie, aussi bien terminer sa au plus vite. J’ai hâte de t’y voir…

Puis Pirus regarda vers Maëlie. Ses cheveux volaient au vent. C’était… attrayant disons. Puis il regarda les guardes elities. Puis leur ordonna.

- Vous resterez sur le navire, je ne veux pas de vous dans mes pattes.

Puis il regarda Maëlie.

- Sa ne te pose pas trop probleme…?

Nombre de messages : 18 Age : 38 Date d'inscription : 22/01/2007

- Bien nous voilà partie, aussi bien terminer sa au plus vite. J’ai hâte de t’y voir…

-Tinquiete tu sera surpris. Ca je peut t'en assurer.

Maelie regarda Pirus, puis lui souria.

-Au faite je ne connait pas tes pouvoirs, a ce que je peux en deduire, tu peux controler le feu comme moi?

Pirus regarda les gardes puis se retourna vers elle.

- Sa ne te pose pas trop probleme…?

-Non pourquoi ca serait le cas?

Éléandra était partit avec son dragon vers sa chambre.

Elle ne voulait pas déranger Lucian, elle avait déjà prit beaucoup de son temps et le fait d’être avec lui, le tirait de ses obligations qu’il ne pouvait se permettre de laisser passer en deuxième et elle le savait.

La guerrière ne savait pas par contre si ce qu’il lui avait dit plus tôt était réelle ou bien, il avait joué avec ses sentiments... Elle espérait que cela ne soit pas le cas, mais comme tout s’avait déroulé si vite, elle ne savait plus à quoi s'en tenir. C’était confus dans sa tête, comme quand on est en pleine tempête. Des bourrasques et de la pluie qui brouillent la pensée. Éléandra savait, elle, de son côté les sentiments qu’elle portait pour lui... C’était évident, mais pourtant cela lui restait étrange et vague. Elle n’avait pas comprit sur le coup pourquoi, elle s’avait emporté de la sorte, maintenant elle savait...

Le pourquoi, pour elle, était rendu claire et si facile à deviner. Si limpide et plein de logique...

LE PARCE QUE était qu’elle lui aurait fait don de son âme et qu’elle lui aurait permis de faire se qu’il voulait avec, sans regretter un moment de son acte. LE PARCE QUE était qu’elle l’aimait à en mourir si se n’était pas réciproque. À en pleurer toutes les larmes de son corps... LE PARCE QUE était qu’elle...... Éprouvait un amour si fort que le monde, sous ses pieds, n’aurait pu le porté.

Avec lui, elle éprouvait une sorte de réconfort, car il était la première personne qui la protégeait comme il le faisait. Éléandra ne savait pas si il faisait ça avec toutes les filles qu’il rencontrait en détresse, mais pour une fois, elle savait qu’il n’avait eu yeux que pour elle...
Serait-ce encore le cas plus tard ou bien, se n’était qu’un sentiment de passage. Des paroles placées ici et là, dans une phrase qui porté aux lèvres de l’empereur ne voulait rien dire de bien important. Des mots éphémères et de courte duré, qui franchise un mur avec sincérité ou bien, qui reste prisonniers de leur côté et qui se taisent à jamais...

Éléandra ne pouvait pas voir les vrais sentiments de Lucian. Personne ne l’aurait pu... Il était unique, sertit d’une aura de mystère impénétrable. Impénétrable jusqu’à se quelqu’un la franchisse. L’avait-elle fait? Cela restait à voir...

Comme sa chambre n’était pas très loin, elle y arriva bien vite. Son dragon ne prit pas la peine de se déposer au sol, il passa par-dessus de balcon d’Éléandra, très proche et celle-ci se laissa tomber dans le vide pour atterrir avec souplesse sur se dernier. Ça l’arrivait souvent à Éléandra de partir en douce de sa chambre et le fait de ne pas passer par les corridors bien gardé, lui permettait de sortir à sa guise, à l’insu des gardes.

Quand elle avait quitté sa chambre avec Lucian les gardes étaient partit et n’avaient pas été au courant que les deux avaient fait un tour de dragon, ils la croyaient sûrement encore dans sa chambre... Comme elle devait y être... Donc Éléandra ne sans fit pas trop pour son absence.

Toujours sur le balcon, elle ouvra les rideaux noirs et entra dans sa chambre pour les fermer derrière elle. Elle regarda Ferll partir au loin et se tourna par la suite pour avoir la vue sur la grande pièce qui se trouvait derrière elle. Éléandra avait eu des frissons pendant tout le voyage... Elle était toujours ainsi... Elle avait froid pas mal tout le temps. Certaine fois, ce n’était que ses mains qui étaient froide comme la glace et d’autre c’était des frissons réguliers qui lui parcouraient le corps en entier. Sur le continent, la noirceur et la fraîcheur étaient de mise, à chaque fois. Rien à voir avec le soleil tapent et à la chaleur comparable aux tropiques... Non, rien de tel...

Éléandra ne s’en plaignait pas, elle aimait bien le noir... Elle n’avait connu que ça, donc pour elle s’était familier...

Elle partit vers le foyer, qui était imposant et travaillé avec minutions. Elle y fit un feu pour se réchauffer un peu. Celui-ci prit rapidement entre les bûches et Éléandra s’assit sur une peau de fourrure douce et noire, qui était devant la chaleur et sur le plancher proche des flammes. Elle cherchait à se réchauffer d’une certaine manière. La guerrière sentait la chaleur frôler sa peau et sur se fait, elle trouva un confort absolu. Elle prit avec une main ses longs cheveux et les mit sur la même épaule, laissant l’autre dénudé. Elle commença à passer une mèche entre ses doigts, rêveuse et perdu dans un autre monde qui était celui du songe... Elle posa son regard vide sur les flammes dansante, sens vraiment y porté attention. Elle ne pensait qu’à deux choses... Un baiser et un homme du nom de Lucian... Sa robe formant un cercle autour d’elle, sa peau miroitait et avait une couleur or. Ses cheveux eux pour leurs part, avaient une teinte des plus noirs...

Elle se leva, pensant que faire les cents pas dans la pièce serait plus efficace pour faire disparaître le visage de l’empereur de son esprit. En marchant, elle passa une main délicate sur les couvertes de son lit et continua son geste, elle caressa les meubles qui suivaient avec le bout de ses doigts... Elle laissa passer sous ses doigts chaque sorte de texture, un geste qui était pour elle complètement dérisoire et qui maintenant avait une importance sans but.

Éléandra marcha jusqu’à sa fenêtre et subitement, elle vu sur l’eau des bateaux qui quittaient le large... Elle réalisa sur le coup qu’ils partaient pour aller en guerre. Elle qui avait été élevé toute sa vie pour se battre avec son maître, n’allait sûrement pas le laisser partir seul le moment propice. Lucian était son nouveau maître et elle se devait de le suivre.

Elle partit donc vers son armoire et y sortit son armure et ses vêtements, qu’elle déposa sur le lit. Elle détacha le corsage dans son dos et laissa sa robe rouge vin tomber au sol, pour dévoiler son corps de femme cacher à quelque place par des sous vêtements noirs de dentelle. Elle enfila une camisole noire, spéciale. Celle-ci était fait pour cacher sa poitrine avec une bande de tissu et était corsé sur le coté. Des cordes de cuire tournait autour de son ventre et dévoilait ce dernier en grande partit. Elle mit une jupe courte un peu amazone en lattes de cuire rigide arborent une grosse pierre rouge vin sur chaque latte, dans le bas. Elle mit sur ses anches une ceinture large, tombante sur sa cuise un peu et muni d’armes de combat... Une épée et des petits anneaux métalliques. Elle s’assit sur une chaise et elle attacha ses bottes de cuire noir, à la semelle plate, assez solidement, en tirant fortement sur les lacets. Elle se leva et alla chercher son poignard sur son lit, qu’elle mit dans une sorte d’étui avec une lanière de cuire. Elle mit son pied sur la chaise qui se trouvait proche et en dégageant les lattes de cuire de sa jupe, sur sa cuise, elle y attacha le poignard à l’insu de qui compte.

Éléandra mit ensuite une sorte de plastron, sur le haut de son corps pour se faire une protection. Le plastron avait la forme de son corps et plus précisément de ses courbes. Ressemblant étrangement à un corset, mais fait de matière ultra rigide. La guerrière le solidifia et quant elle eu fini, elle partit vers une commode... Elle en sortit un bracelet d’argent en forme de dragon et le fit glisser sur le haut de son bras, proche de son épaule. Elle avait comme bijou, son talisman sur le front, son collier de griffe qui ne quittait jamais son cou, une seule boucle d’oreille qui était une plume noir et son bracelet de chance en forme de dragon. Elle mit son arc dans son dos, attacha sur ses poignets des bracelets de cuire noir pour le combat et le tour fut joué...

Enfin préparée, elle se tourna vers la porte et s’y dirigea...

Éléandra porta sa main sur la poigner et l’ouvrit. Elle regarda des deux cotés et sortit... Elle espérait ne pas rencontrer les gardes, pour une raison ou pour une autre, il n’y avait personne devant. Peut-être étaient-ils partit avec Lucian pour la bataille?

C’était tout se qu’elle voulait, mais à sa plus grande désolation, elle les rencontra en tournant un corridor. Ayant fait un face à face, ils ont eu soudain en la voyant un regard sombre et l’un deux lui avait agrippé la gorge pour la coller au mur.

Il lui dit :

- Tu crois aller où comme ça...

Elle lui dit avec le souffle cour, mais farouche à la fois :

- Je n’ai rien à vous dire..... Et sûrement pas à me justifier...

L’insecte allait la cogniez, mais Éléandra lui donne un coup dans le ventre pour qu’il la lâche. Il avait porté ses mains sur son ventre, l’autre qui était tout près n’avait pas eu le temps de réagir qu’Éléandra dégaina son épée qu’elle posa sous sa gorge...

Elle leurs dit :

- On s’amuse bien ici, mais je n’ai pas le temps de vous donner des cours de combat, peut-être une autre fois...

Elle savait qu’ils étaient des très bons guerriers et elle se fichait pas mal de leur stade de garde... Elle aurait pu leurs donner une leçon et les tuer sur le champ, mais elle n’éprouvait pas l’obligation de le faire.

Le garde lui dit :

- Ah oui, tu veux te battre... Tu n’as aucune chance à moins, que Lucian, notre empereur vienne te sauver une seconde fois. Les femmes belles comme toi, on les nomme des catins.... Dommage que l’empereur n’est jamais eu de vrai sentiment pour vous.

Il s’approcha vers elle et brusquement, il agrippa ses poignets et les monta pour qu’ils soient en haut de sa tête, en la plaquant sur le mur, il fit tomber l'arme d'éléandra au sol pour la désarmer. Il voulu passer une main sur sa cuise, mais avant qu’il ne face quoi que se soit, elle lui dit faché en serant les dents et en forçant pour se déprendre de l’emprise :

- Je ne ferais pas ça à votre place.

Il lui répondit :

- Ouin, qui m’en empêchera... Vous...

Il éclata de rire et Éléandra lui dit en même temps que de faire une feinte pour lui administrer un autre coup dans le ventre avec son genou, cette fois :

- Vous en seriez surprit....

Il porta, comme si il voulait se protéger du coup, ses mains vers le genou en lâchant les poignets de la guerrière. Éléandra profita du fait qu’elle avait les mains libres et lui dit en même temps que de lui donne un coup de poing en pleine tranche (au visage).

- Ça faisait longtemps que je rêvais de ça...

Le geste atteint sa cible et l’homme tomba au sol. L’autre sous le choque et un peu perdu... Crétin... Se pencha pour aider son compagnon de garde. Il n’avait pas penser que pendant se temps, elle de son côté pouvait prendre la fuite... Ils allaient devoir refaire leur entraînement de garde parce que vraiment s’était pitoyable. Éléandra en profita pour partir vers la sortit, après avoir prit son épée en la remettant dans son foureau. L’homme à genou la vu quitter et celui-ci appela du renfort qui ne tarderait pas à tomber dans les pattes d’Éléandra. Elle pressa le pas et en courrant, elle dévala les escaliers pour atteindre la porte de sortit... Sur son trajet, elle avait du se cacher en dessous des marches pour ne pas se faire voir, car les gardes venu en renfort, les montaient.

Elle était un peu ésouflée de toute cette course.

Elle fini par sortir sans se faire voir... Elle appela son dragon et celui-ci fut vite arrivé...

Ferll se posa au sol en le faisant trembler de ses grosses pattes puissantes et tourna la tête vers sa maîtresse, elle lui fit un clin d’œil et elle embarqua rapidement sur lui. Elle se positionna fermement sur son dos et il monta dans les aires en un rien de temps...

Les deux allèrent en direction du bateau qui était à sa vue visible, puisqu’elle était du côté du mal. Arrivée proche, on pouvait entendre sur le bateau, à voix forte, car tout le monde savait tourner vers l’étrangère :

- Qui est-elle? Et vous avez vu cette bête...

Éléandra fit un tour dans le ciel par-dessus le bateau et remarqua les voiles noirs de la flotte de l’empereur.

Elle dit à Ferll :

- Débarque moi ici, je vais te rappeler plus tard...

Elle parlait du plus tard, en voulant dire pour la guerre. Il la regarda d’un œil noir à la pupille vertiligne... Et fit se qu’elle lui demanda... Il piqua du né, mais avant même de plonger dans l’eau proche du bateau, il reprit légèrement de l’altitude et Éléanra qui savait mit debout dessus lui, se lança complètement dans le vide pour enfin atterrir sur le bateau de Lucian. Quand ses pieds touchèrent le sol, ne voulant pas avoir tout le choque dans ses jambes et se fouler quelque chose, elle fit une roulade en posant ses mains sur le bois du pont, pour enchaîner en tournant sur son dos et se leva par la suite dans cette sorte d’élan. Pour se trouver debout devant l’équipage qui la regardait un peu étonné.

Elle leur dit pour chasser leurs regards de sur elle :

- Ai-je manqué quelque chose...

Remarquant qu'elle s'adressait à eux, tout le monde se tourna bien vite et Éléandra, elle de son côté, fit un petit sourire en coin, voyant que plus personne ne la regardait...

(Prochain poste cabine de Lucian)

Après avoir donné ces ordres, Lucian avait laissé Maëlie et Pirus dicuter de la stratégie la plus approprié pour leurs missions. Il leurs fesaient confiance, les deux étant des sorciers d'expérience. Il se dirigea a la proue du navire et regarda le lointain, se croisant les bras sur sa massive poitrine. Il entendait toujours la voix de sirène de cet femme mystérieuse, lui disant de venir a elle. Lucian devenait de plus en plus intrigué au fur et a mesure que le temp passait. Qui était-elle, d'ou venait-elle. Il avait depuis tout jeune toujours rêvé a elle, entendut sa voix. Seulement maintenant, les choses était différente, car depuis la mort de l'empereur, Lucian entendait la voix, mais tout en étant parfaitement éveillé.

L'empereur leva sa main droite, et commença a ajuster son bracelet de cuire qui recouvrait tout son avant bras. Il adorait ces bracelets, qui était le trophé de l'une de ces premières victoire, il y a maintenant de cela plus de quarante ans. Lucian réalisa d'un seul coup l'âge vénérable qu'il avait maintenant atteind, et toute les épreuves qu'il avait du enduré pour en arriver la. Les choses avait tellement changé, que sa en fesait peur. De l'époque ou il était le général des armées de son père, et jusqu'a il y a de cela deux jours, ou il avait tué presque tout les sorciers de Amecareth. Il revoyait encore le visage de son père crispé par la douleur et l'effroi en réalisant qu'il venait de mourir.

L'empereur réintégra maintenant la réalité, et sentit au traver la collectivité le trouble que la jeune Éléandra fesait pour se rendre a son dragon pour se joindre a la bataille. Lucian souria légèrement, appréciant qu'elle se batte autant pour venir se joindre au combat. Il aurait pu aisément rappeler les gardes au travers la collectivité, mais il fallait que la guerrière se débrouille par ces propres moyen. Soudain, une puissante magie vint chatouiller les sens magiques de Lucian. Il sortit de sa trance, et sonda profondément l'immense étendu maritime. C'est alors qu'il découvrit que ces navires de combat en direction de Zénor avait été dévié par l'immortel d'Émeraude, ce qui fit apparaître un sourire maléfique sur les lèvres de Lucian. Son plan fonctionnait parfaitement....jusqu'a maintenant, car l'imprévu était toujours....imprévisible.

C'est alors qu'une puissante bourrasque de vent annonça l'arrivé de Ferll, le dragon de Éléandra. Il la vit effectuer un saut prodigieux, et atterir avec grace et prestige. Cela impressionna Lucian, car la vue de la belle femme fesait battre son coeur. Seulement, il avait longuement médité sur le sujet. Elle avait une telle dévotion pour lui, qu'elle irait probablement jusqu'a se détruire elle-même pour servir son empereur. Cela, Lucian ne pouvait pas le tolérer. De plus, il fallait être réaliste. Bien que Éléandra lui plaisait énormément, lui était un hybride, et il vivrait encore plus longtemp que plusieur génération d'homme. Ensuite, après sa mort physique, il deviendrait un immortel.....et a se moment la, il vivrait encore plus longtemp.

Non, les sentiments qu'elle avait pour lui ne pourraît jamais allé plus loin que leurs premier baisé. Cet idée le peinait, mais il s'en sortirait bien vite. Seulement, il fallait qu'il lui dise la vérité au plus vite, avant qu'elle ne fasse une bêtise. Lucian regarda Éléandra, et il l'entendit dire:

- Ai-je manqué quelque chose...

L'empereur la regarda, et lui dit:

- Non, en réalité tu arrive au bon moment. Vient me rejoindre dans ma cabine dans quelque minute, nous avons a discuter de chose importante.

Lucian tourna les talons, et descendit dans les entrailles du navire, sa cape écarlate claquant au vent. Cela le peinait, mais il devait mettre fin a une histoire qui n'avait aucun avenir. C'est alors que la voix de la femme de ces rêves sembla lâcher un soupir de satisfaction. Cela frustra l'empereur, mais il ne fît rien. Qu'aurait-il pu faire, il ne l'avait jamais vue.

Prochain poste, Cabine de Lucian.

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