La falaise...

Quand Éléandra avait mit les mains de l’empereur sur sa taille, celui-ci se pencha un peu la tête pour venir lui chuchoter à l’oreille, son souffle chaud et posé, caressant son oreille :

«Tout les moyens son bon, n'est-ce pas?»

Elle eu un sourire, mais fut un peu embarrassé... Éléandra n’avait pas vu plus loin que le fait de se tenir à elle. Dû moins, si il ne s’accrochait pas, il allait tomber de très haut, elle voulait simplement qu’il se retienne à quelque chose...

La guerrière allait lui répondre franchement et lui dire :

*Mais sur cette observation, mon prétexte est encore plus bon que le votre... Car vous y êtes contraint d’y adhéré...*

Mais elle se reteint de dire quoi que se soit. Ils volèrent tout deux un bon bout de temps, l’empereur avait l’aire à aimer la sensation du vent sur sa peau... Éléandra aussi aimait bien. Une sorte de liberté environnante, une sensation de bien être tout simplement.

Après lui avoir posé la question Lucian lui dit :

«Menez moi à cet endroit, car vous avez attirez ma curiosité.»

Elle comprit sur le coup qu’il était de nature curieux... Ce qui la fit rire un peu. La curiosité n’étant pas quelque fois dangereuse. Éléandra donna un coup de talon et Ferll piqua du né tombant comme un missile au sol. Il allait vers des sortes de grosses montagnes qui paraissaient toutes petites de la vue dans haut...

Fermant ses ailes pour aller plus vite, il se fraya un chemin dans le vent et passa entre les montagnes rocheuse qui devenait de plus en plus grosse. Arrivé proche d’une montage munit de trous. Ferll ralentit légèrement et ouvra une fois ses ailes pour se poser dans une grotte semi sombre. Le dragon fit quelque pas pour amortir l’entré brusque et il s’arrêta en plein milieux de celle-ci.

La grotte était de la grandeur de Ferll et ses ailes déployées rentraient très bien dans la longueur de cette dernière. Éléandra passa une jambe par-dessus le dos du dragon, pour avoir ses pieds du même côté et en glissant sur les écailles, elle tomba au sol avec souplesse et agilité, sa robe suivant derrière elle.

Elle se tourna vers Lucian et lui dit, tout en montant les mains dans les aires légèrement :

- C’est ici... Spacieux vous ne trouvez pas?

Un nie de paille se trouvait dans le coin de la grotte et celle-ci était délaissée. Aucun dragon ne prenait les grottes déjà habitées auparavant... Ils préféraient pondre leurs œufs dans une nouvelle ou bien, ils prenaient une grotte appartenant à leur famille (ancêtre). Ferll lui était un dragon unique, qui avait été laissé par sa famille et Éléandra l’avait élevé comme un membre de la sienne puisqu’elle n’en avait pas, comme lui. Cet endroit était son berceau, son chez soit, sa tanière, sa demeure, bref sa seule maison...

Après que l’empereur est débarqué, Ferll sembla sur le coup agité et Éléandra comprit pourquoi. Elle marcha rapidement vers la sortit de la grotte, là où la falaise se dessinait sous ses pieds et regarda au loin. Elle dit à Lucian :

- Venez voir... Le spectacle est magnifique...

Ferll se tourna vers la sortit et s’envola dans les aires et comme les montagnes faisaient un genre de cercle percé de partout, on pu voir une envoler de dragons, sortis de chez eux pour volé au soleil couchant...

S’entrecroisèrent à la dernière minute, manquant presque de se foncé dedans, ils y en avaient partout. Tous plus majestueux les un que les autres et avec leurs touches personnelles. Éléandra regardait avec joie la rareté du décor. Elle n’avait rien quitté de ses yeux, trouvant ça tellement beau. Quand tous furent partit au loin et qu’ils n’étaient plus que deux dans la grotte, elle se tourna vers Lucian et lui dit, tout en s’approchant de lui :

- Ferll reviendra...

Dans la grotte, il faisait plus chaud et Éléandra si s’entait toujours bien... Elle y venait souvent pour penser ou pour dormir avec son dragon. Un endroit qui pour elle, lui faisait échapper de la réalité et de son père adoptif, autrefois. Éléandra voulu faire un feu pour le temps qu’il allait être là. Elle partit donc vers un amas de bois et s’agenouilla pour frotter deux pierres ensemble. Des flammes se créèrent très vite et un feu crépita pour réchauffer qui compte était proche, mais en se relevant, elle s’enfargea maladroitement dans un trou et Lucian la retenu puisqu’il était proche d’elle.

Dans ses bras, encore une fois, elle ne savait pas trop quoi dire... Elle monta son regard brillant vers le sien qui donnait des frissons. Elle le regarda un cour moment et cette fois, elle ne pu résister une seconde à son aire mystérieux et troublant... Elle agrippa sa nuque, passant sa main douce sous ses cheveux, penchant sa tête pour être plus proche de son visage et lui donna un langoureux baiser, collant son corps au sien.

Emportée, elle l’embrassa avec passion pendant un moment, tout en fermant les yeux. Elle pensait fléchir sur ses lèvres parfaites. Délicate et froide un peu, Éléandra avait gardé sa fraîcheur du voyage et elle ne pensait à rien... Ses pensées étaient perdues dans un nouveau sentiment qu’elle n’avait jamais ressentit avant...

Quand elle se rendit compte de son geste, qui était d’avoir embrassé l’empereur, Éléandra se décolla tranquillement et en posant sa main sur sa bouche, elle lui dit confuse:

- Je n’aurais pas du... Pardonnez moi... Je le savais en plus que se n’était pas une bonne idée et encore moins réciproque.... Vous êtes l’emper.....

Elle ne fini pas son mot et sa phrase. Automatiquement, elle pencha la tête pour regarder au sol et pensa mentalement :

*Que je peux être sotte.... Il n’a aucun intérêt pour moi.*

Éléandra savait bien qu’il pouvait prendre la fille qu’il voulait dans son Royaume et que les sentiments d’amour pour lui n’étaient sûrement pas à long terme... Une fille à chaque soir.... Il les avait à sa porter de main. Lucian n’avait qu’à dire un mot et tous lui étaient portés sur un plateau d’or...

Elle se sermonna elle-même et mentalement pour se qu’elle venait de faire. Éléandra avait une attirance pour lui, mais se qu’elle ressentait devait être celé, car s’était impossible... Dû moins se qu’elle pensait....

Suite a la demande de Lucian, Ferll ferma les ailes, et accéléra de la même manière sa descente. Les cheveux au vent, l'empereur observa le sol se rapprocher a grande vitesse. Puis, après quelques instant, une vallé se dessina au loin. En demi-cercle, la falaise était une formation naturel de montagne aux innombrables cavernes, et l'empereur comprit bien vite qu'elle était cet endroit. Il en prononça même le nom a haute voix:

- La vallée des dragons.

Jamais il n'aurait cru que un jour il pourrait la contempler de ces propres yeux. Cet endroit était le dernier repère existant pour les dragons sauvage. Ferll effectua un virage soudain, et se dirigea vers une caverne en particulié. Il ouvrit ces ailes pour ralentir la descente, et atterit a l'intérieur. En premier avec ces pattes arrières, et ensuite avec ces pattes avant. La caverne était immense. L'on pouvait voire dans un coin un immense nid de paille ayant servit de maison au dragon. Éléandra descendit de sa monture, et elle dit en montant les mains:

- C’est ici... Spacieux vous ne trouvez pas?

Lucian hocha la tête, et sauta du dos du dragon, sa cape flotttant alentour de lui telle une ombre. Une fois ces pieds solidement ancré au sol, Ferll effectua un virage et s'envola hors de la caverne. Le regard neutre de l'empereur le suivis, curieux de savoir pourquoi il partait déjà. Il vît Éléandra se diriger en grand hate vers la sortit, et dire:

- Venez voir... Le spectacle est magnifique...

Lucian s'aprocha a son tour, et regarda le ciel. Des dixaines de dragons volait en formation serré, vers une destination inconnu. L'empereur trouva le spectacle époustoufflanté. Il regarda subtilement la jeune femme qui se trouvait a ces côtés, et vit son regard remplit d'étoile en voyant le magnifique spectacle qui se voyait dans le ciel. Lucian souria en voyant tout le charme que cela lui donnait. Puis, Éléandra tourna la tête dans sa direction, et lui dit:

- Ferll reviendra...

Lucian hocha la tête, mais cela ne l'effrayait pas le moin du monde, car il pouvait se téléporter ou bon lui semblait. Il fallait bien sur pour cela qu'il est vue l'endroit en premier. La femme guerrier se tourna, et marcha a l'intérieur de la caverne, en direction d'un amas de bois de chauffage. Lucian la suivis de prêt, et la regarda faire un feu afin de les garder au chaud. Il aurait pu en faire appel a la magie pour allumer un feu, mais cela aurait été de l'abue de pouvoir. Puis, Éléandra se leva et trébucha sur une irrégulaité du sol, et tomba. Lucian la rattrapa d'un geste vif et sure, et la colla contre lui pour éviter qu'elle ne tombe.

Elle leva les yeux vers lui, le regard hypnotisé et distant. Après un petit moment dans cet position, Éléandra passa sa main sur sa nuque, et se rapprocha d'avantage de Lucian, jusqu'a ce que leurs souffles se fassent sentir sur chacun de leurs visages. Puis, elle approcha son visage et l'embrassa lagoureusement. Lucian sentit une chaleur qui lui était a se jour encore parfaitement inconnu. Le simple contact des lèvres de cet femme fît battre son coeur, ce qui lui donna l'impression qu'il allait sortir de sa cage thoracique. Il ferma les yeux, se laissant noyer par un intence bien être.

Ce ne fut qu'après plusieurs minute collé contre cet femme de rêve que celle-ci se retira. Lucian ouvrit les yeux, choqué que le moment cesse si vite. Éléandra avait une main sur la bouche, et déclara:

- Je n’aurais pas du... Pardonnez moi... Je le savais en plus que se n’était pas une bonne idée et encore moins réciproque.... Vous êtes l’emper.....

Les paroles de la guerrière eurent l'effet d'une piqure sur le coeur de Lucian. Cet fois-ci, il ne ne pu résister a la tentation, et plongea dans les pensées de la jeune femme, et suivit ces pensés a la lettre. Elle pensait qu'elle n'était qu'une simple esclave, et que lui-même passait tout ces nuits avec une femme différente. Cela choqua l'empereur, car c'était totalment faux. Lucian s'approcha de Éléandra, et lui leva le menton. Il la regarda dans les yeux, et lui dit:

- L'image que tu as de moi est fosse. Je suis certe l'empereur, mais je déteste plus que tout au monde prendre quelque chose d'aussi précieux qu'une nuit aux côté d'une femme sans que celle-ci ne le désire elle aussi.

L'empereur passa délicatement sa main gauche alentour de la taille de Éléandra, et sa main droite au niveau des reins. Il la colla tranquillement contre lui, et continua en la regardant toujours dans les yeux:

- J'ai connu beaucoup de femme dans ma vie, mais jamais elle ne m'on faite ressentir ce que je ressens présentement. J'ignore ce que cela est, car je n'ai jamais porté attention a mes sentiments...humain. Toute ma vie, je n'ai fait que combattre et acquérir plus de pouvoir...

Lucian arrêta de parler de son passé, car pour l'instant il ne se sentait pas a l'aise de discuter de tout cela avec une femme qu'il ne connaissait que depuis le matin même. Il la regarda dans les yeux, et lui dit:

- Quand je te regarde, je ne voix pas une esclave, mais une guerrière a la volonté de caractère infaillible.

Puis, sentant son coeur battre de toute ces forces, Lucian approcha son visage de celui de Éléandra, et effleura les lèvres de la jeune femme, question de la faire languir. Sentant son impatience a lui-même grandir, il déposa un doux baisé sur ces lèvres. Il la serra tout contre lui, l'entourant encore une fois de plus de sa cape, et continua de l'embrasser, voulant que se moment ne s'arrête jamais.

Lucian avait reconnu l’endroit temps parlé, mais jamais visité par qui que se soit. Il l’avait nommé :

«La vallée des dragons.»

Éléandra, qui était une dresseuse de dragon, avait tissé un lien avec les bêtes de ses montagnes...!!! Elle aurait pu dire leur caractère juste en les regardant. Avec le temps, elle les avait étudié et comprenait maintenant comment ils réagissaient. Comme si elle était dans leur pensé et qu’elle savait leur moindre geste à l’avance. Elle pouvait prédire les chamailles entre eux, juste à voir leur façon de tourné la tête brusquement vers un autre mal en signe de rage et qui veut dire en bon français «Fait gaffe, ne me cherche pas» Des choses comme ça, minime, mais quand on sait les déchiffré, peut sans aucun doute nous être bénéfique...

Après avoir décollé ses lèvres des siennes, Éléandra ne savait pas qu’elle réaction, il allait avoir face à son baiser. Elle-même n’en revenait pas qu’elle est osée faire une telle chose. Il fallait avoir du culot, mais elle n’y avait pas pensé avant. Sur l’emportement tout paressait normal, mais après quand on y songe bien, s’était anormal et vraiment stupide... Elle avait une sorte de point dans le haut de sa poitrine et s’en voulait par-dessus tout. Le fait est qu’elle n’est pas pensé allait sûrement lui apporter des ennuies. Il était son maître après tout et elle ne pouvait se permettre ses familiarités soudaines.

La guerrière n’avait pas monté son regard de peur de faire encore un geste de trop. Un s’était suffisant pour le deuxième, elle ne se le pardonnerait pas. Elle cherchait comment lui dire ses s’insères excuse... Comment retrouver le climat qui les entourait avant qu’elle ne face cette impasse impardonnable.

Mais avant qu’elle n’eu le temps de lever son visage pour s’excuser de son emportement, l’empereur monta son menton tranquillement. Sa main douce, Éléandra eu par réflexe la pensé de tasser son menton légèrement, trouvant qu’elle ne méritait pas qu’on la touche, mais elle se laissa faire puisqu’elle n’avait pas le choix. Allait-il la frapper? Lui dire de ne plus jamais faire ça?.... Allait-il l’enfermer, comme son père faisait quand il n’aimait pas la façon de ses agissements? Une foule de questions lui parcouru l’esprit si vite qu’elle n’eu pas le temps de trouver une solution gagnante. Éléandra s’avait fait tellement de chose qu’elle ne savait plus, dû moins, se qui lui arriverait...

Pour elle la vie était un coffret secret. Tellement secret que rien n’est dévoilé avant la minute même où celui-ci est ouvert.

Lucian lui dit quand Éléandra posa son regard dans le sien :

«L'image que tu as de moi est fausse. Je suis serte l'empereur, mais je déteste plus que tout au monde prendre quelque chose d'aussi précieux qu'une nuit aux côtés d'une femme sans que celle-ci ne le désire elle aussi.»

Comment avait-il fait pour lire dans ses pensés. Elle n’avait pourtant rien dit de tout cela. Elle voulu lui dire pour cesser se qu’il disait :

*Vous dites ceci, mais toutes les femmes vous accorderaient une nuit... Qui pourrait vous dire non... Vous êtes si... beau.... Je vous paris que vous ne seriez pas du genre à être de glace à leurs charmes. Donc mon image de vous n’est pas si fausse que vous pensez...*

Mais au lieu de lui dire cela, elle se reteint et le regarda avec son regard navré pour se qu’elle avait pu pensé de lui...

Lucian qui était face à elle, passa sa main gauche autour de sa taille et pour voir se qu’il allait faire, Éléandra suivit sa main du regard. Il posa une autre main sur ses reins et Éléandra monta son regard pour lire dans ses yeux violet. Elle le regarda voulant dire «Ne faites pas cela, je vous en pris»

La tentation était trop grande... Elle sentait la main de Lucian glisser sur ses vêtements comme une caresse douce et excise.

Il l’approchait vers lui tout en lui disant :

«J'ai connu beaucoup de femme dans ma vie, mais jamais elle ne m'on faite ressentir ce que je ressens présentement. J'ignore ce que cela est, car je n'ai jamais porté attention à mes sentiments...humain. Toute ma vie, je n'ai fait que combattre et acquérir plus de pouvoir...»

Éléandra sentait le battement de son cœur accélérer. Elle avait une sorte de chaleur qui la parcourait. Elle était pourtant froide... Comme si un brasier ardant s’était emparé de ses veines... Il venait de lui dire qu’il avait ressentit quelque chose. Elle aussi, mais parlait t’il du même sentiment ou celui-ci était complètement différent?

Il ne se connaissait que depuis le matin, mais dès qu’elle avait croisé son regard dans l’Arène, elle avait ressentit se sentiment étrange et plaisant à la fois.

Il lui dit :

«Quand je te regarde, je ne voix pas une esclave, mais une guerrière a la volonté de caractère infaillible.»

Il avait approché son visage du sien. Éléandra le regarda toujours dans les yeux voulant savoir se qu’il allait faire encore un fois. Il fit frôler ses lèvres sur les siennes se qui eu pour effet de faire fermer les yeux d’Éléandra sur l’effleurement satiner...

Il avait décollé son visage un peu du sien, la laissant seulement avec un souvenir d’une pression légère et brève. Toujours les yeux fermé, elle appréciait toujours sa délicatesse et son savoir d’embrasser les femmes.

Après un moment qui ne dura peut-être qu’une seule minutes, Lucian lui donne un fougueux baiser, mais cette fois... Elle cru rompre sur la sensation qu’elle éprouvait... Comme un vertige qui ne prend le cœur pour ainsi tomber dans un néant doux et tapissé de rose. Elle monta ses mains, entourant sa tête. Éléandra passa une main dans les cheveux de Lucian pour ne pas qu’il parte tout de suite et se monta un peu sur ses orteils pour être plus haute. De son autre main, elle la mit sur sa joue l’incitent à continuer... Les mains de l’empereur était toujours autour de sa taille, elle courba le dos vers la l’arrière sans se détacher de se ardant baiser. Elle ne voulait pas qu’il cesse....

Soudain Ferll entra dans la grotte, se qui fit briser un peu l’ambiance.... Éléandra détacha ses lèvres de Lucian avec difficulté et tristesse. Elle aurait don voulu lui dire se qu’elle ressentait.

Il le savait sans doute, avec la façon don elle lui avait remit son baiser....

Elle regarda Ferll et celui-ci fit une révérence à l’empereur. Éléandra ne s’avait pas décollé de l’enlacement de Lucian se trouvant si bien sous sa cape et proche de son corps qui lui donnait une protection si étrangère jusqu’à se jour. Elle tourna le regard vers Lucian, le regardant avec tendresse. Ne sachant pas comment réagir, elle se décolla de lui et lui dit, comme si rien ne s’avait passé... Mais toujours avec une voix douce et entiché ou épris de lui.

- Je crois que vous n’avez pas terminé vos préparatifs et comme je vous ai eu toute la journée, il serait raisonnable de............ De vous ramenez...

Une explosion de sensation nouvelle et étrange avait envahit le corp et l'esprit de l'empereur, sans que celui-ci ne sache ce que cela voulait dire. Il avait connu beaucoup de femme dans sa vie, mais cela n'avait été que passagé, et seulement par désir physique. Dans le fond, Éléandra avait raison, il était un homme qui ne refusait jamais la compagnie des femmes. A la différence par contre de ce que elle avait pensé, il ne prenait jamais une nuit au lit avec l'une d'entre elle. Il les séduisait, et lorsque le désir partait pour les deux personnes concerné, leurs chemins se séparait.

Pourtant, pour la première en des décennies d'errance, il avait trouvé une femme si exquise, si fougueuse qui n'avait pas froid aux yeux. Elle avait du caractère.....et pour des raisons qu'il ignorait, il se plaisait en sa compagnie. Il avait même été jusqu'a avoir des conversation avec elle, voyant en elle un esprit lumineux. Il sentit les mains de la jeune femme monter le long de son torse musclé, et l'une d'entre elle se glisser dans a chevelure, le retenant d'une certaine manière. cela le fît frémir de plaisir, et en sentant la chaleur de l'autre main sur sa joue, il ferma les yeux.

Il mis encore plus de passion dans leurs étreinte, suivant la belle dans sa courbe, effectué sous la passion du moment. Ce fut un vrombrissement de l'aire et un immense bruit d'objet qui tombe sur le sol qui sortit Lucian de sa trance. Il ouvrit les yeux, et vit bien sur Ferll, d'on il avait sentit l'approche a l'aide de ces sens magiques. Éléandra cessa le baiser, et se recula après un petit moment, regardant l'empereur avec une voix toujours brouillon suite a ces émotions éprouvés:

- Je crois que vous n’avez pas terminé vos préparatifs et comme je vous ai eu toute la journée, il serait raisonnable de............ De vous ramenez...

Lucian reprît son aire glacial habituel, et déclara:

- C'est effectivement vrai, il y a encore beaucoup de chose a faire, et je crois que j'aurai besoin de toute mon attention pour m'y consacrer plainement.

En réalité, une petite partit de l'Esprit de l'empereur était constamment consacré a la collectivité, afin de s'assurer que tout sur Irianeth fonctionnait comme prévu. Lucian se concentra alors d'avantage sur son frère, et eu une certaine pointe de déception. Pirus se laisait mener par le bout du nez par une femme qu'il venait a peine de rencontrer, et cela n'était pas bon. Cet femme venue de nul par venait a peine de mettre les pieds sur le royaume des Tanieths, et déjà elle remettait en cause toute leurs traditions. L'empereur secoua la tête...il aurait deux mots a dire a son frère, et remettre les pendules a l'heure a l'étrangère. Lucian sortit de sa trance, et commença a marcher derrière Éléandra, admirant secrètement ces courbes délicieuse, et un ardent désir de ces lèvres le saisit de nouveau, mais il vida bien vite son esprit de toute émotion. Il passa a côter de la guerrière, et lui dit:

- Nous partons dans peu de temp, vous désirerez peut-être vous joindres a nous. Si l'idée vous déplais, vous pourrez toujours rester ici. Surtout, ne vous inquiétez pas, vous ne maquerez de ri.......

A peine eu t-il le temp de finir sa phrase qu'un cris d'horreur déchira les défences mental de Lucian, affectant tout ces sens d'un seul coup. Quelque chose en lui venait de se réveiller, et ce n'était pas des manières les plus plaisante. Il connaissait cet personnes, car depuis son enfance il l'avait souvent vue en rêve, et elle avait grandit avec lui. Seulement, après un certain temp, les visions avait cessé. Un village en feu passa dans l'esprit de Lucian, ensuite un sentiment de solitude. Puis, peu de temp après, une femme aux charmes divins se présenta devant lui. Une longue chevelure doré, une robe moulante. Elle le regardait avec intensité, lui murmurant:

« Je vous attends, mon seigneur. Je vous attends.»

Lucian, pendant tout le temp de l'assaut mental, avait saisit sa tête a deux mains, et était même tombé a genoux. Ces yeux était devenu noire comme de l'encre, et un cris animal, lui provenant de son côté insecte, lui sortit de la bouche. Ce ne fut que quelque instant plus tard que l'empereur réussit a se remettre d'aplomb. Il força la présence a sortir de son esprit, et referma a double tour ces pensés, les sellant derrière un épais mûr de glace. Lucian se leva d'un bond, ne portant pas attention a Éléandra, et se dirigea vers la sortit de la caverne.

Rendu devant le précipice, et ferma les yeux, et fouilla son esprit a la recherche du lien mental qui l'unissait a cet être étrange. Il y trouva non seulement un fil mental argenté, mais aussi la trace de la magie des Tanieths, ou plutôt celle de Amecareth. Lucian jura intérieurement, et déclara a haute voix:

- J'ignore ce que tu as préparé pour moi, vieille créature impotante, mais sa ne fonctionnera pas.

L'empereur ferma les yeux, et lorsqu'il les rouvrit, ils avaient reprît le tein violassé. Lucian se tourna vers Éléandra, qui semblait effrayé a la suite a sa démonstration de rage. Il lui souris, et déclara:

- Veuillez pardonner mon excès de colère, cela n'était nullement dirigé contre vous.

Lucian se dirigea vers Ferll, et il déclara:

- Nous devons partir, il semblerait que la déclaration de guerre soit accéléré.....je dois me diriger vers l'entrer de l'arène, pouvez vous m'y mener.

Lucian disait cela que comme prétexte pour passer un peu plus de temp avec cet femme exquise, car il pouvait fort bien atteindre sa destination par magie en a peine quelque seconde.

Suite à sa proposition de le ramener au château, pour qu’il puisse continuer se qu’il avait prévu de faire, Lucian lui avait répondu avec son aire glacial habituel :

«C'est effectivement vrai, il y a encore beaucoup de chose à faire, et je crois que j'aurais besoin de toute mon attention pour m'y consacrer pleinement.»

Elle su se le coup qu’il parlait d’elle... C’était pourtant elle qui l’avait dévié de ses préparatifs. Elle eu une mine un peu désolé. Éléandra savait que c’était très important pour lui et que la guerre était un moment définitif qui ne devait pas avoir d’échecs. La guerrière se mit donc en marche vers Ferll pour partir sur le champ. L’empereur suivant derrière elle.

Lucian venu se placer à coté d’elle, avant qu’elle ne monte sur le dos du dragon et lui dit :

«Nous partons dans peu de temps, vous désirerez peut-être vous joindre à nous. Si l'idée vous déplais, vous pourrez toujours rester ici. Surtout, ne vous inquiétez pas, vous ne maquerez de ri.......»

Il n’avait pas fini de dire se qu’il s’apprêtait à dire et elle n'eut pas le temps de lui répondre que subitement, il monta ses mains sur sa tête comme si il avait affreusement mal. Éléandra le vit s’agenouiller au sol sur le poids d’une chose étrange. Pour que Lucian s’agenouille par terre, ça ne devait pas être minime...

La guerrière qui marchait à côté de lui le vu stopper sa marcher et assista à toute la scène. Quand elle le vu fléchir pour écraser ses genoux dans la pierre qui tapissait le sol, elle accoura vers lui et s’agenouilla devant lui. Laissant sa robe longue se posé derrière elle... Elle posa ses mains délicates sur les poignets de l’empereur pour lui donner de l’encouragement, d’une certaine façon, pour ne pas qu’il se laisse abattre... Une sorte de peur (Un grand mot) voilait le visage d’Éléandra... Une crainte. Elle ne savait pas se qu’il lui arrivait.

Elle lui demanda, pas très fort, mais juste assez pour qu’il l’entende... Son visage proche du sien, elle cherchait ses yeux, morte d’inquiétude... L’empereur avait fermé les yeux et ne la regardait pas.

- Lucian..... Lucian..... Que vous arrive-t-il?

Elle voulait qu’il chasse se qui le troublait à se point, mais rien ne semblait lui faire capté son regard...

Comme si il avait entendu se qu’elle voulait par-dessus tout (Qu’il ouvre les yeux juste une fois), il le fit, seulement ses yeux était rendu d’un noir ténébreux... Il avait changé... Un cri animal se fit entendre de sa bouche et comme Éléandra était proche de lui et qu’elle se fit prendre par surprise... Elle recula par réflexe. Plutôt tomba vers l’arrière et mit ses mains sur la pierre pour se retenir. Faisant glisser sur le poignet de Lucian ses mains douces, elle recula tranquillement.

Elle voulu sur le coup prendre son arme au cas où sa vie était mise en danger, mais elle se rappela qu’elle avait laissé ses armes dans sa chambre. Ce qui était rarement le cas... Mais, pourquoi des armes? Elle n’aurait pas eu la force de s’en servir contre lui. Elle n’oserait jamais posé une lame sur lui c’était évident. Se sentiment qui la gagnait à toutes les fois, prenait le dessus et lui empêchait de faire quoi que se soit. Elle avait déjà vu pire que ça, mais sur le coup, ne s’attendant vraiment pas à se qu’il change de cette façon, elle avait été sur ses gardes.

Éléandra vu qu’il s’avait calmé, après un bout de temps... Il n’avait pas bougé, toujours agenouillé. Lucian se lava d’un bond, sans regarder Éléandra qui était étendu en quelque sorte, une main de chaque côté de son corps pour garder le haut du corps droit. Elle ne voulait plus dire quoi que se soit, elle le regarda tout simplement partir vers la sortit de la grotte. La guerrière pensait qu’il voulait se lancer en bas. Elle se leva rapidement et attendit voir se qu’il voulait faire. Que lui arrivait-il? Si il tentait de faire quoi que se soit, elle allait lui venir en aide, mais elle cherchait comment, depuis tantôt et ne trouvait rien. Comment venir en aide à une personne qui seule peux s’en sortir???

L’empereur déclara à haute voix :

«J'ignore ce que tu as préparé pour moi, vieille créature impotente, mais ça ne fonctionnera pas.»

Éléandra se demanda à qui il parlait. Il faisait quelque chose mentalement qu’elle n’aurait pas pu comprendre puisqu’elle n’était pas dans sa tête. Elle ne fit qu’attendre qu’il ait terminé, préoccupée et soucieuse... Lucian fini par se retourner vers elle. Il avait retrouvé ses yeux violets et un sourire un peu baroque. Comme si rien ne s’avait passé!!!

Il lui dit :

«Veuillez pardonner mon excès de colère, cela n'était nullement dirigé contre vous.»

Elle baissa la tête, elle n’en savait rien. Elle n'était plus sur. Il avait comme subitement changé. Il continua à lui dire tout en allant vers Ferll :

«Nous devons partir, il semblerait que la déclaration de guerre soit accéléré..... Je dois me diriger vers l'entrer de l'Arène, pouvez vous m'y mener.»

Éléandra leva le regard et sens un mot, elle prit place sur le dos de Ferll. Montant comme elle l’avait fait la première fois. Ferll attendit que Lucian ait prit place sur son dos et quand il fut assit et accroché, sur l’ordre d’Éléandra, il partit ver l’Arène. Le trajet se fit aussi rapide, si se n’est pas plus que la première monté avec l’empereur, mais il ne fit aucun détour improviste. Éléandra avait eu un ordre et elle la remplit comme, on le lui avait demandé.

Quand il fut arrivé, Éléandra ne se sentant pas concerné par les affaire de guerre, fit faire une entré Royal à l’empereur devant l’entré de l’Arène et quand Lucian se trouva les deux pieds sur le sol et qu'il se retourna pour l'aider à décendre, elle lui fit un sourire et lui dit:

- Je crois que je vais vous laisser discuté seul de choses qui ne me regarde pas...

Posant une dernière fois son regard sur Lucian, Éléandra partit avec son dragon vers, je ne sais où...

Éléandra pensait que c'était mieux ainsi...

(Pour ton prochain poste, tu pourras le faire à l'Arène ^^, moi je vais vous rejoindre sur le bateau...)

PS: Prochain poste, la chambre de l'empereur.