La plage... Commencement de la guerre

** Ouf,... ne croix pas que je vais faire un poste aussi long,.. car sa me prendrait des heures. Mais bref,... jencourage le forum en postant moi aussi Merci a toi Amir,.. tu me donne encore le gout de poster




Elsenia etait dans sa chambre et reflechissait aux heures a venir. Elle ne comprenait rien a ce qui se passait. Tout etait si paisible dici quelque temps quelle nen revenait pas que tout avait chambuler tout ca a cause dun empereur. Elle ne lavait jamais vue, mais deja elle ne le portait pas dans son coeur. Et qui etait cette jeunne femme quelle avait vue en telegramme. Elle etait charmante, mais quelque chose en elle lui faisait peur. Une puissance emanait delle et, de plus, si elle avait reussis a maltraiter Luna, Elie se demandait bien comment elle ferait pour la combattre.



Beaucoup de question flottait dans la tete de elsenia. Elle ressentait quelque chose de mal. Etant dorigine Elfique, Elie pouvait ressentir les choses, et cest a ce moment quelle sut que lennemi arrivait bientot. Mais quelque chose dautre lui disait de se mefier. Quelque chose se preparait sans quelle ne soit au courant, mais quoi, elle avait beau chercher mais rien.



Elie se coucha quelques heures le temps de se reposer et de mettre ses idees a zero, puis se fit reveiller par le message telepathique de son chef. Il attendait les chevaliers dans la grande cours pour aller a Zenor, mais elle retarda et netant pas sure, elle pris que le stricte minimum. Elle enmena son arc, son epee et son armure. Elle remonta quelque cheveux, se mit du linge decontracter, sans mettre de bouclier. Cetait moins prudent, mais elle etait plus a laise comme tel. Rien ne lencombrait et elle preferait ca.



Une fois terminer, elle alla se laver le visage et a toute vitesse, elle descendit les marches en sauta quelques unes, puis coura jusqua la cours exterieur.


-Attendez,...!


Elie continua a courir puis regarda Norwen son chef.


-Je suis desoler de vous avoir fait attendre. Je suis pret. Tu est toujours sure de ne pas vouloir venir? Nous serons toujours mieux tout la troupe.


Norwen lui dit que tout va bien aller, avec son ton calme et rassurant comem dhabitude, puis lui sourit tendrement. Cest a ce moment que luna decida darriver puis une fois tous pret, Luna teleporta le groupes des chevaliers a Zenor. La ou ils atterirent, ils puent voir lennemi qui sy trouvait avec un autre bateau sur la rive. Elle le reconnu, cetait celui de Amir. Elle se demandait pourquoi il etait la. Elle ne savait pas quil avait laptitude dun guerrier et craignait pour sa vie. Etant a pied, elle se mit a courir pour se rapprocher un peu de lennemi et suivie des autres, ils firent un rang serrez. Elie prit son arc et encocha une fleche sans pour autant la laisser partir. Elle attendait le bon moment.



Elie observa le terrain, puis pour le moment, elle ne vit pas lempereur ni cette femme quelle redoutait temps. Elle croisait surtout les doigts pour quils ne viennent pas.



*Sale bestiole*



-Que fait on? Nous attendons leur invitation ou on les invites nous meme, dit elle avec un petit sourire.


Au debut, elle etait nerveuse, mais son coter sauvage surgit delle puis le courage lemporta. La haine sempara delle et elle ne voulait quune seul chose, tuer ces vermines qui ne fait que faire des ravages.

Maximiliann chevaucha pendant de longues heures. Combien? Ça il ne pourrait vous le dire, mais assez pour avoir le derrière en compote...

Son voyage s'est plutôt bien passée, même si la moitié du temps il demandait son chemin. Même si, à l'instant où il avait quitté le château, le propriétaire du cheval lui avait couru après, le traitant de tous les noms, sans pour le moins crier, car il voulait être sûr que Maximiliann les entende tous. Ce n'est qu'après qu'il eut la tranquilité. Enfin, à part le bruit des sabots martelant le sol à une vitesse alarmante. Car bien qu'il n'était pas le plus courageux des hommes, il voulait bien prouver qu'il avait le coeur d'un chevalier, et voulait donc assister au plein carnage qui allait s'amorcer...

Il se surprit à trouver que l'équitation n'était pas quelque chose de si difficle que ça, il fallait seulement bien se tenir, et bien guidé le cheval, et bien mettre ses pieds dans les étrier de chaque côté, si non, il perdait l'équilibre. Mais il ne fut pas le seul à trouver cette facilité bizarre, car les quatre personnages de la pierre le lui fit remarqer à l'instant.

*Je sais, je sais... Sauf, qu'on dirait que j'ai toujours su un peu comment me tenir, l'instinct?*

Ils restèrent tous un peu sceptique sur ce fait. Mais bien que Maximiliann ne se souvenait aps de son passé, cela aurait-il un rapport avec? Peut-être, peut-être pas. Mais bon, ce n'était pas le moment de savoir, une guerre se préparait et...il ne savait pas du tout où... -_-''

Enfin, faisant fi des péripéties du voyage, il mit donc pied sur la plage. Ce n'était aps bondé de gens, mais il y avait bien reconnu quelque personne qu'il avait entrevue dans la salle où l'étrange femme bleue était apparue, ainsi où il avait pour la première fois vu Sir Norwen, le chef. Il n'aurait pu les nommer, mais un question resta sur ses lèvres: comment avaient-ils fait pour arriver ici alors qu'il avait cru qu'il était parti avant eux? oO

Enfin, là n'était pas là question primordiale du moment, car un débarquement au loin le fit avaler de travers. Alors, ils étaient déjà arriver et emplissaient déjà la terre sablonneuse. Pourtant personne de bougeait, comme s'il attendait le moment opportun à attaquer. Sur l'étrange masse bleue qu'on appelait la mer, il vit deux autres bâteaux? Cargaison d'insectes seraient le mot plus approprié selon lui. Il ne savait si les deux étaient ennemis ou bien que l'un deux se battait pour eux, gens d'Enkidiev.

Mais bientôt les insectes foncèrent vers les chevaliers présents, forçant les plus proche à se défendre contre eux. Le sang de Maximiliann se glaça dans ses veines et artères. La peur meurtrissait son ventre, ce sentiment, il ne l'avait jamais ressenti auparavant. Le cheval avait arrêté sa course et trottait tranquillement, et puis stoppa net en attendant du moindre mouvement de l'homme assis sur lui. La peur qui avait envahi son cavalier le traversa tout aussi soudainement. Il bougea nerveusement en voyant les insectes partout. Cela fit revenir les esprits de Maximiliann au bon endroit. Secouant sa tête, il tira sur les rennes (?) et le fit reculer loin du carnage qui avait commencé. Il préparait un plan dans sa tête.

Les chevaliers qui se défendaient tant bien que mal face à ces géants mi-hommes, mi-insectes, ne se battaient qu'avec des épées, chose que Maximiliann contrôlait très mal. D'autre était plus en retrait et tirait des flèches à l'intersection du bras et de l'avant-bras; en d'autre mot, l'intérieur du coude, seul endroit qui semblait vulnérable de ces guerriers noirs. Cette manoeuvre donna l'idée à Max de faire de même, avec son vieil arc tout rafistoler qu'il portait en tout temps sur lui.

Il se para donc de son arc, visant bien l'intérieur des coudes, des insectes les plus proches, faisant ainsi attention à ne pas blesser l'un des chevaliers.

Mais à la vitesse qu'il encochait flèches après flèches, n'avait jamais été testé sur son arc bien de maigre qualité. Et cela, il ne le supporta pas, se brisant sous l'impact d'un flèche tirée, dernière qu'il supporta. plusieurs écharde transperça sa main droite, main qu'il utilisait en tout temps. Donc, il ne pouvait même plus essayer de se défendre en lançant quelques dagues qu'il traînait sur lui. La panique le gagna, lui et son destrier.

Le cheval commença à reculer de plus en plus, sans que Maximiliann ne lui en ait donné l'ordre. Jusqu'à ce qu'un insecte surgisse devant, sans que Maximiliann s'en rendre compte, trop occupé à contrôle et sa panique et le sang qui dégoulinait de sa main droite, là où le bois avait fait des entailles.
Cela le fit sursauter, le destabilisant et le fit tomber de sa selle qu'il ne tenait plus qu'avec ses jambes puisqu'il avait besoin de ses deux mains pour décocher ses flèches. Le cheval prit ce moment-là pour prendre la fuite, emmenant Maximiliann, car celui-ci avait toujours son pied dans l'étrier gauche, côté que Max avait tombé.

'Max!! Relève-toi!', criait la jeune Kyliann

*Pas aussi facile que c'en a l'air!*

Tant bien que mal, Max se redressa, essayant de rattraper le bord de l'étrier, pour essayer d'enlever son pied de là, car bien que cela pouvait paraître ridicule, cela faisait un mal de chien... Poussant un juron, il s'adressa au cheval, espérant le calmer:

- Tout doux, tout doux... Tranquille! TRANQUILLE, J'AI DIT!

' Je ne crois pas que'en lui criant après cela va t'arranger Maximiliann...', résonna la voix d'Albéric dans sa tête.

*Rien à faire des sales bêtes dans son genre!*

'Max! Il t'a bien guidé jusqu'ici sans rien dire! Et puis c'est toi qui t'es laissé gagné par la peur, le cheval l'a simplement capté et n'a plus sut quoi faire quand le..."truc" s'est montré devant vous, et je te ferai remarquer que toi non plus...!', s'époumona la jeune fille.

*... Je hais quand tu as raison Kyli'*

Enfin, sortant l'une de ses dagues, il commença à sectionner la gance qui le tenait prisonnier du cheval. Après maints efforts il réussit, avec mal de la part de sa main droite qu'il avait utiliser et de la aprt de sa cheville qui s'était fait quelque peu écrabouillé par le sabot du cheval quand celle-ci était finalement tomber à terre. Il se releva donc avec peine, pour se rendre compte que le cheval ne l'avait pas mené dans un endroit très sûr, mais plutôt en plein milieu du carnage! Changeant la dague de main, tremblant il fit face à l'insecte qui se trouvait devant lui, la peur s'empara encore de son âme...

[Voilouuuuu!! Je suis là pour vous supporter moi aussi!!! ]

Leanie n'écoutait pas vraiment ce que les autres disaient. Norwen, son chef et Maximilliann, un étranger qui voulait devenir chevalier semblaient en grand discition. Elle décida de ne pas s'introduire et se dirigea plûtot vers les écuries ou elle y trouva Dream, son cheval. Aussîtot qu'il vut sa maitresse il hennit comme un enfant qui viens de retrouver sa mère.Leurs retrouvaille était toujours bien joyeuse car Leanie et son cheval avaient former des liens très fort dès le premier regard. Ses yeux azur étaient remplie d'une grande sagesse malger le jeune age de sa pouliche. La demi-elfe enleva les quelques mèches caramel qui bloquaient la vue de son fidèle destrier puis carressa son pelage brun très sombre. Elle ouvrit son box puis alla installer sa selle sur son dos. Une fois que ce fut fait elle lui parla par télépathie. Peu de gens voulaient le croire mais c'est comme si Dream comprenait ce qu'elle disait. Elle aussi comprenait ce qu'il lui disait mais pas par ses hennissement mais par ses gestes et ses regards.Peut-être était-ce du a ces origines qu'elle ne connaissait pas encore.

Leanie passa a côter de son commandant et de leurs inviter sans leurs accorder un regard. Elle ne savait pas vraiment ce qui l'attendait la bas. Elle ne savait pas non plus si elle serait seul sur cette plage a affronter tout ces hommes insects. Mais elle s'en foutait bien. la jeune femme avait la ferme intention de défendre son continent et personne ne l'en disuaderais. Même si elle se ramassait seul devant tout ces insects elle essayerait d'en tuer le plus possible. Si elle mourrait au combat elle se disait que au moins elle avait contribuer a ce combat et qu'elle avait fait son possible pour défendre le monde qu'elle aimait tant. Peut-être que la jeune femme avait un air angélique et fragile mais si on la menaçait de faire su mal a ses frères d'armes ou si on voulait détruire ce continent qu'elle aimait tant, elle se transformait en vrai furie.

Leanie monta sur Dream puis jetta une dernier coup d'oeil vers Norwen. Elle tourna ensuite la tête et talonna son cheval. Il poussa un hennisement et partit au galop. Elle n'était pas partit par le vortex comme les autres car elle était partit un peu plus tôt. Alors elle chevaucha pendant des heures sans relache. Elle savait que sa pouliche tiendrais le coup car elle était fait pour courir sur de longue distance.

Une fois arriver près du lieu de combat, Leanie sonda les environ pour découvrir ou les insects attaquaient. Elle fut heureuse de découvrir sa soeur d'arme Elsenia et un autre homme qu'elle ne connaissait pas mais qui semblait être de leurs côter.Leanie commença par tirer des flèches a partir de la petite colline ou elle se trouvait et réussit a en tuer un bon nombre. Il faut dire qu'elle avait un certain don a l'arc La jeune femme,voyant que les autres semblaient avoir besoin d'aide sur le terrain, fonça dans la masse d'insect et fit son possible pour atteindre sa soeur d'arme. Elle fesait bien attention de na pas blesser son cheval car sans lui elle ne pourrait pas se rendre a Elsenia. Elle coupait l'interieur des coudes de tout les insects qui se trouvait devant elle,fesant couler une marre de sang noir. Leanie vit de loin le juene inconnu arriver mais n'y pretta pas vraiment attention. Elle se demandait plûtot ou était Norwen.

Au moment ou Elsenia posa la question, Leanie arriva a côter d'elle sur Dream. Elle mit pied par terre,murmurra quelque mot a sa pouliche puis lui donna une petite tappe sur les fesse pour qu'elle parte.Elle regarde Elsenia, sourit et lui dit:

-Bien je crois que on a déja fait notre invitation sans vraiment le vouloir.

La demi-elfe sortie son épée de son fourreau, car elle l'avait ranger en arrivant au côter de sa soeur d'arme, puis se mit en position de combat. Cela ne prit que quelque seconde et les insects étaient déja sur eux. La jeune femme se battait comme une furie. Elle tranchait l'interieur des coudes de tout les insects qui se trouvait devant elle. Elle utilisa aussi son pouvoir de rayon incadescent quand elle se trouvait dans une situation difficile. Leanie trouvait que ces insects n'étaient pas si difficile a tuer après tout. Ils étaient lent et pas très intelligent. Au fond, le vrai danger était leurs nombre, car il faut le dire, ils étaient plus que nombreux. Leanie se demandait si ils en viendraient un jour a bout.

Puis dans ses réfléxions elle apperçut du coin de l'oeil le jeune inconnu. Il semblait dans une position difficile. Elle le sonda pour voir si il était blesser ou si il avait besoin d'aide puis remarquer que sa cheville le fesait souffrir. Il avait l'air effrayer aussi devant l'énorme bestiole qui se trouvait devant lui. Pour l'aider et déconcentrer son adversaire, elle lança un rayon incadesent sur les côtes de l'insect. Celui ci fascilla quelque peu et se tourna vers Leanie. Elle esperait que ceci aiderait le jeune homme a tuer l'ennemi. Elle ne se préoccupa pas plus longtemps de Maximilliann car elle avait besoin de se concentrer sur son combat.

Un énorme insect arriva devant elle avec sa lance bien effiler. Leanie était beaucoup plus petite que lui et elle se doutait que avec un seul coup il pourrait la briser en deux. Malgrer tout elle ne se démonta pas. Après tout elle avait la rapiditer et la flexibiliter que lui n'avait pas. Il voulut lui assener un coup de lance mais elle se baissa puis dans un mouvement presque gracieux elle lui trancha l'interieur d'un coude. Un autre insect vint l'attaquer mais elle le tua en quelque seconde. Quand elle se retourna pour se reconcentrer sur son autre ennemi, elle reçut un immense coup de bras, ou plûtot de patte. La jeune femme avait trancher le bras qui tenait la lance mais le guerrier insect venait de lui donner un grand coup de patte dans l'abdomen. Leanie en perdit le souffle pendant quelque seconde. Elle était coucher par terre et son épée était beaucoup trop loin pour qu'elle ai le temps d'aller la chercher. Le guerrier avança vers elle a grand pas. La jeune femme se releva et au moment ou il voulut lui donner un autre coup,qui lui serait fatale, elle sortit de sa botte sa petite dague, évita le bras du guerrier et lui trancha. Tout ceci a la vitesse de l'éclair. Elle lui donna ensuite un grand coup de botte dans le torax puis se pencha sur lui pour lui couper la gorge, un autre endroit dépourvue de carapace.

Suite a ce combat la jeune femme réussit a rejoindre son épée puis recommença a se battre avec les autres insect. Ses côtes lui fesaient mal mais elle survivrait. Leanie essaya alors de trouver Norwen du regard et ne le trouva toujours pas. Elle fut heurese de constater par contre que les autres semblaient aller bien.

HJ: voila c'est fait:)...J'espère que ça vous convient ^^

Élania c’était levée tôt ce matin là. Elle s’étira longuement, puis comme à son habitude, elle se rendit à la fenêtre. Elle appuya ses mains sur le rebord et sonda tout le palais. Ses frères et sœur d’armes n’étaient pas dans le hall, ce qui était assez inhabituelle. Elle décida de sonder tout le continent pour plus de prudence. Elle remarqua à Zénor que quelque chose n’était pas comme d’habitude. Elle se concentra davantage et remarqua que les troupes de l’Empereur débarquaient sur les berges.

Elle n’était pas nerveuse. En fait, elle avait plutôt hâte d’affronter les insectes de l’Empereur. Après tout, toutes ces années d’apprentissage ne devait pas servir à rien. Son cœur commençait à battre plus vite, comme toujours à l’approche d’un événement important. Son côté téméraire et audacieux prenait alors toujours le dessus, la mettant parfois dans des situations dangereuses, pour elle et ses compagnons d’arme. Elle ne le faisait pas exprès, elle dirait plutôt que c’est son cœur qui agit avant sa tête.

Elle enfila rapidement une tunique propre, jetant l’autre négligemment par terre. Elle mit ensuite son armure, attacha difficilement sa cape et pour terminer, elle laça très serrées ses bottes. Elle tenta d’attacher ses longs cheveux, qui étaient indomptable habituellement. Mais comme s’ils avaient sentis l’urgence, ils se laissèrent faire. Elle se fit une longue tresse qui lui atteignait la taille. Finalement, elle mit son épée dans le fourreau, cacha deux petites dagues dans ses bottes et prit son arc et son carquois. Elle descendit ensuite rapidement les marches pour se rendre directement à l’écurie.

Elle courait presque entre les allées de la grande écurie qu’elle faillir manquer le box de Destiny, sa magnifique jument blanche. Rapidement, elle brossa l’animal et nettoya ses fers, puis elle attacha son carquois de flèche sur la croupe de la pouliche. Elle regarda la jument droit dans les yeux, comme à la recherche de soutient. Elle l’embrassa sur le front en lui murmurant de douce paroles. Elle la sella ensuite et monta gracieusement sur son dos pour partir au galop dans les forêt d’Enkidiev.

*Pourvu que je sois à temps pour les aider…*

Elle soupira longuement et le vent qui s’acharnait à détruire la tresse qu’elle s’était faite s’engouffra violemment dans sa bouche, provoquant une incontrôlable quinte de toux. Elle tira sur les rênes Destiny pour l’arrêter et sauta souplement sur le sol pour tousser longuement.

*Bravo pour le numéro de la toux, trèèèèès pratique pour te ralentir.*

En maudissant le vent, elle remonta sur sa jument. Elle fit claquer les rênes et talonna sa monture pour partir. Cette fois-ci, elle prendrait garde de ne plus ouvrir la bouche ça ne lui attirait que des ennuies. Quand elle entendit le bruit familiers des épées qui s’entrechoquent, elle sauta gracieusement sur le sol, en attrapant au vol son carquois.

Elle donna une tape sur la croupe de Destiny, ne s’inquiétant pas de savoir si elle allait revenir, signe qu’elle pouvait aller brouter plus loin, tranquille. En effet, un simple petit sifflement la ramènerait et elle serait déjà partit.Élania se battait mieux sur le sol, c’était l’unique raison pour laquelle elle laissait partir sa meilleure amie au loin.

Elle regarda ensuite le champ de bataille. Plusieurs Chevaliers se battaient déjà. Elle arma son arc et décocha une flèche dans le coude d’un coléoptère qu’elle trouvait trop rapproché à son goût. Puis, une autre pour l’achever. Cette manière de combat était efficace, mais elle n’était pas assez active pour Élania, qui aimait sentir le sang affluer dans ses veines et lui donner une rage presque incontrôlable au combat.

Elle décocha encore quelque flèches puis décida de se mêler aux autres. Elle dégaina son épée et fonça courageusement dans la mêlée. Un scarabée s’avança vers elle aussi rapidement que le lui permettait ses membres dépourvus de flexibilité.

Elle évalua la masse de son adversaire. Il était gigantesque et pourrait la tuer seulement d’un coup de lance.

*Que Parandar me protège.*

Elle attendit que l’insecte attaque le premier. Elle évita le premier coup de lance, puis un autre qui vint rapidement. Le troisième fut le bon pour le combattant qui parvint à faire une entaille profonde sur sa hanches. Élania roula brutalement sur le côté, répandant une mince traînée de sang sur son passage. Elle étouffa un cri de douleur en enclenchant tout de suite sa magie pour réparer l’entaille. Elle posa sa main droite sur la blessure et la guérit en une minute à peine. L’insecte, qui la croyait morte, regretta aussitôt ses pensées quand un violent coup de pied vint s’abattre sur sa carapace dorsale. Le coup de pied ne fit que le déstabiliser, mais la jeune fille profita de l’effet de surprise pour trancher les coudes de son adversaire, répandant du sang noir sur sa lame. Elle donna un autre coup de pied sur l’arme de son ennemi et alla s’attaquer à un autre insecte.

*Bien fait pour toi...*

Elle regarda aux alentours, puis remarqua pour la première fois qu'un bâteau était au large. Une bataille senblait avoir lieu puis Élania décida qu'ele verrait plus tard ce qu'elle pourrait faire pour eux. Elle ne esrait as très utile une fois morte, et ses frères et soeurs d'armes non plus.

Contrairement à la jeune Leanie, téméraire comme elle était, Maximiliann ne trouvait pas que c’était seulement leur nombre qui était un danger mais bien les insectes à part entière! Quoique, cela était bien vrai qu’il y avait une grande différence entre lui et ce chevalier : le fait qu’elle avait été entraînée et préparée à la guerre depuis sa tendre enfance, qui lui ne l’était pas du tout... Donc pour lui, il était dans de beaux draps, en plein milieu du lieu de bataille, blessé à sa main droite et face à une multitude de bêtes, ou plutôt d’insectes, sanguinaires. Un frisson parcoura sa colonne vertébrale, partant du bas remontant jusqu’à sa nuque. En fait, le chef avait un peu raison...il ne savait pas vraiment dans quoi il s’embarquait...

Le chef... il ne l’avait pas encore vu sur le terrain de combat, quoique... il n’en avait pas eu vraiment le temps... Et justement, s’il était arrivé, il fallait lui prouver qu’il avait la même force que ses chevaliers, pas nécessairement supérieur à eux, et puis cela...c’était impossible de toute façon...alors essayer seulement de les égaler serait assez.

Justement, un éclair lui traversa l’esprit et il reprit quelque peu du poil de la bête. Et il était plus que temps! Parce que l’insecte lui donnait justement un coup à la tête. Coup qu’il dévia avec l’une de ses dagues de la main droite, lui arrachant une grimace. Et juste lorsque l’insecte revenait à la charge, quelque chose frappa celui-ci en pleine côte. Miliann ne savait pas d’où cela venait ni de quoi il s’agissait, mais il pouvait dire que c’était lumineux. Et que sous l’impact du choc assez violent, l’insecte faillit atterrir face contre terre, mais il se retint avec de grands gestes des bras. C’était définitivement un cadeau. Max ne se le fit pas dire et bondit sur l’occasion. Changeant sa dague de main, il fit deux grands arcs de cercle avec ses bras et la lame vaguée transperça de son tranchant l’intérieur des coudes et l’insecte poussa un grand cri; tant bien de souffrance que de surprise.

Il se vidait peu à peu de son sang, et Maximiliann le regardait, quelque peu tremblant et nostalgique. C’était la première bête qu’il tuait qui ressemblait un tant soit peu à un humain. Il avait déjà tué pour se nourrir, mais c’était quelque peu différent que cela en ce moment. Il soupira, prenant appuie sur son pied gauche, voulant regarder aux alentours, essayant de repérer la personne qui l’avait aidé. Erreur. Sa cheville fit un bruit quelque peu bizarre et cela lui arracha un cri de couleur. Celle-ci n’était pas seulement foulée, finalement...mais bien cassée. Quoique, cela était tout à fait probable, surtout lorsqu’un cheval vous la piétine. La larme à l’œil, il vit un autre insecte s’approcher dangereusement de lui.

Il releva son regard vers ce monstre aux mandibules, Et il eut tout juste le temps de sortir une autre de ses dagues, l’empoignant de la main droite, puisqu’il tenait toujours l’autre dague dans sa main gauche, il croisa les lames un peu plus haut que son front et para, tant bien que mal, la ‘main’ qui venait verticalement le frapper à la tête. Les coupures qui s’étaient temporairement refermées se remirent à saigner de plus belle, sous le coup de l’effort, coulant le long de son bras et tachant sa manche d’une couleur vermeil.

Haletant, autant d’essoufflement que de peur, il sépara d’un coup sec ses deux lames vaguées : la lame droite allant à droite et la lame gauche allant à gauche. Se faisant, il fit une profonde entaille dans le poignet de son ennemi. Surpris, celui-ci fit un geste de ramener sa main vers lui, mais il n’en eut point le temps. Maximiliann, de sa main gauche, coupa l’intersection dépourvue de carapace. Maximiliann se relâcha quelque peu, s’attendant à voir la bête s’écrouler de suite au sol, ce qui n’arriva pas. La bête, s’efforçant à rester debout malgré le sang d’encre qu’il perdait de seconde à seconde, il assena un coup de pied, ou de patte, sur le côté droit de son genou droit, le faisant tomber au sol. Et puis, la bête tomba devant, vers lui. Il eut tout juste le temps de rouvrir ses yeux que, par réflexe, il roula sur le côté gauche. L’insecte tomba qu’à quelques centimètres. Un nuage de sable se souleva lorsque l’insecte, et quelques grains prirent le chemin de son nez, le faisant éternuer un bon nombre de fois.

Le monde autour de lui devint noir, pour reprendre une couleur extrêmement blanche. Il était de retour dans la pierre. Maximiliann regarda autour de lui, tout le monde avait l’air particulièrement effrayé et un silence de mort régnait. Voilà pourquoi personne ne parlait, tout le monde était trop apeuré pour faire quoi que cela soit. Regardant autour, il n’aperçut que trois membres, comme les autres fois qu’il était venu. Mais cette fois-ci, s’était l’elfe qui avait disparu.

‘ Mael?’

*Oui?*

‘Tu es sûr que ça va aller? Ce.. ce n’est pas aussi facile que c’en a l’air...’

*Ne vous en faîtes donc pas Messire Maximiliann... Vous savez bien que je maîtrise mieux l’art du combat que vous...*

Cette dernière phrase le surprit. En fait, non, il n’en avait aucune idée que l’elfe savait se battre. Cela était, par contre, tout à fait probable, parce qu’il ne parlait que très rarement de sa vie antérieur.

Se levant, Maximiliann-Mael vacilla, cherchant équilibre sur sa jambe droite, puisque la gauche n’était plus aussi sûre. Il trouvait cela quelque peu bizarre d’avoir sa vue à cette hauteur, puisque de son vivant il était habitué à être grand, même pour sa race, il était considéré comme l’un des plus grand. Il chercha donc de vue quelqu’un qui pourrait lui venir en aide. Car bien qu’il était elfe et maîtrisait bien guérison et éléments, il était dans le corps de Maximiliann, et celui-ci n’avait pas la capacité d’un elfe.

Donc, il ne pouvait reproduire ce qu’il faisait dans sa vie. Il repéra celle (>Elsie ) à qui il allait demander un peu plus loin. Elle était elle-même de la même race que lui, donc, peut-être cela faciliterait les choses. Mais elle était tout de même un peu loin. Il ne pourrait vraiment se frayer un chemin sans se battre. Il leva ses poings qui renfermaient les dagues et avançant, lentement, en claudicant.

Maximiliann, qui était à l’intérieur de la pierre, sentait la douleur lui traverser sa jambe, aussi bizarre que cela paraissait. En fait, c’était aussi un peu logique, puisqu’il s’agissait de son corps. Il serra la mâchoire, pour éviter de crier. Il se demandait bien comment l’elfe faisait pour ne s’écraser au sol, tant qu’il trouvait la douleur pénétrante.

‘Max?’

La jeune fille s’était approchée de lui et le regardait d’un air inquiet. Maximiliann était tout de même blême. Il ne s’était pas rendu compte à quel que cela était douloureux, sûrement sous l’adrénaline, il n’avait sentit que la moitié de qu’est-ce que la douleur était vraiment. Avec un geste de la main, il se força à répondre :

‘Vais bien’

*Courage, mon ami, j’essaie de retrouver quelqu’un qui vous viendra en aide*

Maximiliann lâcha un à peine audible ‘merci’ et replongea dans son silence, comme tous les autres. Dire que Dagann ne l’avait même pas nargué depuis qu’il était arrivé... quelque chose de bien miraculeux.

Revenons bien à l’extérieur de sa tête, d’où s’était une vraie infection d’insectes. Malgré sa jambe et sa main, Max-Mael se combattait, tranchant l’intérieur des coudes des insectes sur son passage. En fait, il ne les tuait pas tous, même cela était rare que sur son passage on trouvait un insecte mort, il les blessait plus qu’autre chose, mais cela il ne s’en préoccupait guère, quelqu’un s’occuperait de les achever à sa place car sa priorité à lui était d’essayer d’arranger la cheville de Miliann.

Il était maintenant derrière la jeune chevalier en question. Il s’occupa donc d’un insecte qui s’avançait dans sa direction, et cette fois-ci, essaya de le tuer complètement, ce qu’il fit, non sans égratignure, dont l’une se situait sur son bras droit et l’autre sur sa joue, du même côté. Cela faisait un bail qu’il ne s’était pas battu, il était rouillé et cela paraissait, bien qu’il se débrouillait pas mal. Posant son dos contre celui de la demoiselle, ainsi s’assurant qu’aucun viendrait par surprise l’attaquer par-derrière pendant qu’il ferait sa requête à celle-ci. Il prit donc tout de suite la parole, ne voulant pas l’apeurer en sentant le contact dans son dos.

- N’ayez crainte, damoiselle, je me bat pour votre cause. Mais, auriez-vous, très chère, l’amabilité de m’accorder une faveur, si cela est dans vos moyens.

N’attendant pas sa réponse, il enchaîna :

- Comme vous ne le voyez sûrement pas, j’ai l’une de mes chevilles qui me fait incroyablement souffrir. Je ne peux me battre convenablement avec celle-ci qui fait des siennes.

Si vous avez des craintes face à votre sûreté pendant que vous occuperiez de cette cheville, je puis vous dire que j’essaierai de vous couvrir. Si vous acceptez, j’aurai un dette envers vous, gente dame.

Finissant sa phrase, il regarda du coin de l’œil sa réaction. L’avait-elle au moins écouté ses paroles?

[comme (je pensais) que personne ne répondait (Élania a été plus vite que moi =_= XDDD loll), j’ai pris l’initiative (no2) de le faire Aller les gens!!! ]

Élie était arriver depuis déjà un moment. Elle était dans la première ligne tout prêt des adversaires qui arrivaient par bateau. Elsenia était arriver la première sur place. Maximiliann arriva par la suite, puis fut le tour de Leanie, sa soeur d’arme. Tout trois étaient la et attendait la suite des événements. Élie proposa de les inviter, mais juste le fait d’être la les avaient inciter. Elle sortit son arc puis décocha quelques flèches jusqu’a ce qu’ils soient trop prêt. Elle en tua quelques un. Puis rangea son arc pour en sortir son épée longue. Elle se mit en position de défense et attendit que l’adversaire arrive vers elle. Avec ses yeux d’elfe, Élie examinait son adversaire a une probable ouverture, une éventuelle faille.


Le contacte fut bruyant et douloureux. Élie fut déséquilibrer, mais se replaça vite. Elle se retourna vivement et essaya de trancher la tête de celui ci, mais sans aucun résultat. C’est alors qu’elle se rappela qu’ils devaient mourir, mais en leur tranchant les membres au niveau des coudes. Alors elle visa a chaque fois et en tua avec agilement. Élie avait beaucoup de réflexe et d,agilité. Elle était rapide et son coup était fort et persévérant. Elle ne voulait point que ces immondes bestiole franchisse la cote pour se réfugier ailleurs et provoquer un carnage. Il était sure qu’ils devaient se rendre ailleurs pour détruire tout sur leur passage. Alors Élie fit tout en son pouvoir pour les en empêcher


La bataille faisait rage depuis maintenant un heure. Tout le monde suait a grosse goûte. Il faisait chaud et avec leur armure, cela ne les aidaient pas. C’était lourd et tant qua leur adversaire, ils n’avaient qu’une coquille qui les protégeait. Donc moins encombrant. Une chance pour les chevaliers qu’ils n’étaient pas très vite et intelligent. Leur lances étaient redoutable et précis mais n’avaient guère de réflexe.


Élie regarda autour d’elle pour voir si d’autre monde arrivait, car cela était épuisant d’être seulement trois. A trois, si cela continuait comme tel, a se rythme, ils n’y arriveront pas. Les chevalier étaient plus puissant, mais peu nombreux. Alors ils se fatiguait vite. Au lieu de combattre qu’un ennemi a la fois, ils en combattaient quatre.


A ce manque d’inattention, Élie fut transpercer par une lance. Elle lâcha un affreux crie de douleur. Elle regarda sa jambe qui commençait a saigner. Sa plaie était profonde et la lance s’y trouvait encore. Élie se releva avec peine ce qui lui fit lâcher une grimace. Elle leva son épée et tua la créature sur le coup. Elle enleva la lance puis soigna sa blessure.


Elsenia se tourna et vit une de ses soeurs arriver. C’était Elania. Élie était assez contente de la voir, mais il n’y avait qu’elle.


*Mais ou sont les autres, ou est Norwen?*


Elania était arriver, mais les autres n’étaient toujours pas la. Ce n’est pas a quatre qu’ils réussiront a les repousser. Ils avaient vraiment besoin d’aide. Puis Élie entendit un crie pas très loin d’elle. Elle se retourna subitement ayant une crainte puis vit Maximiliann arriver prêt d’elle, blesser.


- N’ayez crainte, damoiselle, je me bat pour votre cause. Mais, auriez-vous, très chère, l’amabilité de m’accorder une faveur, si cela est dans vos moyens. Comme vous ne le voyez sûrement pas, j’ai l’une de mes chevilles qui me fait incroyablement souffrir. Je ne peux me battre convenablement avec celle-ci qui fait des siennes. Si vous avez des craintes face à votre sûreté pendant que vous occuperiez de cette cheville, je puis vous dire que j’essaierai de vous couvrir. Si vous acceptez, j’aurai un dette envers vous, gente dame.


Les deuxièmes bataillons de l’ennemie approchait, alors elle avait le temps de le guérir. Mais elle le trouvait charmant de lui parler ainsi pendant une guerre. Elle lui sourie gentiment puis se pencha vers sa cheville. Tout en le guérissant elle lui adressa la parole.


-On ne sait pas vraiment parler encore, mais nommez moi Élie. Et il est sure que je serai toujours la pour vous aider en cas de besoin mon cher.


Élie se releva et lui fit un petit clin d’oeil. Elle se retourna et tua un insecte qui était derrière Max. Par la suite, elle retourna a ses vocations puis continua a les empêcher d’avancer plus loin. Elle courut dans le tas en lâchant un cri de guerre puis se mit a combattre cinq adversaire en même temps. Même chose pour ses confrères. Le temps commençait a se faire savoir. Ils étaient tous épuiser et personne ne venait encore les aider. Élie commençait a rager.


Un long moment passa encore. Élie regarda les autres pour voir s’ils allaient bien. Mais encore une fois, ce manque d’inattention le prit par surprise. Un des insectes s’en glisser en douce derrière elle puis avec toute sa force, planta sa lance entre ses deux omoplates. Élie lacha un cri et voyant noir, et affaiblie, elle s’écroula au sol. Elle n’était pas morte, ni inconsciente, mais plus aucune force s’y trouvait. Elle gisait sur le sol qui commençait a être rouge, mouiller de son sang qui coulait.........

Élania continuait de se battre avec toute la force qui lui restait. C’était plus sa nature orgueilleuse qui la poussait à faire taire la douleur qui naissait dans ses bras. De plus, sous son armure déjà lourde et douloureuse sur les épaules, sa cicatrice lui faisait extrêmement mal. Elle avait l’impression qu’un morceau de métal chauffé à blanc s’était glissé sur sa cuisse, provoquant une brûlure affreusement déchirante sur sa jambe. Elle n’avait jamais ressentit de telles souffrance, puisque d’habitude, le nombre de Chevalier était beaucoup plus élevé, elle avait moins à se battre.

Elle décida alors de se battre d’une tout autre façon. Elle regarda venir un guerrier vers elle et avec son pouvoir de lévitation, lui projeta une quelconque branche d’arbre dans les yeux. Le scarabée, étonné par cette nouvelle attaque, recula de quelques centimètres, mais il se remit rapidement de son effet de surprise et Élania n’eut pas le temps que l’attaquer. Elle retint sa repiration de façon brève se respiration et la rage guerrière qu’elle aimait tant se manifesta.

Elle adorait quand son cœur de guerrière n’était plus en harmonie avec son cerveau. Dans ces cas-là, elle était une véritable machine à tuer, et nul adversaire ne pouvait lui résister. Pourtant, quand elle était comme en transe, elle était vulnérable vers l’arrière, ne se concentrant que pour tuer les adversaires qui se dressaient devant elle. Un insecte dut le remarquer, car une autre douleur vint s’immiscer dans son corps. Une flaque rouge vint mouiller sa hanche, mais la jeune fille n’y prêta pas attention. Plus tard, par contre, lorsqu’elle reviendrait à la réalité, elle souffrirait atrocement. Elle se retourna vivement et tua de deux coups secs et précis l’insecte qui lui causerait ce mal. Ce dernier rejoint ses camarades morts au combat, dans une plainte étouffée et noyé dans son propre sang noir et visqueux.

Mais Élania n’eut pas le temps de regarder la perte de son adversaire. Elle se retourna juste à temps pour éviter de se faire sectionner le bras par un des guerriers. Rageuse, elle tenta de lui couper le bras, mais cet ennemi était plus agile que l’autre. Elle abattit un coup de pied violent entre les mandibules cliquetantes de l’insecte, qui ne fut qu’ébranlée par cet affront. Ces mâchoires se mirent à cliqueter plus bruyamment et posa lourdement un pied devant lui, forçant la jeune fille à reculer.

Elle regarda son adversaire droit dans ses petits yeux noirs. On aurait dit que des flammes ardentes y brûlaient. Elle fut soudainement ramené à la réalité. Une plainte sourde se fit entendre sur le champ de bataille et Élania tomba sur le dos, son épée maintenue droit devant elle, embrochant quiconque tenterait de l’approcher. La même insecte s’approcha d’elle, de son pas lourd et traînant et du bout de sa lance, tenta de projeter l’épée d’Élania sur le côté, mais cette dernière, tous les muscles déployés tint bon à l’attaque. D’un cri rageur, elle se releva vivement et trancha le bras droit de son opposant, puis l’autre, du même coup d’épée rapide.

Au loin, Elsenia soignait un jeune homme avec qui elle n'avait pas vraiment parlé. Même aux périls de leurs vies, sa soeur d'arme soignait les blessés. Elle décida que si quelqun devait aussi avoir des soins, elle aiderait à son bon rétablissement.

*Mais où sont les autres?*

En effet, il n'était que quatre et avaient beaucoup d'insectes à abbatre et ne réussirait certainement pas en si petit nombre. Elle soupira puis se remit à tuer d'autres insectes.

Elle sentit soudainement et plus douloureusement l’entaille qui ceignait sa hanche. Elle eu comme un regain d’énergie et soigna sa propre plaie. En plein milieu de son travail, elle entendit le cri de douleur de sa sœur d’armes Elsenia. Oubliant sa propre souffrance, elle s’élanca vers sa sœur agonisante. Elle tua quelque insecte au passage puis se jeta à genou sur le sol, juste après avoir tué le meurtrier de sa compatriote.

Elle lui caressa le front en murmurant de douce parole, puis se rendit compte de l’état du sol autours d’elle. Elle se ressaisit et avec soin, la retourna doucement su le côté, sa tête sur ses genoux, prenant garde à ne pas lui faire plus de mal. Un insecte qui remarqua ses deux proies vulnérables tenta de les embrocher, mais avec rapidité, Élania sortit les deux dagues qu’elle cachaient dans ses bottes et à l’aide de ses pouvoirs de lévitation, se concentra et envoya les deux petites armes se loger dans les parties antérieur du bras de l’insecte.

Élania se concentra à nouveau sur sa sœur d’arme. Une puissante lumière blanche jaillit de ses paumes et elle tenta de refermer la plaie. Elle était très profonde et plusieurs artères avaient été sectionnées. Mais elle se concentra et tenta du mieux qu’elle put de soigner la plaie. La vie d’Elsenia reposait entre sa propre volonté de se battre pour sauver sa vie et entre celle des Dieu. Justement, elle leur adressa une brève prière, les suppliant de ne pas reprendre sa consœur tout de suite. Elle l’embrassa sur le front et attendit patiemment qu’elle se réveille, son épée prête à défendre leurs vies ave le peu de force qui lui restait.

Maximiliann vit soudain la jeune ‘damoiselle’, comme il l’avait surnommé ne sachant pas son nom, se tourner vers lui et lui sourire. Ce geste semblait bien positif face à lui. Et effectivement, elle se penchait pour aller le soigner. Les ennemis de nos ennemis sont nos amis, non? Cela elle l’avait copris avec son petit monologue bien poli. En fait, le vrai Maximiliann ne l’aurait certainement pas demandé cela ainsi, mais cela aurait été tout aussi poli. Mais puisque l’esprit de l’homme, non pas homme mais plutôt Elfe, avait une autre façon de parler, qui faisait plus noble, plus... race des Elfes. C’était le parler que ce cher Mael avait reçu en enseignement et qu’il avait toujours gardé. Bien qu’après son bannissement, il était condamné à errer sur la terre des hommes, de cela il n’avait pas perdu cette faculté de parler en vrai bourgeois.

La chaleur qui s’infiltra de son talon jusqu’au milieu de son tibia lui procurait du très grand bien-être. Un fardeau de moins, quoi. Il regarda aux alentours, et miraculeusement, aucun n’insecte venait proche d’eux.

‘Comme si nous sommes arrivés à bout de la première cargaison d’insectes... Ce que je ne crois guère être le cas. N’est-ce pas? J’sais pas...mais Mael...tu ne pourrais pas éternuer des fois? J’ai hâte de retrouver la mobilité de mon corps’

Faisant un geste théâtrale de la main, qui consistait à lever la main ouverte à la hauteur des yeux, puis tournant sec le pouce de l’intérieur vers l’extérieur, faisant chavirer la paume, qui, maintenant, se retrouvait face à son visage. Et lui répondit en même temps :

*Soit! Cela ne me dérange guère... Et puis... ils vont trouver mes manières plutôt étranges...enfin...les vôtres.*

À l’intérieur, Max hocha la tête de haut en bas, affirmativement.

‘Surtout avec ce geste que tu viens de faire en l’air. Et...je t’ai déjà dis que tu peux me tutoyer? Je me sens comme un étranger lorsque que tu le fais... -_- ’

*Maintes et maintes fois...mais pour moi le vouvoiement n’est qu’une marque de respect, ne le prenez pas personnel... *

Soupirant, Maximiliann laissa quelque peu le cas ‘vouvoiement’ de côté, et s’en fut pareil pour Mael, car le jeune chevalier commença à lui parler.

[color:490b=fuchsia:490b]- On ne sait pas vraiment parler encore, mais nommez moi Élie. Et il est sûr que je serai toujours là pour vous aider en cas de besoin, mon cher.

[cololr=violet]Maximiliann-Mael, baissant la tête pour qu’elle voie son visage et non son dessous de menton, étira ses lèvres pour lui sourire.

- Je ne me souviens point de votre visage. Donc j’en viens à croire que nous n’eûmes guère eu la chance de nous parler auparavant. Dans mon cas, je me nomme Ma-ximiliann. Maximiliann d’Émeraude. Mais l’heure n’est plus à la présentation, gente damoiselle. Et je vous remercie de votre gentillesse.

Il continuait à parler, et ce, même lorsqu’elle se levait pour revenir à sa hauteur. Il lui fit un geste de la tête. Et justement, dès qu’il eut fini de le faire, elle lui adressa un clin d’œil, et puis abattit un insecte venant derrière lui, qu’il n’avait ni entendu ni vu. Il se retourna brusquement, sous l’effet de la surprise, pour voir la bête tomber. Le sable se souleva et vint chatouiller les narines de notre cher comparse. Celui-ci éternua d’un bon coup, ayant le réflexe de se pencher vers l’avant, et se frotta le nez de son revers de main, en se relevant. Maximiliann, qui était revenu à son corps, on ne sait par quel miracle, lui sourit.

Regardant d’un côté et de l’autre, il aperçut que ‘Elie’ reprenait sa place au combat. Il remarqua un arc perché à son dos, et il lui vint l’idée de lui demander de lui prêter, mais sa main lui rappela qu’il n’avait aucune possibilité là-dessus. Elle lui faisait encore mal mais ce n’était que secondaire pour lui, voilà un peu pourquoi il n’avait pas demandé à l’Elfe de la soigner. Aussi parce qu’il fallait que tous ménagent leur force. Et puis, il avait sa main gauche, moins habile, mais tout de même utile.

Soupirant, il prit, encore, le temps de regarder les environs, constatant leur position. Vrai qu’ils n’étaient pas beaucoup et c’était peut-être un vrai miracle qu’ils soient encore en état de combattre. Mais d’un autre côté, il n’était pas si peu. Bon nombre était déjà arrivé (et là je me permet de vous rappeler qu’on est peut-être seulement 4 joueur à être là, mais qu’il y a des NPC qu’il faut tenir compte...car se défendre contre une légion d’insecte à seulement quatre personne...ça retient du miracle...), mais il manquait la majeur partie : Norwen et ses autres chevaliers. Les troupes...

Puis, les évènements se succédèrent les uns après les autres. Il se mêla dans la foulé, ayant sorti ses dagues à la lame vaguée, et se défendait tant bien que mal à sectionner les intérieurs de coudes. Mais jamais il s’attaquait à plus de deux à la fois, ne voulant pas se trouver en trop mauvaise posture et ni encerclé par l’ennemi. Il n’aimait pas tellement le bruit de à chair couper, ni son odeur. La couleur de leur, qui .tait d’un noir encre, giclait sur ses propres vêtements. Lui, qui ne s’attendait pas à aller faire la guerre cette même journée, se retrouvait pas très équipé pour parer les quelques attaques qui dévieraient sur son corps. Bien qu’on puisse dire qu’il est résistant, sa peau laissait des marques apparentes d’un combat. Quoique, sans le savoir, son pouvoir de guérison faisait effet. De cette façon, les blessures, qui auraient pu, avec le temps, le vider de son sang s’il n’aurait pas eu ce pouvoir, se coagulaient bien plus rapidement.

Lorsqu’un long cri plaintif vint trouver une place dans son oreille, il se retourna vivement, vers, il pensait, que le son venait. Mais ne vit pas grand-chose. S’étant un peu trop éloigné d’Elsenia pendant qu’il se perdait dans la combat contre les insectes, il avait bien entendit son cri, mais ne pouvait l’apercevoir, et donc, ne put savoir qu’il s’agissait vraiment d’elle. Tout ce qu’il savait s’était qu’un humain, par la voix une femme, était peut-être en train de se vider de son sang sans qu’il puisse y remédier. Il essaya de se frayer un chemin, mais vient à la conclusion que du haut de sa grandeur n’était pas assez pour s’orienter. Puisque les insectes gagnaient sur le terrain de sa grandeur, cela lui bloquait pratiquement toute sa vue.

Il s’était alors bien arrêté en plein milieu d’insectes, qui dès lors, avait l’Air d’avoir compris ce cri d’agoni et voulurent aller vers cette direction, oubliant quelque peu ce cher Maximiliann. Qui, lui, en profita pour respirer un peu. Comme exercice de conditionnement physique, cela était parfait! Car c’était plus qu’épuisant. La sueur ruisselait sur son front. La pensée lui vint qu’une bonne masse d’eau lui ferait du bien. Et comme il soupirait, un des insectes fut de ce même avis. Prenant le bout de sa lance entre ses pattes, il lui assena un bon coup de bâton dans le ventre, le faisant plier en deux. Et gracieuseté de la maison, il lui donna un coup de pied dans le nez. Ce qui fit qu’il pirouetta vers l’arrière sur plusieurs mètre, car le coléoptère qui se trouvait en avant de lui n’était dans les plus petits.

Celui-ci le suivit justement, comme s’il n’avait pas pris qu’il prenne un minute de repos, après ce cri qui avait dressé les cheveux de l’humain sur sa nuque, laissant parcourir un frisson. Tandis, « l’humain » se remettait de sa chute. Se releva avec peine, ayant ses muscles quelque peu courbaturés par l’effort fourni pendant ses heures de combat, il toussa du sable, jusqu’à ce qu’un liquide chaud et vermeil vint bordé ses lèvres. Il cracha le sang qu’il lui montait à la bouche par le coup de pied, ou plutôt de patte qu’on lui avait donné. Lorsqu’il avait reçu ce coup, il avait pu entendre clairement quelques voix étouffer un cri de surprise tandis que Kyliann criait son nom à plein poumon.

Respirant difficilement, il chercha ses deux dagues qu’il avait dans ses mains du regard, puisqu’il les avait laissé tomber sous le coup de l’impact. Il savait l’insecte proche, pratiquement un mètre les séparait, si non un peu plus. Mais il fallait se dépêcher.

Levant les yeux, il fixa l’insecte, reculant en araignée; c’est-à-dire qu’il est en position assise, jambes repliées et mains au même niveau que ses épaules, forçant de ses deux membres pour soulever son bassin et se déplacer vers l’arrière, fixant toujours vers l’avant. L’inconvénient de ses chose était qu’il ne voyait pas du tout où est-ce qu’il s’en allait, mais pouvait savoir les moindres mouvements de l’ennemi d’en avant.

Ce n’est que lorsqu’il sentit quelque d’humide et froid lui toucher la main et le poignet qu’il risqua un regard vers l’arrière. La vue le prit au dépourvue : il s’était rendu aussi proche que cela de la source d’eau en combattant sans jamais s’en rendre compte. Ramenant son regard sur l’insecte d’en avant, il remarqua que plusieurs l’avaient rejoins. La peur le gagna. Il faisait mentalement l’évaluation de sa position : il n’avait ni arme pour le défendre ni armure pour amortir les chocs de leurs armes. Il ne savait en aucun cas s’il était bon esquiveur et l’heure n’était pas à l’essaie. Du moins, son mode ‘survie’ se mit en marche.

Il n’avait jamais détesté l’eau, même que s’était l’élément qu’il aimait le plus. Pas qu’il trouvait que les pluies étaient des plus agréables, mais la proximité d’un cours d’eau, rivières ou lacs l’avait toujours un peu rassuré. Et c’était bien le cas dans cette situation. IL ne pouvait vraiment essayer de se frayer un chemin entre eux... il était plutôt submergé d’insectes.

Il n’avait jamais vraiment compris comment il avait fait pour rendre à ce point... mais là n’était pas la question.

Il prit donc la fuite... enfin plutôt le chemin que lui offrait l’eau de la mer. Courant le plus vite qu’il le pouvait face à cette masse bleu. Et dès que l’eau fut assez creuse il commença à nager le plus loin possible de la rive. S’il en avait la force, il attendrait là, en sûreté, semblait-il, dans l’eau.
Mais, il n’avait jamais nagé dans une masse aussi grande. Il était plutôt habitué au oasis pas très profonde. Il eut quelques difficultés à surmonter les vagues qui lui fonçaient dessus, lui faisant boire une tasse d’eau. Et à son grand soulagement, il vit que les insectes arrêtèrent leur poursuite sur le rivage. Le laissant se noyer dans les vagues que lui offraient la mer.

Mais cela ne prit pas grand temps avant que Maximiliann se sente terriblement fatigué, et ses membres commencèrent à se faire lourd, sans compter ses vêtements et choses qu’il gardait en tout temps sur lui qui le faisaient plutôt caler vers les profondeurs bleues.

Maximiliann se situait justement à côté d’un navire, qui en savait s’il était une cargaison d’insectes ou plutôt des pêcheurs de Zénor ou d’un autre pays côtier venus les aider. Enfin, Maximiliann qui commençait à voir la noyade proche se rapprocha de ce navire. S’accrochant aux cordages qui tombaient sur le côté de la coque.

Donc Maximiliann escalada sur la paroi de bois et vint se tenir sur le rebord du navire. Il jeta un coup d’œil sur le navire, sans y monter complètement, restant accrocher aux cordages à l’extérieur de la coque, et le dessus de tête surmontée pour fouiner. Ou plutôt voir de quel côté le ou les maîtres du navires étaient.

Mais malheureusement, il ne passa pas inaperçu, comme il le voulait. Quelque l’entrevit, et il ne se gêna pas pour le prendre par les cheveux et l’amener sur le pont. L’interpellant d’un ‘HEY TOI!’ bruyant qui attira les regards curieux. L’homme le lâcha aussi soudainement et aussi brusquement qu’il l’avait fait la première fois. Maximiliann arriva la face la première sur le bois qui servait de plancher.

- Que fais-tu ici?! Espèce d’espion!

Maximiliann se releva avec peine, étant quelque peu exténué de sa baignade et de ses combats. Il ouvrit la bouche pour répliquer qu’il n’était pas espion, mais une quinte de toux vint lui gratter la gorge et du sang, ainsi que quelques grains de sable, ressortirent de sa bouche.

- Réponds-moi! Espèce de Vaurien!

L’homme se rapprochait dangereusement de lui et Maximiliann ne trouvait la force que de reculer, tout en restant l’arrière-train au sol.

La jeune femme continuait a combattre comme un vrai furie. Son épée était pleine de sang noir ainsi que ses vêtement et elle en avait même un peu sur ses mains nues.Malgrer ses bras qui lui fesaient attrocement mal elle continuait a faire des arcs de cercle avec son épée, d'esquiver, de frapper et de faire tout ce qui était poccible de faire pour éliminer cet ennemis. A cause des coups qu'elle n'avait su éviter ses bras, ses jambes ainsi que la majeure partie de son corps avait des coupures ou des éraflures. Son détestait savoir son sang mêler a celui des insect et elle avait peur justement que celui de la vermine s'infiltre dans son copr. Qui sais ce qui pourrait se passer.

Elle perdit cette mauvaise pensée au moment ou elle entendit un cri. Elle sentit alors une douleur atroce dans son dos. Puis elle reconnut finalement le cri.Elsenia. Il se passait quelque chose avec sa soeur d'arme et elle semblait souffrir attrocement. Elle essaya de la trouver mais ne vit pas grand chose. Elle apperçut alors Élania, une autre de ses soeur d'arme,accourir vers celle qui était blessé. Leanie se dit alors que Elsenia était entre de bonne mains mais comment allaient-elles se défendre si une était coucher sur le sol, se vidant de son sans, et l'autre qui la soignait?

La demi-elfe redoubla alors d'effort. Elle devait se rendre a elles et leurs porter secours, essayer d'Aider Élania qui était tout seul à les défendre, elle et Elsenia. La jeune femme ne portait pas attention a la plaie béante qui se trouvait sur sa cuisse, ni a l'entaille qui la fesait affreusement souffrir sur son bras droit. Elle serrait la garde de son épée à deux mains, et de temps en temps la lachait d'une maisn pour lancer un rayon incendiaire sur une des bestioles qu'elle trouvait un peu trop dangereuse pour elle. Son visage qui était a l'habitude si calme et souriant avait prit une toute nouvelle apparence. Premièrement ,le fait que du sang d'insect s'y trouve ne la rendait guère angélique.De plus,l'expression qui s'y trouvait fesait parfois reculer certaine de ces bestioles répugante. La haine déformait ses trait qui ressemblait d'avantage a ceux d'une gamine habituellement.

Après un moment qui semblait avoir durée une éterniter, elle se rendit finalement a ses soeur d'armes. Elle regarda l'ampleur des dommages et constata que Elsenia était aussi pâle qu'un mort. Élania était a ses côtés et semblait prête a attaquer si jamais un de ces satané insect les approchait. Leanie fit de son mieux pour les garder a distances mais ce n'était pas facile. Elle chercha alors Maximiliann et ne le trouva nul part. Elle sonda les alentours mais fut déconcentrer par un insect et n'eu pas le temps de le trouver.

*Pourvue qui ne lui soit rien arriver de grave*

Elle voyait déja l'état de ses soeurs d'armes alors si jamais il était arriver quelque chose au jeune homme qu'elle ne connaissait à peine,mais de qui elle avait,pour l'instant, la responssabilité, elle ne se le pardonnerais jamais.

Leanie voyait que les insects se fesaient de plus en plus nombreux autours d'eux et le cercle semblait se rapetisser petit à petit. La jeune guerrière farouche ne savait plus vraiment quoi faire. Puis elle sentit une douce brise s'engoufrer dans ses cheveux et pu sentir l'odeur de la mer.Elle ferma les yeux pendant un fraction de seconde puis les rouvrit comme si quelqu'un venait de la pincer. Les insects avaient peur de l'eau.

La demi-elfe se concentra alors et on pu sentir l'énergie circuler autours d'elle. Elle visualisa ce qu'elle voulait faire et ferma les yeux en espérant que Élania s'occupait de ses arrières. Puis Une espèce de barrière d'eau se forma alors autours des trois jeunes femmes. Leanie devait rester concentrer et surtout ne pas en faire trop car ses forces diminuait très vite. Non seulement son combat l'avait épuiser mais de plus cette barrière ne se fesait pas sans efforts. Elle aurait voulut transformer l'esu en glace pour que le barage tienne sans elle mais elle n'Avait pas encore assez approfondie cette technique.

Elle relacha alors pendant un instant sa concentration et l'eau retomba sur le sol. Les insect attaquèrent puis Leanie prit cet insant pour demander de l'aide a son chef.

Je t'en prit Norwen, viens vite on a besoin de toi.

Elle combatit comme sa pendant un moment, puis quand elle sentait que sa devenait trop dangereux ou que ses forces la quittait, elle relevait une barrière d'eau,empechant les insects d'attaquer. Quelques uns s'y risquait mais ils n'avaient pas le temps de traverser le rideau qu'ils étaient morts. De temps en temps elle en faisait reculer quelques uns en leurs lançant des projectiles mais rien de bien puissant. Elle ne pourrait pas utiliser de cette stratégie bien longtemps par contre parce sinon toute son énergie s'en irait. Alors elle continua, en espérant que Norwen puisse arriver bientot.


HJ: jai fait de mon meiux, mais jetait en manque dimagination

Le regard vague, Norwen regarda Maximillian s’enfuir à la suite des autres avec l’un de leurs chevaux. Il n’en fit pas de cas, le remarquant à peine. Des choses bien plus importantes qu’un homme désirant devenir chevalier se tramait à l’instant sur Enkidiev. Conscient que Leannie avait les choses en main, il rebroussa chemin et retourna dans le hall du château. Là il marqua une pause. Devait-il d’abord se rendre à sa chambre pour récupèrer le sac d’armes préparé un peu plutôt ou passer à la bibliothèque dans le but d’acquérir de l’information? Le temps étant compté, il opta pour la première option….


Il y avait tant d’heures que Norwen était plongé dans ses livres qu’il avait les yeux rouges de fatigues. Soudain, une déchirante douleur s’abbatit sur lui. Ce n’était pas la sienne, mais il la ressentait vivement. Ses sœurs d’armes étaient en train de se faire massacrer. Bondissant sur ses pieds, il se réveilla enfin.

*Je devrais pas être ici…Je devrais être sur le champs de bataille avec eux! Je ne suis qu’un piètre chef si je les laisse ainsi se faire massacrer…*

Je t'en prit Norwen, viens vite on a besoin de toi.

La voie de Leannie s’infiltra dans son esprit comme un poignard dans son dos. Oui, il n’était qu’un bien mauvais chef. Il devait se rattrapper. Abandonner son livre sur la table,saisissant d’une main son sac le chef des chevaliers d’Émeraude oublia sa fatigue et fonça hors de la bibliothèque…



Quand il arriva enfin sur le champs de bataille, Norwen fut saisit d’effroie. Il y avait du sang, beaucoup de sang! Et tant d’insecte qu’il n’arrivait pas à les compter. D’un regard observateur, il parcourut les lieux cherchant les autres. Aucun n’était mort, il en était certain. Si le cas aurait été il l’aurait sûrement ressentit…

Dans un coin, il apperçut Leannie qui repoussait avec ardeur les insectes qui tentaient de l’approcher. Elle ne semblait guère être gravement blessée, mais plutôt épuisée par le combat. Désireux de lui venir en aide pour se rattrapper, il fonça vers elle épée brandit droit devant. Sur son chemin, il faucha plusieurs insectes sa rage contre lui même et contre l’ennemi lui donnant la force de tout faire. Chemin faisant, il lança un appel à Elsenia et Elania.

Elsenia! Elania! Où êtes-vous? Vous allez bien? J’ai ressentit de nombreuses douleurs…Que c’est-il passé?

Il atteignit finalement celle à qui il avait laissé le commandement. S’assurant de rester dos à elle afin de ne pas se faire attaquer par surprise, il dit :

-Pas trop amochée? Tu peux encore survivre?

Il laissa échapper un rire plus ou moins nerveux et ajouta :

-Que c’est-il passé? Pourquoi un tel massacre?


H.J.Je pensais pas arriver, mais voilà j'ai posté!

[j'espère me faire pardonner et pour mon retard et pour ma longueur de texte ^^']

Maximiliann n’eut pas vraiment le temps de réfléchir à quoi dire. On le traitait d’espion. Espion de qui? Il espérait qu’il ne le prenait pas pour un être de cet autre clan. Si non, il avait de gros problème... Et comment le prouver? Cela était une autre paire de manches. Finissant sa quinte de toux, il prit plus facilement la parole.

- J-je ne suis pas un espion!

*À moins qu’ils soient avec les insectes... dans ce cas, on est mal barré.... Car s’il faut en plus de ces bestioles sanguinaires que de humains se soient alliés...ouf*

Il finit sa fin de pensée avec un soupir qu’il ne cacha point. Il enchaîna de suite.

- Je suis un combattant!

L’homme, ainsi que quelques autres qui l’avaient rejoins par curiosité, ne réagirent point comme il l’entendait. Au son de sa phrase, ils avaient été un peu surpris qu’il clame haut et fort son innocence, quoique, tous les coupables faisaient de même. Mais dès qu’ils entendirent le restent de sa défense, ils partirent tous d’un rire gras. Cela semblait les amuser, bien que la situation n’était pas à rigoler. Maximiliann se renfrogna face à cette moquerie pleinement ouverte à son égard.

‘Quoi que, je les comprends! Tu n’as pas l’apparence d’un guerrier! HAHA!’ lui répliqua Dagann.

*Quoi?! J’ai bien plus l’âme d’un guerrier que toi...espèce de mauviette! Qui s’enfuit la queue entre les jambes en TOUT temps!*

Mais il ne put dire davantage, car l’homme se rapprochait maintenant de lui, dangereusement : il avait arrêté de rire et son expression faciale était menaçante.

- Tu nous prends pour qui? Pas parce qu’on est des gens qui voyagent sur bateau qu’on est pas plus intelligent qu’un vulgaire homme comme toi! Tu n’as même pas d’arme sur toi! lâcha le même homme qui l’avait amené violemment sur le navire

Plus il s’avançait, plus Maximiliann devait lever la tête plus haut pour le garder dans son champ de vision.

- Tu viens d’où? le questionna un autre.

- D’Enkidiev! Parandar! Vous voulez que je vienne d’où?!, fit-il avec un levé de mains dans les airs, pour les laisser retomber, comme si cela était évident.

Et cela y était, il était complètement énervé, et son ton de voix exprimait pleinement cet énervement. Mais cela ne prit pas longtemps avant que l’homme réplique.

- Tu crois qu’on va te croire? Avec tes cheveux... je ne sais quelle couleur c’est! Nous prends pas pour des idiots!

Et justement, d’autres acquiesçaient derrière son dos, croisant les bras. Mais Miliann avait la tête ailleurs. Juste après avoir dit d’où est-ce qu’il venait, il avait remarqué qu’il s’était tout simplement vendu! Et que s’il avait été sur un navire ennemi, ils n’auraient pas pris la peine de le questionner encore comme ils le faisaient, mais l’aurait tout de suite tué, car une gens d’Enkidiev de moins était une bonne chose, non? Donc, ils étaient de son côté... ils se battaient pour la même cause que la sienne. Donc tout allait parfaitement bien... du moins jusqu’à ce qu’il puisse convaincre ses idiots qu’il était des leurs. Mais d’un autre côté, un fardeau de moins s’effaçait de sur ses épaules.

Mais ils ne purent continuer à baragouiner de la sorte, car un homme les avait rejoins. Et il avait pris tout aussitôt la parole.

- Kzvan, t’aurais pas de quoi à faire… Je vais m’occuper de lui….

]Max ne sut si cela était une bonne ou mauvaise chose que cet homme reprenne le discours là où l’autre homme, dénommé Kzvan, l’avait laissé. Tournant la tête vers l’autre homme, il ne prit aucunement la peine de le détailler, car le ‘Kzvan’ en face de lui semblait toujours plus menaçant. Lorsque celui-ci lui tourna le dos pour se remettre à son travail, Miliann se sentit un peu moins tendu. Les quelques autres qui s’étaient mis le nez là par curiosité s’en allèrent aussi. Maximiliann put en déduire que l’homme qui se situait maintenant en face de lui était assez influent pour que ces hommes s’inclinent aussi facilement à ses ordres. Il devait être une sorte de capitaine de ce bateau.

Mais Maximiliann ne put rester dans ses pensées trop longtemps, car l’homme prenait encore la parole, mais pour s’adresser à lui, cette fois-ci.

- Juste à te regarder, j’ai comme l’impression que tu n’es pas un espion, enfin, si tu en es un… Tu n’as pas choisit ta place mon petit… Mais comme je ne juge personne avant d’en connaître plus sur elle, je vais faire apte d’ignorance et te dire que ‘Eh bien’… t’as décidé de monter ici, maintenant, tu n’as pas vraiment le choix d’y rester… J’espère que tu sais te battre parce que sérieusement si tu ne pensais pas le faire aujourd’hui, eh bien, tu te trompes… Regarde de l’autre côté du navire…

Maximiliann le regarda avec un regard quelque peu sous-entendant lorsqu’il prononça ces mots : ‘J’espère que tu sais te battre...’, qu’est-ce qu’ils avaient tous à vouloir faire croire qu’il ne savait pas se battre! Avait-il l’air si petit et chétif? Avait-il l’air si faible que cela? Il serra la mâchoire pour ne pas répliquer une insulte acerbe à cet homme. Et de toute façon, tout le monde a le choix. S’il voulait s’enfuir de cette place il trouverait bien une solution.

Mais sa dernière phrase le fit brusquement lever la tête, qu’il avait tout aussi subitement baissée lorsqu’il sombrait dans ses noires pensées, et le regardait présentement avec un air incrédule. Ses pensées s’étaient tout aussitôt envolées, et il se levait, ne lâchant pas une seconde le visage de cet étranger. Ce n’est que lorsqu’il fut entièrement en équilibre sur ses jambes qu’il détourna lentement son regard pour constater le fait que l’homme venait de lui dire.

Il en resta figé.

Des bouts de bois étaient tombés sur les remparts de ce bateau leur indiquant que le vaisseau marin était pris d’assaut et que les insectes essayaient de parvenir à ce bateau. Mais ce ne fut pas cela qui lui glaçait le sang. C’était plutôt les êtres immondes qui solidifiaient ces ‘ponts’ improvisés. La main qui se déposa sur son épaule, le fit sursauter et il se retourna vivement. Mais l’image de sa défense était quelque peu pitoyable : voulant se retourner en empoignant ses dagues, qui était un pur réflexe lorsque quelqu’un qui ne connaissait pas le touchait, il ne put les sortir. Puisque celles-ci, il les avait échappées sur le sable avant de plonger, et qu’elles y étaient restées. Donc, ce n’était qu’en cherchant dans toute ses poches qu’il faisait face au marin.

Après s’être rendu compte de ce fait, il arrêta de fouiller, il leva les yeux et les posa sur l’homme en face de lui qui avait toujours sa main poser sur son épaule. Ce n’est qu’alors qui lui montra, calmement, les insectes de l’autre côté.

Maximiliann obéit et regarda, une fois de plus, les insectes. Ce n’est qu’à ce moment qu’il remarqua qu’ils n’étaient pas comme ceux sur la plage. Ils avaient l’air plus gros, plus imposant. Plus dangereux et menaçant aussi. Ceci fit froncer les sourcils de Max, lâchant un petit grognement de mécontentement. L’homme enchaîna donc avec les présentations.

- Je me nomme Amir, content de vous avoir sur mon navire inconnu, au plaisir de mieux vous connaître à la suite de ce petit affrontement, si vous voulez bien m’excuser, je dois y aller…

Maximiliann hocha la tête de haut en bas.

N’oubliez pas… Sortez votre épée, elle va vous être utile comme vous ressemblez à un humain et que, eh bien… Désolé de vous apprendre, qu’ils sont là pour nous achever…

Maximiliann était énervé. Le prenaient-ils tous pour un gamin sans expérience? Pourtant, il lui semblait qu’il ne ressemblait pas cela. Il ne put, alors, contenir les répliques acerbes qu’il se retenait de dire depuis le début de l’entretien.

- Ne me prenez pas pour un idiot! Je ne suis pas si inculte que c’en a l’air. Et puis j’espère que je ressemble à un humain, puisque j’en suis un! Et puis OUI, je sais me battre! Et je me nomme Maximiliann, et bientôt d’Émeraude! Car je suis maintenant postulant comme chevalier d’Émeraude! Alors arrêtez de me prendre pour un simple gamin, s’écria-t-il.

Il avait dit cela d’un seul souffle, sans reprendre sa respiration. Sa couleur faciale avait tourné au rouge, rouge de colère. Pas nécessairement que c’était seulement de la faute d’Amir, mais il n’avait que répéter les mots qu’on ne cessait de lui dire depuis ce jour même. Et cela, il n’en pouvait plus.

Haletant, il garda sa mâchoire serrée, évitant de dire le reste de sa pensée.

‘Max... ne te choque pas! Comment peux-tu vraiment croire que c’est ça qu’il pense?’

*T’avais qu’à lire entre les lignes... c’est évident! Et qu’est-ce qu’ils ont tous à dire que je incompétent dès le premier regard ?!*

‘Calme-toi, Maximiliann. Il ne pensait forcément pas tout ce que tu viens de dire.’

*Il en pensait un bout, alors? C’est ce que t’es en train de me dire? Pfffh, en fait je me fous de ce qu’il pense! Je me débrouillerai bien tout seul...*

Et comme le marin s’en allait, tout bonnement, s’occuper ailleurs. Maximiliann lui jeta un regard noir. Il plongea ses main dans les poches de son pantalon tout sale, plein de sable et tâché de noir encre. Il toucha, de sa main droite, le métal froid d’un couteau à lancer. Seule arme qui lui restait en sa possession. Voyant, rouge, il le prit dans ses mains, et puisque Amir lui tournait le dos présentement, il voulut garder son attention, parce que selon lui, il n’en avait pas finit avec celui-ci.

Il le lança avec une précision hors paire. Le couteau passa donc qu’à quelques centimètres de l’oreille gauche de l’homme et alla se planter dans le mât du bateau qui se trouvait en avant de quelques mètres et quelques mètres à gauche. Dit autrement, le mât était en diagonale de celui-ci.

Il avait agis quelque peu impulsivement, voulant attirer son attention. Il ne sut s’il s’était retourné ou pas, mais il lui lança ces mots :

- Je ne suis point méchant, car j’aurais bien pu vous tuer avec ce couteau. Mais je n’aime pas que l’on se fiche de moi. Je voudrais bien vous aider, mais j’aimerais qu’on arrête de me sous-estimer.

‘MAX!’, s’écrièrent tous dans sa tête, mais il ne fit que les ignorer.

- Malheureusement, c’était ma dernière arme qui me restait. Et je ne sais point me battre avec une épée, je préfère de loin lancer. Et les bêtes que vous vous préparer à affronter sont plus dangereuses que celles qui se trouvent au sol.

Il le regarda ensuite s’éloigner pour venir en aide à un de ses marins. Pendant ce temps, tranquillement, il alla cherche son petit couteau qui s’était enfoncé de quelques centimètres dans le bois du mât. Avec difficulté, il le libéra de cette colonne de bois. Mais il fut tout aussitôt rejoins par l’un des hommes qui s’était attardé à le voir dès son entrer fracassante sur le pont du navire.

D’un regard las, Maximiliann posa son regard sur lui, le questionnant silencieusement. L’homme ne se le fit pas dire deux fois. Et il le prit par les épaules et l’accota durement sur le mât, tout en lui chuchotant :

- Si tu t’en reprends encore à notre chef, je te garantis que tu mourras de ma main, lui intima-t-il.

L’absence de réaction de Maximiliann le fit énervé et le plaqua, une fois de plus, durement contre le mât.

- Tu m’as compris?!

Maximiliann, quelque peu sonné ne répondit pas sur coup, mais après quelques instants il plonga ses iris dans celles du marin et lui répliqua sur un ton froid :

- Si tu crois que je veuille vraiment assassiner ton chef, libre à toi. Mais tu te mets le doigt dans l’œil jusqu’au coude. Tu es carrément dans le faux, et ce serait apprécier que tu me lâches, si tu tiens à ta vie ...

Et comme s’il était quelque peu surpris de sa réplique, il relâcha brièvement sa prise. Maximiliann n’attendit pas plus et lança de nouveau son couteau, qui passa à côté de la tête de ce cher homme, et alla se planter dans l’œil d’un insecte qui poussa un cri de souffrance. Ce cri même fit brusquement retourner le marin, qui dégaina de suite son arme, par réflexe.

[désoulé pour double poste u_u]

L’insecte borgne ne fut pas arrêté seulement pour cette simple blessure. Il continua à marcher dans leur direction. Mais il ne fut pas le seul à venir dans cette même direction, un autre le rejoignit et celui-ci était encore en pleine forme. Maximiliann, lui, serrait encore plus la mâchoire. Cela faisait deux lancés qu’il faisait avec sa main droite, celle avec laquelle il avait plus de dextérité, donc plus de précision. Mais celle-ci le faisait terriblement souffrir, et encore il était fatigué. Le sang avait recommencé à couler et il ne pouvait rien y faire.

C’est à ce moment que le chef décida de réapparaître. Toujours avec ce sourire que Maximiliann n’était pas capable de tenir. Comme si tout allait bien en tout temps! Comme Maximiliann ne voulait pas se retrouver coincé à ses côtés, il alla donc de l’autre côté du marin qui se nommait ‘Vladimir’. Il ne prit garde au reste de la phrase, comme il ne s’adressait pas à lui. Il regarda aux alentours et repéra une épée qui traînait aux côtés d’un homme, un marin, qui agonisait au sol. Il alla donc prendre l’arme, sans se soucier de l’homme. Car, il savait que s’il se préoccupait de celui-ci, il commencerait à sentir mal face à cette personne. Donc il préférait l’ignorer. L’empoignant de sa main gauche, il fit faire à l’épée deux arcs de cercle, voulant se familiariser avec. Erreur. Il l’échappa tout aussitôt. Il se rendit compte à quel point une épée pouvait être bien plus lourde qu’une dague.

Le ‘Et toi’ que le chef disait à son intention le fit vivement retourner en sa direction, tout en ramassant l’arme au sol.

- Et moi? Qu’est-ce j’ai? lui répliqua-t-il froidement.

- Je disais…. Ah oui! Et toi… Essaie de manier ton arme avec tes deux mains… Tu vas avoir plus de précision…

Maximiliann lui jeta un regard noir. Et lui montra sa main droite, main qui saignait encore.

- Je crois plutôt que je m’envoierai à ma propre mort si j’essayais de manipuler cette arme avec ma main droite, dit-il, puis reprenant en marmonnant, déjà que j’ai de la difficulté à la manier tout simplement...

Maximiliann le fixait toujours de son regard noir. Il ne pouvait prédire ce qu’il allait dire ou faire. Mais bientôt il le vit lui fausser, encore, compagnie pour aller aider d’autre de ses marins. Jetant un coup d’œil à l’homme à ses côtés, il n’avait guère l’air rassuré. Maximiliann regarda de chaque côté, et remarqua que les insectes envahissaient encore et toujours le bateau. Il fallait un moyen de les empêcher de montrer ou ils finiraient à être complètement encerclés.

Il se dirigea donc, en courant, le rempart où est-ce que reposait les planches de bois. Dès qu’il l’atteignit, il se cacha, de sorte que les insectes ne puissent pas le remarquer tout de suite. Regardant par-dessus le rebord du bateau, il remarqua que l’eau était beaucoup plus basse que c’en avait l’air. Il lâcha un soupir d’impuissance : il faudrait qu’il utilise beaucoup plus de force pour faire son stratagème qu’il le pensait auparavant mais cela serait quand même bénéfique au bout du compte.

Il leva donc les mains, se concentrant seulement sur celles-ci et faisait fi de tout le reste, bien avec difficultés. Il essaya de donner une bourrasque pour que l’eau remonte jusqu’au bord du bateau pour qu’après cette masse bleue amène dans ses profondeurs les bouts de bois qui servaient de ponts. Car de cette façon, cela laisserait sur le bateau ennemi tous les autres insectes qui n’avaient pas eu le temps de passer ces planches pour ce rendre sur ce bateau-ci. Et puisque les insectes avaient seulement pris la peine de solidifier de leur côté, les planches pouvaient facilement tombé à l’eau.

Mais cela ne passa guère inconnu, surtout lorsque le premier tomba à l’eau.

* uuuu desoler du retard aller j'ai un pti creux un peu d'insecte?*



Alzor fit galloper son cheval a pleine vitesse vers les groupes d'insectes sur la plage il fit arreter son cheval et il utilisa ses rayon incendiaire pour les tuer .Il en tua plus de 20 et en blessa 4 .Puis il descendit de son cheval et sortit son épée a deux main pour être plus efficace.IL fonca dans le tas et en tua une dizaines .Puis il recula pour se poster en position de défence pour pouvoir mieux les recevoir.Voyan qu'il y en avait beaucoup torp il utilisa son pouvoir de levitation pour en balancer 5 a l'eau et il attendit les autre .Lorisqu'il en vit 2 s'approcher trop rapidement il leur coupa la tete et il recula un peu afin d'évaluer la menace qui s'approchait.

IL ne savait pa comment il pourrait s'en sortir mais il devait tout faire pour qu'ils ne se rendent pas aux villages il recula encore pour se préparer a les combatre .Trois insectes étaient beaucoup trop proche donc il les combatti pendant quelque instand avant de les abbatre .

Sentant ses bras faiblir il essaya de trouver un moyen pour s'en sortir le plsu rapidement possible.

-Je ne tiendrais plus tres longtemp aider moi .

puis il tua les deux insectes qui venaient vers lui et il se tourna voyant qu'il y en n'avait 2 a sa droite il les tua mais il ne vit pas l'insecte qui était derriere lui et il senti quelque chose de coupant rentrer dans sa chair il tomba sur ses genoux en criant de douleur et se retourna voyant l'insecte qui s'appretait a le tuer.

*je ne peut pas mourir aussi betement nonn! *

Il reuni ses force et il lui coupa les 2 bras pour ensuite s'eloigner et il se soigna du mieux qu'il pouvait non loin des chevaux il perdait beaucoup trop de sang .. L'orsque sa blessur n'etait plus qu'une cicatrice i lse releva et il évalua le champ de bataille.

Leanie qui se battait toujours aussi sauvagement était très contente de voir arriver son chef. C'était déjà ça de plus. Le plus étonnant était que malgrer le nombre assez petit de combatants qu'ils étaient à affronter l'ennemi, la demi-elfe ne perdait pas espoir. Elle avait confiance en ses frères et soeur d'armes. De plus, les insects semblaient se concentrer sur autre chose et le nombre se réduisait petit à petit. De temps en temps Leanie utilisait son pouvoir sur l'eau pour se protéger elle ou ses compagnons.

La jeune guerrière sentit alors la présence de son chef dans son dos, ce qui la rassura grandement.

-Pas trop amochée? Tu peux encore survivre?

Il ne lui laissa pas le temps de répondre qu'il fit entendre un rire nerveux que Leanie n'appréciait pas trop.

-Que c’est-il passé? Pourquoi un tel massacre?

Ce fut au tour de Leanie de parler. Elle essaya de se concentrer sur le combat en répondant à Norwen.

-Oui moi je vais plûtot bien mais Elsenia et Elania vont un peu moins bien elles. Ce qui c'est passé? Bien quoi tu le savait pas? Nous sommes en guerre mon chère Norwen, dit-elle sur un ton moqueur mais loin d'être méchant.

Puis elle ajouta:

-Je crois que nous aurions bien besoin d'aide...

Leanie sonda alors les environs pour essayer de reperer les autres chevaliers. Étrangement elle sentit Maximiliann un peu plus loin mais accompagné d'autres hommes. Puis elle remarqua alors que les insects se dirigaient vers le jeune guerrier et ses compagnons qu'elle ne semblait pas connaître. Elle se demanda aussitôt si tout allait bien de son côter mais elle ne pouvait pas aller voir par elle même car il y avait encore bon nombre d'insects à abattre ici. Leanie aurait pu communiquer pas télépathie mais comme elle ne savait pas trop si il réagirais bien elle préfèrait ne pas le faire. Elle continua donc à se battre aux côter de Norwen et ses autres frères et soeur d'armes.

La demi-elfe ne cacha pas son étonnement quand elle vit au loin ce qui se passait avec les bateau ennemis. Qui d'autre avait un pouvoir sur l'eau? Puis elle se rapella ce qui c'était passé au château avant qu'ils viennents tous ici. Elle avait croisé Norwen et Maximiliann dans les couloirs masi le plus étrange était le fait que son chef était trempé de la tête au pieds. Leanie comprit alors que le jeune homme avait, probablement, lui aussi des pouvoirs sur l'eau. Elle esquissa un petit sourire.

*Tiens! Je sens que je vais m'entendre avec lui*

Leanie trancha l'interieur des coudes d'un affreu insect qui faisait au moins deux têtes de plus qu'elle puis ce fût quand la créature s'effala sur le sol couvert d'un sang noir et visqueux qu'elle apperçut Alzor. Son vaillant frère d'arme semblait dans une impasse en plus d'être seul. Il y avait bien quelques soldats autour de lui mais ils étaient tous bien trop occupé avec leurs propre combat pour pouvoir l'aider. Leanie se tourna vers Norwen et lui lança avec un sourire:

-On se voit plus tard!

Puis la jeune guerrière demi-elfe se lança vers son ami. Celui-ci s'était mit a l'écart, sûrement a cause d'une blessure, mais certains insects semblaient l'avoir apperçut et ils se dirigaient maintenant vers lui. Quand elle se trouva tous près de lui elle fit une barrière d'eau pour les empêcher de les atteindre puis se tourna vers Alzor. Elle dit avec une voix a la fois malicieuse et moqueuse:

-Besoin d'aide?

Puis la femme blonde fit tomber leurs écran protecteur avant de recommencer à se battre avec toujours autant souplesse. Pour ce qui était de la force par contre elle avait beaucoup diminué. Elle faisait attention d'économiser son énergie en esquivant les attaques pour ensuite toucher ses cibles de façon mortelle.

HJ: bon voilà j'ai fait mon possible ...ouff ça faisait vraiment longtemps :O

Alzor avait réussi a soigner ses blessures mais il avait perdu tellement de sang qu'il ne pourrait pas resister longtemps au combat car s'il dépense trop d'énergie il risque de mourir ou d'etre entre la vie et la mort.Donc il finie d'évaluer le champ de bataille et il remarqua qu'il restait encore un grand nombre de ces insectes. Il prépara un plan pour en éliminer le plus grand nombre possible en utilisant le moin d'énergie possible. C'est alors qu'il entendit la voix de Leanie
-Besoin d'aide?
le ton de sa voix était moqueuse c'est alors que Alzor se retourna et lui répondit.
-Moi? besoin d'aide? Mais je suis en pleine forme ! c'Est toi qui aurait besoin de mon aide
*Alzor lui fit un sourire moqueur et se retourna pour finir d'évaluer la meilleur tactic possible pour éliminer les insectes.
Il regarda cette marée 'insecte et se dit (il ne faut pas perdre espoir il y a surement un moyen )
Puis il rassembla le peu d'énergie qu'il lui restait et il utilisa son pouvoir de levitation l u sa de toute la colere renfermer en lui et il pu envoyer une trentaine de ses insectes dans le fond de l'océan pour finalement s'écraser par terre entre la vie et la mort épuiser.

Bon je nai pas fini ma presentation.... mais je vais le faire dici 2 ou 3 jours... je voulais seulement poster.... pour commencer un jour MDR

Elsenia etait coucher sur le dos, puis son reveille fut subite. Elle se releva tres rapidement, faisant ainsi sursauter sa soeur d'arme qui avait pris soins de la guerrir. Son coeur battant la chamade, elle regarda autour d'elle et vit que les autres combattaient toujours. Elie ne savait pas depuis combien de temps elle etait rester ainsi, mais elle ne s'attarda pas a cette question, et preferait plutot venir en aide a ses compagnons, qui avaient fortement besoin d'aide.

Elsenia se tourna vers sa soeur d'arme et la gratifia dun grand sourire affectueux qui voulais tout dire. Puis son regard fut attirer par son habit complement mouiller de son sang. Elle se surpris d'etre encore en vie, avec tout ce sang qui avait couler sur ses vetements. De plus, elle n'en fut pas tres surprise, lorsque sa tete commenca a trouner. Elle s'était soit disont lever rapidement. Son teint etait blanchatre, mais redevint normale apres quelques secondes. Elsenia ferma les yeux, tout en sonda son entourage pour ne pas se faire avoir de nouveau, pour reprendre ses forces.

Le courage revenu en elle, elle ouvrit les yeux avec une nouvelle determination. Une rage pouvait se faire lire sur son visage. Elle en avait assez de ces sales bestioles. Ces vermines qui avaient envahie son territoire. Elle les maudissait d'etre ainsi, et se promis a elle meme, d'en finir et de tous les tuer, un apres les autres. Elle eu meme une petite reflexion de les faire soufrires en les torturants, mais apres une courte reflexion, elle commenca a comprendre qu'ils agissaient sans reflechir. Qu'ils faisaient n'importe quoi. Aucune formation les avait appris a combattre. Ils n'avaient en faites, qu'une seule idee... les devorer.


Elsenia eu un long frisson d'horreur puis partit a courire dans le tas. Elle lacha un long crie de guere devoilant ainsi sa rage, et pour donner de l'adrenaline aux autres egalements, un crie qui se voulait etre motivant.

Cela ne lui prit pas plus que quelques secondes avant d'arriver a un deuxieme front. Elle leva lepee, puis trancha le points faible de son adversaire, et continua la cadence.


Est ce que tout le monde vas bien? demanda-t-elle télépathiquement a tout le monde

- Enkidiev...

Lucian porta son regard violet au loin, et un sourire maléfique se manifesta rapidement sur ces lèvres. Enfin, il étaient arrivé. La traversé avait été longue, seulement, juste a voire toute cet étendu, l'empereur noire savait parfaitement que ce nouveau monde allait être assez vaste pour accueillir toute une nouvelle génération de Tanieth, et se pour des siècles a venir.

Faisant fît de la température humide qui se faisait sentir dans l'aire, Lucian tourna les talons et descendit lentement les escaliers, qui menèrent directement dans les entrailles du navire. L'empereur voulait une toute dernière fois faire le vide dans son esprit avant la bataille, car il sentait encore cet femme dans son esprit...C'était encore, après tout, complètement nouveau pour Lucian d'avoir un lien télépathique profond avec un autre être vivant..et cela lui donnait littéralement une impression de contrôle sur lui..

- Amecareth, tu vas le payer...et ce très chère...Je viendrai te chercher dans le royaume des morts si il le faut, mais tu vas briser se maudit sortilège...

Lucian passa tout d'abord devant la cabine ou se tenait Éléandra, et sentit que la jeune femme avait besoin de solitude. L'empereur aurait bien voulu lui parler de certaine chose...seulement le temps n'était vraiment pas bien choisis. Alors, tout simplement, il s'accota pendant un petit moment contre le mûr extérieur de la cabine, et concentra ces sens magiques sur Éléandra. Seulement, le tourbillon d'émotion en elle étant trop grand, l'empereur décida plutôt de la laisser en paix.

- C'est étrange....

Lucian revît de nouveau le visage de Thëna dans ces pensés, et grogna de mécontentement, tout en se redressant subitement. Il marcha de nouveau dans la direction de sa cabine, et y entra tout en fermant la porte derrière lui. Il retira sa cape, détacha sa cuirasse, et retira sa ceinture d'arme avant de s'installer sur le sol, en position de méditation. Lucian effectua un petit geste vague de la main, et soudainement des bougies s'allumère instantanément. L'empereur prît alors une grande inspiration, et plongea dans son esprit, et commença a le fouiller que fond en comble, a la recherche de se fameux lien mental.

Il chercha plutôt les sources du maléfice, car le lien magique le reliant a Thëna était déjà présent, et il le sentait très bien. Seulement, au moment ou il commençait vraiment a entrer profondément en méditation, la voix de Éléandra le fît revenir brutalement a la réalité.

- DÉGAINEZ VOS ARMES… LUCIAN, THËNA………

L'empereur étendit alors ces sens magiques, et ressentit automatiquement toute la situation. Un sourire sadique se manifesta sur ces lèvres, alors qu'il se disait a lui-même:

- Au moins, nous aurons un défit de poids.

L'empereur d'Irianeth se leva alors debout, de manière très lente, et pivota lentement sur lui-même. Il saisit sa cuirasse noire, qu'il enfila de manière expérimenté. Puis, il attacha sa ceinture d'arme, sur laquelle pendait une épée d'on la lame était noire comme la nuit, et ou se trouvait sur le pommeau une tête de dragon aux yeux rouge sang. Lucian passa finalement sur ces épaules sa longues cape couleur écarlate, eu entoura complètement sa grande silhouette.

Puis, d'un pas très lent, avança en directement du pont. Il monta les escaliers, et a sa sortit, se fut littéralement un orage qui l'accueillit. Lucian regarda la scène de regard violet, et un véritable sourire maléfique se manifesta sur ces lèvres. C'était littéralement un vrai massacre qui se produisait sous ces yeux. Un de ces navires avait réussi a atteindre la terre, et se battait déjà contre ce qui ressemblait être des soldat magiciens.

* Des chevaliers d'Émeraude...parfait.*

Lucian regarda alors le combat qui se déroulait entre son propre navire et celui d'un capitaine qui avait franchement nullement rapport dans le conflit. L'empereur perdit alors son sourire, et son regard s'activa soudainement d'une flamme de malice sans pareil. Il regarda alors a droite, et remarqua finalement Thëna qui était présente, les bras croiser, et qui semblait attendre son commandement.

Lucian marcha dans sa directement, ces cheveux mouillé étant littéralement plaqué contre son visage, et sa cape moulant sa silhouette musclé. Il déclara alors en regardant la jeune femme qui partageait son lien magique:

- Puisque tu possède le pouvoir du feu et de la matérialisation, rend toi immédiatement au royaume des elfes, et fait les tous périre. Moi, je vais rester pour diriger les troupes et décimer le peu de résistance qui nous offres.

L'empereur lui tourna alors le dos, et déclara en s'éloignant:

- Rendez-vous sur Irianeth.

Lucian promena alors son regarda sur la marré de combattant, et vît finalement Éléandra qui se battait comme une vrai démone. L'empereur repéra aussi finalement celui qui semblait diriger toute les opérations. Restant parfaitement neutre, Lucian remarqua aussi un homme étrange qui semblait vouloir faire tomber la planche reliant les deux navires. L'empereur claqua soudainement des doigts, et fît signe a deux insectes de s'approcher de lui. Les deux guerriers Tanieth mirent aussitôt un genoux en terre, et attendirent le commandement de leurs maître.

- Préparer une nouvelle planche, et que aux moin dix soldats aille s'occuper de ces vermine. Il maîtrise la magie....je le sens.

D'un signe de tête, les hommes-insectes allèrent chercher la planche, et prévinrent huit autres de leurs compagnons de vinrent avec eux, afin de s'occuper du soldat-magicien.
Lucian regarda alors vers le navire, et chargea subitement sa puissante magie. En un instant, l'empereur d'Irianeth se transforma en nuage noire, et se transporta en direction du navire. Telle une tornade, il tomba littéralement en plein milieu du pont ennemi, et reprît complètement forme sous les yeux ébaillit des marins humains.

L'empereur, la tête pencher, avait les yeux complètement fermer, et son aire était tellement glacial que ces ennemis en tremblèrent littéralement. L'un des humains, après quelques seconde de stupeur, et hurla en attaquant:

- UN SORCIER..

Son épée effectua un angle droit en direction de la tête de Lucian, seulement celui-ci se poussa légèrement sur le côté et attrapa avec force le bras de son adversaire. Puis, soudainement, le poignet du marin commença soudainement a cuire. Le pauvre tenta de hurler, mais il tait déjà trop tard. L'empereur l'avait déjà transpercé de son épée noire, celle-ci ayant complètement traverser d'un bord et l'autre de l'Humain. Lucian ouvrit alors lentement les yeux, et ceux-ci brillèrent soudainement d'une lueur maléfique.

Dans une explosion incandescente, le pauvre marin vola au loin, faisant tomber plusieurs de ces compagnons. Lucian tourna alors sur lui-même, bloquant de la sorte un nouvel assaut, et utilisa tout simplement le poids de son adversaire contre lui-même. Utilisant juste son épée pour dévier la lame, Lucian se poussa du chemin, laissant le marin tomber sur les planches de bois du navire.

L'empereur marcha alors lentement en directement de la proue du navire, tout en pointant la lame de son épée vers le sol. Alors, violemment, il transperça son adversaire directement au coeur, tout en continuant lentement son chemin. Les affrontements étant innombrables, Lucian pu avancer sans trop rencontrer d'adversaire.

Arriver finalement a la proue, l'empereur planta son épée dans le sol, tourna sur le lui-même. C'est alors qu'une aura éblouissante, de couleur violet, entoura subitement le véritable maître du monde. Les coudes de L'empereur commencèrent alors a briller de la même couleur, et subitement, des halos d'énergie pure quittèrent ces bras pour aller se fracasser contre la coque du navire.

Tout le bâtiment en vibra d'ailleurs. Cet magie étant très puissante, Lucian ne pouvait pas vraiment l'utiliser indéfiniment. Contrairement a son père, qui était un insecte de sans pure, Lucian lui était un hybride. Quoi que sa magie étant plus puissante, et ces pouvoirs plus nombreux que Amecareth, sa résistance était par contre elle beaucoup moins grande. La ou Amecareth aurait plus employer des halos de puissance indéfiniment, Lucian lui n'avait droit qua un nombre très limité d'entres-eux.

Seulement, c'était amplement suffisant pour faire couler un navire, ou décimer une troupe d'au moins une centaine d'homme...

La lueur alentour de Lucian s'estompa rapidement, et celui-ci attrapa rapidement la garde de son épée, afin de pouvoir combattre ces deux nouveaux adversaire. L'empereur bloqua le premier a sa droite, et esquiva t'en bien que mal le deuxième. La lame de son deuxième adversaire traversa rapidement la cape écarlate de Lucian, et mordit avec délice la chaire de son bras.

L'empereur souria sadiquement en regardant son adversaire, qui déclarait d'un ton haineux:

- TU VAS PAYER POUR...

Seulement, avant qu'il est pu finir, Lucian envoya sa main libre directement en direction de sa poitrine, et la transperça au niveau du coeur. Le sang rouge de son adversaire imbiba bien vite la manche et la main de Lucian, a qui cela ne dérangeait pour absolument rien au monde. L'empereur profita plutôt du moment de surprise de son premier adversaire pour lui porter une attaque.

Lucian tourna rapidement sur lui-même, passa sous la lame de son ennemi, et planta sa propre pointe d'épée directement entre les côtes du marin. Les deux hommes tombèrent en même temp au sol, et l'empereur les enjamba tout en essuyant au passage sa lame noire sur la chemise du premier marin.

L'empereur déclara alors a haute voix:

- PAUVRE MORTEL, IL NE VOUS RESTENT QUE QUELQUE MINUTE AVANT QUE VOTRE NAVIRE NE COULE. RENDEZ-VOUS IMMÉDIATEMENT A L'EMPIRE, OU MOURREZ ATROCEMENT.

Lucian regarda alors en direction du trou dans la coque, et vît clairement l'eau qui y entrait rapidement. Le navire allait sombrer, ce n'était qu'une question de temps. L'empereur marcha alors en direction de Éléandra, et déclara tôt en jouant de l'épée a ces côtés:

- Tu n'a jamais penser que ta place n'était probablement pas parmis les esclaves, mais plutôt en temps que bras droit, a mes côtés??

Lucian attendit patiemment une réponse de la par de la jeune femme, tout en se concentrant sur la bataille. La lame de son adversaire ayant blesser plus gravement l'empereur que ce qu'il pensait, son bras gauche resta immobile sur son flanc, un liquide noire sortant par petit bouillon du tissu de la cape.

Pourtant, l'empereur semblait parfaitement être capable de pouvoir se défendre d'une seul main. Il attendit une action de l'ennemi, ou de ces allies.